A quoi serviraient les articles de la Constitution si la Justice reste sous le joug du pouvoir exécutif ? Les droits et libertés seraient-ils garantis ?
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A quoi serviraient les articles de la Constitution si la Justice reste sous le joug du pouvoir exécutif ? Les droits et libertés seraient-ils garantis ?
Although the administrative court has recognised the independence of the provisional body within Tunisia’s justice sector – a body which would replace the CMS (Supreme Council of Magistrates)
Bien que le tribunal administratif ait reconnu le caractère indépendant de l’Instance provisoire de l’ordre judiciaire qui devait remplacer le CMS (Conseil Supérieur des Magistrats), le projet de loi la régissant n’a finalement pas été adopté à cause du désaccord au sein de l’Assemblée Constituante.
Hier, à l’Assemblée Nationale Constituante, les députés devaient voter en sénace plénière la proposition de la commission de Fadhel Moussa pour le projet de loi organique sur l’instance provisoire de l’ordre judiciaire mais il y a eu blocage au niveau de son indépendance.
Aux USA le 4 juillet est la date anniversaire du jour de l’Indépendance. Au delà des feux d’artifice et des barbecues le 4 juillet doit servir comme journée de rappel de leur responsabilité aux gouvernements. Un rappel qui doit également être fait au nom de ceux qui ne peuvent pas parler.
في منظومة القضاء قواعد محكمة معيارها قوانين ومبدأ لا غنى عنه : التفريق بين السلط الثلاث : التنفيذية، القضائية والتشريعية. في حوار مع السيدة روضة كرافي نائبة رئيسة جمعية القضاة التونسيين، تفضلت بتفسير هذا المبدأ وخطر تحكم وزير العدل الممثل للسلطة التنفيذية في القضاء أي السلطة القضائية.
احتفلت تونس اليوم بالذكرى السادسة و الخمسين للاستقلال و قد اكتسبت هذه الذكرى طابعا مميزا خاصة و انها ثاني ذكرى على اثر 14 جانفي و قد احتشد جمع غفير من المواطنين و المواطنات منذ صباح هذا اليوم في شارع الحبيب بورقيبة في العاصمة رافعين الراية الوطنية و لافتات ضمنوها شعاراتهم المختلفة. وقد التقينا كل من السيدة مية الجريبي و المحامي عبد الناصر العويني و القاضية التي عانت الامرين في عهد بن علي وسيلة الكعبي و مجموعة من المواطنين عبروا بكل حرية عن سعادتهم باحتفالهم بهذا اليوم من تاريخ تونس.
Ahmed Ben Salah :” Le 20 mars 1956 était une mauvaise période à cause des dissensions entre Bourguiba et Salah Ben Youssef.” Dans cette vidéo , M.Ahmed Ben Salah, grande figure de la Tunisie et du parti destourien nous parle de la période de l’indépendance. Il avait alors la trentaine et était Secrétaire générale de l’UGTT.
Par Ahmed Chaari – Face aux changements successifs survenus dans la scène politique tunisienne, la France (on entend ici par le gouvernement français) a dû revoir sa politique extérieure plus qu’une fois. Du soutien infaillible et jusqu’à la dernière minute à Ben Ali, passant par un discours sceptique et avertissant à Ennahdha juste après les élections, elle arrive aujourd’hui à une politique de félicitations presque anticipées du président Marzouki ainsi qu’à certains membres du gouvernement Jebali.
L’Instance Nationale pour la Réforme de l’Information et de la Communication (INRIC) a adressé au président de la République, au […]
Ce texte a été rédigé par les membres du bureau exécutif du Syndicat National des Journalistes Tunisiens, légitimement élu en janvier 2008.
Le 15 août 2009, Le pouvoir politique en Tunisie a repris, illégalement et par la force, le contrôle du Syndicat National des Journalistes Tunisiens (SNJT), rétablissant son emprise […]
Le président du syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), Néji B’ghouri, a dénoncé samedi ce qu’il a qualifié de “putsch” […]
L’achat de 70% (et bientôt 100%) du capital de Dar Assabah par l’homme d’affaires S. Matri, membre du comité central du RCD, compte sans doute parmi les informations les plus importantes sur la scène économique, médiatique et politique de la semaine écoulée. […]
Ceux entre autres tombés le 9 avril 1938, ne l’ont pas simplement été pour un territoire ou un drapeau. Ils l’ont été pour que le territoire et le drapeau matérialisent leur dignité. Sans le respect scrupuleux des droits fondamentaux de chaque citoyen, il n’y a point de dignité. Et aussi longtemps que l’arbitraire des «tâa’limats» se substituera à l’autorité de loi, la souveraineté du Tunisien ne sera qu’illusoire […]