Par Farouk Fekih Romdhane – De 0 à mon âge actuel, j’ai vécu, comme tous les Arabes, en stand-by, attendant qu’un dictateur meure, car la mort d’un dictateur est toujours une bonne nouvelle pour l’humanité. Mais rien ne se passait. On attendait des décennies sans que rien se passe. Puis, ces dernières années, on n’attendait plus.
