على خلفيّة واقع الحال في تونس تحصّلنا على شريط صوتيّ لحوار مغلق دار بين رئيس الحكومة الحالي حمادي الجبالي و سَلَفه الباجي قايد السّبسي على هامش الّلقاء الذي جمعهما لنقل الصلاحيات و تسليم السلطات يوم الإثنين 26 ديسمبر 2011 في قصر الحكومة بالقصبة.
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على خلفيّة واقع الحال في تونس تحصّلنا على شريط صوتيّ لحوار مغلق دار بين رئيس الحكومة الحالي حمادي الجبالي و سَلَفه الباجي قايد السّبسي على هامش الّلقاء الذي جمعهما لنقل الصلاحيات و تسليم السلطات يوم الإثنين 26 ديسمبر 2011 في قصر الحكومة بالقصبة.
Bien malgré elle, l’armée nationale s’est trouvée, ces derniers jours, dans la tourmente d’une actualité incontestablement chaude et terriblement désolante. Les déclarations fracassantes de l’ex-ministre de l’intérieur, M. Rajhi, ont ébranlé tout l’appareil militaire et ont terni l’aura sous laquelle il flottait depuis l’avènement de la révolution de la dignité.
Par Primavera – Comme à chaque fois que les choses dégénèrent, et après quelques jours de suspense attisant le doute, la peur et l’impatience, BCE premier ministre du gouvernement provisoire a bien voulu daigner rompre le silence et s’adresser enfin à la populace pendue à ses lèvres, attendant des explications, cherchant des réponses, une consolation. Ainsi, muni de son incontournable “honnêteté dans la parole et dévouement dans le travail”, BCE s’est installé tranquillement dans son fauteuil à la Kasbah, jambes croisées, sourire aux lèvres et a aligné devant lui trois petits fils qui voulaient jouer aux journalistes mais qui étaient finalement trop contents, trop reconnaissants d’être là pour faire leur travail comme il se doit.
While internationally respected in some circles, IFES has a history of being involved in electoral campaigns that curiously produce U.S. oriented administrations, as were the cases in Ukraine and Georgia
La gestion “bourguibiste” des affaires du pays par le nouveau Premier ministre provisoire, les révélations divulguées par l’ancien ministre de l’Intérieur Rajhi un personnage aux motivations pour le moins ambigües, par ailleurs -, l’extrême brutalité de la répression des mouvements de contestation ces derniers temps – tous ces éléments, et d’autres, devraient faire réfléchir les Tunisiens. Ces faits devraient rappeler à ceux qui l’avaient oublié que le système Ben Ali, malgré la fuite honteuse du dictateur, est toujours en place, toujours actif et malfaisant.
Soutenir ce n’est pas cesser d’exercer son sens critique, fermer ses yeux et ses oreilles et faire la politique de l’autruche en attendant que ça passe …cela s’appelle de la soumission ou de l’inconscience…Nous l’avons fait depuis si longtemps que hélas c’est devenu un automatisme inconscient chez beaucoup d’entre nous .
Nous sommes le samedi 15 janvier, Ben Ali s’est enfuit, la situation dans le pays est très grave, il y a des incendies, des vols, des cris de vengeance, en résumé l’anarchie qui règne partout. Durant ces événements, un groupe qui se sent menacé s’est formé, je vais les appeler le groupe des 7 ; la mission de ce groupe est de protéger ses intérêts et de garder le pouvoir.
Par Fehmi Thkil A la fin de l’époque Bourguiba, tout le monde s’accordait pour dire qu’il ne dirigeait plus. […]
Par Mohamed Ben Messaoud Mes chers amis, je m’excuse d’avance sur les termes vulgaires que vous allez trouver dans les […]
Dans son interview avec Essabah, l’ancien ministre de l’Intérieur Ferhat Rajhi confirme le bien-fondé des informations sur les graves actes de violence et de torture et d’arrestations illégales que continuent de commettre les forces de la police tunisienne […]
Par Amjad Ghazi Nous sommes bien obligés de constater que Halima reprend ses vieilles habitudes. 24 heures après le départ […]
Je reste, pour la première fois dans ma vie, scotché devant mon écran à écouter un ministre de l’Intérieur tunisien […]