Passant de 31 à 35 députés, le bloc de l’Alliance démocratique, devient la deuxième force à l’Assemblée nationale Constituante (ANC), après celui du parti islamiste Ennahdha.

Passant de 31 à 35 députés, le bloc de l’Alliance démocratique, devient la deuxième force à l’Assemblée nationale Constituante (ANC), après celui du parti islamiste Ennahdha.
Poste vacant depuis la démission de Houcine Dimassi en juillet dernier, et malgré les nombreux appels à remplir cette fonction hautement sensible, ce n’est que le 21 décembre que le gouvernement a annoncé la nomination comme ministre des Finances d’Elyes Fakhfekh, jusque-là ministre délégué au Tourisme.
Après le vote le vendredi précédent de la loi créant la nouvelle ISIE, l’ANC démarre mardi 18 décembre une nouvelle semaine de travaux avec à l’ordre du jour la discussion sensible du projet de loi relatif à la compensation des martyrs et blessés de la révolution.
Si à Sidi Bouzid, sorte de match allé d’une troïka qui pensait « jouer à domicile », l’actuel pouvoir a subi une humiliante déroute, le même pouvoir ne semble pas mécontent de l’issue de la « razzia de Djerba » samedi. Pourtant, la conquête de l’île aux dépens de Nidaa Tounes ne s’est pas faite sans y laisser quelques plumes : les vainqueurs de cet épisode ne sont pas forcément ceux qu’on croit…
قابلنا الناطق الرسمي لحزب التحرير بتونس، السيد رضا بالحاج. وكان لنا معه حوار دار حول مختلف القضايا الوطنية والعالمية مثل سوريا وفلسطين و”الغرب”. ولقد حاولنا طرح أغلب الاسئلة التي تدور حول هذا الحزب، ولم نخض في برامجه محاولين الإبتعاد قدر المستطاع عن الدعاية الحزبية أو ما شابهها.
Qu’on soit pour ou contre le parti au pouvoir d’Ennahdha, la situation impose du pragmatisme face aux chiffres et aux faits. Quelles tâches auraient été accomplies par le gouvernement Jebali ? Et quels sont les obstacles au développement régional ?
L’affaire de l’ISIE a l’air d’une volonté de cabale contre l’instance et son ancienne équipe. Et les explications de Chedly Srarfi, ex-rapporteur général de la Cour des Comptes, sur la procédure de travail qui s’applique lors d’un contrôle, ainsi que le contexte dans lequel celui de l’ISIE a eu lieu, permettent de valider cette idée.
Dans cette première partie de l’interview qu’on a faite avec le militant tunisien Gilbert Naccache, on a aborde essentiellement les origines du coup d’Etat du 7 novembre 1987 et le Parti unique, cette structure politique à cause de laquelle il a subit la torture et des années en prison.
Deux ans après le déclenchement de la Révolution tunisienne à Sidi Bouzid, et sa propagation dans le monde entier, la ville a commémoré le 17 décembre cette date symbolique. Comment cette date été vécue sur place, avec la présence des partis politiques et des habitants de la glorieuse Sidi Bouzid ?
Le moins que l’on puisse dire, c’est que le projet de loi devant permettre la mise en place de la nouvelle ISIE n’a pas profité d’un calendrier favorable. Ce texte, qui est sur le métier depuis plusieurs semaines, a en effet pâti des nombreux évènements, qui lui ont volé la primeur au sein de l’Assemblée nationale constituante.
L’ouverture d’une enquête préliminaire suscite des interrogations du fait de la démarche. L’ISIE a publié un communiqué le 4 décembre dernier pour éclaircir la situation. Kamel Jendoubi a accepté de répondre à quelques questions concernant cette affaire.
هل أنجزنا ما يستحق الإحتفال به؟ هذا هو السؤال الذي طغى على كل نقاشات أهالي سيدي بوزيد أيّاما كاملة قبل ذكرى اندلاع الثورة. 17 ديسمبر يوم للتاريخ و تاريخ يريد له أبناء سيدي بوزيد يوما للتخليد. بين الإحياء و الإحتفال اختلف الرأي ممّا أثار جدلا واسعا. انقسامات الصف التونسي و التجاذبات التي تشهدها الساحة السياسية ألقت بظلالها على شارع شعلة الثورة، شارع محمد البوعزيزي. توتّر و تدافع انتهى بعنف استهدف منصّة رئيس الجمهورية و رئيس المجلس التأسيسي.
Avons-nous assisté à une nouvelle domestication en règle de l’UGTT durant l’intense semaine politique qui vient de s’écouler ? L’Histoire dira si la semaine du 10 au 15 décembre fut celle d’un « apaisement responsable » où plutôt d’une réconciliation forcée, entre deux belligérants ayant agité précipitamment leurs dissuasions nucléaires respectives.
Quelle politique poursuit le parti islamiste Ennahdha ? Quelles seraient ses futures alliances ? La Troïka risquera-t-elle de voir le parti CPR se retirer de l’alliance ? Plusieurs questions ont été posées à M. Abdel Hamid Jelassi, vice-président du parti Ennahdha.
Les heurts récents à Siliana, face au mécontentement vis-à-vis de la situation sociale en générale et de l’état de sous-développement de la région en particuliers, portaient parmi leurs principales revendications la démission du gouverneur. Cette revendication ne manque pas d’étonner : comment imaginer que l’éviction d’un haut fonctionnaire pourrait résoudre une situation de dénuement économique et social ?
في حوار خاص طرحنا 13 سؤال لنائب رئيس حزب النهضة السيد عبد الحميد الجلاصي. تجدون في هذا الفيديوإجابات نائب رئيس حزب النهضة.
Le premier président de la Cour des comptes, Abdelkader Zgolli, a remis mardi aux trois présidences, le 27e rapport annuel de son institution pour l’année 2011. Ce document compile les résultats de 21 missions de contrôle de documents et de visites de terrain…
Même s’il montre qu’une majorité de Tunisiens sont solidaires avec l’UGTT, un sondage par Tunisie Sondage réalisé les 7 et 8 décembre dévoile que l’opinion est assez partagée. Ainsi, 66 % des répondants sont favorables à la grève générale, mais ils sont 65 % à penser que la centrale syndicale ne doit pas jouer un rôle politique…