Il y a quelque chose d’irritant, même pour les plus conservateurs des démocrates turcs et arabes, dans le parcours « sans faute » de Recep Tayyip Erdogan. Après 10 ans de règne, là où la plupart des pouvoirs seraient passablement usés, la locomotive AKP avançait insolemment, jusqu’à ce qu’elle pèche par excès de confiance avec la goutte d’eau du parc Gezi.
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