Chaque semaine, nous essayerons, dans cette chronique, de résumer l’actualité économique nationale, afin d’avoir une vue d’ensemble et ne pas se noyer dans la masse gigantesque d’informations disponibles et de pouvoir, assurer ainsi, le suivi des projets annoncés.
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En Mars 2013, voici qu’éclate la crise financière de Chypre. Ce pays a moins 1,5 millions d’habitants, mais il est très probable que les effets de cette crise vont s’étendre au reste de la zone Euro dans quelques mois, à la faveur d’un recul boursier ou d’un problème politico-financier quelconque dans la zone Euro.
Le FMI propose un plan d’austérité qui inclut un programme d’ajustement structurel aux conséquences sociales néfastes visant à diminuer les subventions sur l’énergie, pour toucher ensuite les produits de premières nécessités tel que le pain.
Chaque semaine, nous essayerons, dans cette chronique, de résumer l’actualité économique nationale, afin d’avoir une vue d’ensemble et ne pas se noyer dans la masse gigantesque d’informations disponibles et de pouvoir, assurer ainsi, le suivi des projets annoncés
Suite à la fuite de documents confidentiels qui concerne une demande d’intention à destination du FMI concernant un prêt de « précaution » de 2,7 Milliards de Dinars. Plusieurs médias, dont Nawaat, ont analysé et critiqué ce choix économique .L’ancien ministre des finances de la Troïka, Mr H. Dimassi, s’est exprimé, C. Ayari, gouverneur de la Banque Centrale, a répondu en organisant une conférence de presse, ce Lundi 1er Avril. Il s’est dit scandalisé par cet alarmisme exagéré
Chaque semaine, nous essayerons, dans cette chronique, de résumer l’actualité économique nationale, afin d’avoir une vue d’ensemble et ne pas se noyer dans la masse gigantesque d’informations disponibles et de pouvoir, assurer ainsi, le suivi des projets annoncés.
Comme nous l’avons analysé dans notre article « Prêts en échange de réformes libérales », Le gouvernement tunisien, qui s’est décidé à se financer auprès du FMI, après la dégradation de notre note souveraine par la plupart des agences de notations internationales et l’épuisement de toutes les garanties de nos partenaires, est officiellement en pourparlers avec l’institution de Washington dans le cadre du prêt de précaution d’un montant de 2,7 Milliards de Dinars ( 3.92% du PIB).
La Tunisie va bientôt signer un accord avec le FMI sur un prêt de 2,7 milliards de dinars tunisien remboursable sur 5 ans avec une période de grâce de 3 ans et 3 mois et adossé à un programme de réformes structurelles de deux ans. Nous avons déjà publié un article décrivant l’ensemble des réformes annoncées, mais deux documents classés, ultra-confidentiels nous permettent de mieux comprendre les détails de l’accord que la Tunisie s’apprête à signer.
La seconde partie, éminemment plus technique aborde désormais les mécanismes d’appauvrissement par la dette extérieure sous et après le régime dictatorial de Ben Ali. Il est également question de révéler, outre les responsabilités du despote, de pointer du doigt les créanciers qui se sont outrageusement enrichi sur le compte des tunisien.
Dans cette spirale infernale de la dette, où nous contractons une dette pour en payer une autre avec des taux d’intérêt de plus en plus élevés – compte tenu de la dégradation de la note par les agence de notations comme Moody’s, Standard and Poor’s and Fitch rating – il est important de se poser les questions suivantes : Jusqu’où allons-nous avec l’endettement et où va l’argent ? Les cessions que le gouvernement est en train de faire ne sont-elles pas suffisantes ?
Le gouvernement de Beji Caid Essebsi, suivi de celui dominé par Ennahdha ont tous les deux poursuivi inexorablement les crimes de la dictature en matière d’endettement. Ils ont tous les deux ignoré la volonté du peuple tunisien et les objectifs de sa révolution qui lui a été confisquée dans une stratégie de choc sociaal et de contre révolution. Ben Ali en a rêvé, Beji Caid Essebsi et les salafistes d’Ennahda l’ont fait.
Du 12 au 20 Novembre 2012, Le FMI a effectué une mission afin d’analyser la situation économique et financière de la Tunisie. Nous avons pu obtenir le rapport préliminaire de cette mission, qui essaie de résumer la situation économique et financière du pays…
Après les élections, le premier test économique de la Troika au pouvoir était la loi de finances, et le fait de proposer une première version préparée par le gouvernement Essebsi, faisait un peu brouillon et mettait au grand jour l’incompétence, ou du moins la non-préparation…