تم صباح يوم السبت 8 ديسمبر توزيع جوائز حرّية الإعلام الممنوحة من مجلّة أكاديميا الصادرة شهريا عن جامعة منوبة وذلك بحضور عديد الشخصيات من حقوقيين واعلاميين مثل الفاهم بو كدوس، نزيهة رجيبة أم زياد ، نجيبة الحمروني و كمال العبيدي..

تم صباح يوم السبت 8 ديسمبر توزيع جوائز حرّية الإعلام الممنوحة من مجلّة أكاديميا الصادرة شهريا عن جامعة منوبة وذلك بحضور عديد الشخصيات من حقوقيين واعلاميين مثل الفاهم بو كدوس، نزيهة رجيبة أم زياد ، نجيبة الحمروني و كمال العبيدي..
Le SNJT et RSF s’occupaient déjà de recenser les actes de violence et les agressions à l’égard des journalistes. Le Centre de Tunis pour la Liberté de la Presse (CTLP) s’y met aussi, espérant ainsi que le fait de multiplier les voix permettra de faire baisser ce type d’acte.
Vingt-deux mois après les soulèvements des Printemps arabes, samedi 24 novembre dernier, s’est tenu à Marseille un débat qui avait pour titre « Un printemps médiatique arabe est-il possible ? » organisé par l’Institut Panos Paris, en présence de cinq spécialistes chevronnés des médias et de la région.
Si la Tunisie était dotée d’une instance de régulation des médias l’affaire de l’interview de Slim Chiboub aurait pu se passer autrement, c’est en tout cas ce qu’explique le SNJT. Encore une fois le vide juridique du fait de la non mise en œuvre des décrets-lois 115 et 116 pose problème. Reste que ce vide ne devrait pas perdurer.
Selon l’avocate Ines Harrath, le chargé du contentieux de l’Etat peut opposer l’Etat à des organismes publics ou privés, ce qui veut dire que M.Layouni a opposé l’Etat en entier à la chaine Attounissia
A Kairouan Mohamed Rammeh, jeune étudiant, a crée une web radio il y a trois ans déjà. Ce jeune DJ ne pensait pas un jour devenir citoyen-journaliste. A sa manière il oeuvre à créer une information plus juste en Tunisie.
Après une année difficile les journalistes ont l’air d’avoir enfin réussi à s’unifier. Le combat se tourne de plus en plus vers la liberté de la presse. Une liberté qui ne pourra être assurée que lorsque les médias seront indépendants et ce principe a l’air d’avoir été intégré par tous les professionnels du secteur
A peine plus de deux mois aprés sa nomination au poste de DG de Dar Assabah, Lotfi Touati s’en va. Le sit-in et les grèves de la faim des journalsites leurs auront permis d’avoir gain de cause. A travers l’affaire de Dar Assabah c’est tous les médias tunisiens qui reprennent espoir : car une première bataille en faveur de la liberté de la presse vient d’être remportée.
La situation des médias est donc toujours en suspend. Reporters Sans Frontières vient de publier un communiqué qui salue l’annonce de l’application des décrets-lois, tout en demandant des éclaircissements.
L’édito de La Presse d’aujourd’hui, vendredi 19 octobre, est-il à prendre au deuxième degré ? L’auteur y parle de « l’effort commun » des journalistes lors de la grève générale du 17 octobre et du fait que la grève a été massivement suivie. Pourtant sa publication a brisée la grève en publiant un numéro quasi complet…
Depuis le mois d’avril, la Radio Nationale va mal. Les petits conflits s’accumulent. Pour les employés et journalistes de la radio cette situation est la conséquence directe de la mise en place, à la tête de la Radio Nationale, de Mohamed Meddeb, un ancien employé du service technique, parachuté à la place de Président Directeur Général (PDG).
Le gouvernement a fini de tourner en rond en ce qui concerne les médias ou en tout cas semble enfin faire un pas en avant. Après avoir baladé les décrets-lois 115 et 116 de consultations nationales en commission parlementaire il a enfin décidé d’activer le décret-loi 116. Il était temps.
قدمت الصحيفة البريطانية “ذي انديبندت” اعتذارها لزعيم حركة النهضة راشد الغنوشي على إثر نشرها لتصريحات لوزير الخارجية السوري وليد المعلم يوم 28 أوت 2012 جاء فيها أن الأمير القطري منح حركة النهضة 150 مليون دولار لمساندة حملتها الإنتخابية. و قد وردت تصريحات وزير الخارجية السوري وليد المعلم خلال حواره مع الصحفي الشهير روبرت فيسك.
Il y a un an Reporters Sans Frontières ouvrait, enfin, un bureau à Tunis. Christophe Deloire, directeur général de RSF et Soazig Dollet, responsable du bureau Maghreb et Moyen-Orient étaient à Tunis pour parler de la situation des médias dans le pays. Pour eux le constat est clair : il faut rester vigilant.
دخل اليوم مجموعة من الصحفيين في اضراب جوع بمقر دار الصباح على اثر رفض المدير العام الجديد لطفي التواتي و الذي عينته الحكومة ترسيمهم او تجديد عقودهم و هي من ابرز المطالب التي رفعت في الحركة الاحتجاجية مؤخرا بدار الصباح و الرافضة لتعيين هذا الاخير. الصحفيون هم على التوالي : صباح الشابي و منية العرفاوي وايضا كل من حمدي مزهود رسام الكاريكاتور و الصحفي المخضرم السيد علي الزايدي.
Alors que le mécontentement des journalistes et employés de Dar Assabah n’en finit plus de grandir, suite à la nomination de Lotfi Touati à la direction de la maison de presse, une autre nouvelle est venue alimenter leur grogne. Le 5 septembre dernier le ministre des finances annonçait que Dar Assabah était en vente.
Des médias libres et indépendants sont un des critère inhérent à une société démocratique. Pour savoir où la Tunisie est en train de se placer il est nécessaire de savoir où en est le développement des médias. C’est le sujet d’une étude réalisée sur le terrain et pendant plusieurs mois par l’UNESCO et présentée cette semaine à Tunis.
Quelle place pour les médias communautaires en Tunisie ? Comment réussir à ouvrir la porte à des médias qui peuvent se positionner comme principal chaînon de transmission entre gouvernants et gouvernés ? Il y a quelques jours l’ONG Foundation For the Future a organisé, à Tunis, une conférence sur la bonne gouvernance.