L’association des Magistrats tunisiens a publié une lettre datée du 8 mars 2012 appelant à la déclaration du patrimoine de certains magistrats. Les fonctions concernées sont celles du Président de la Cour de cassation et son procureur de l’Etat, des premiers Présidents de Cour d’appel et aux Procureurs,
أرشيف محكمة ناحية المكنين في ذمة ألسنة اللهب…وغياهب النسيان
ان الحريق الذي أتى على خزينة محكمة ناحية المكنين لهو ناقوس خطر حقيقي موجه لسلطة القرار السياسي والاداري المطالبة بتعهد وبتوسيع مقرات المحاكم ولعل أولها هذه المحكمة التي كان يفترض فيها ومنذ مدة التحول الى محكمة ابتدائية لاكتضاظ وتراكم الأعباء بها ولقلة الامكانيات داخلها مع ضرورة السعي وفي أقرب الآجال بتظافر الجهود وباشراف الوزارة الأولى والأرشيف الوطني الى احداث مراكز اقليمية ومحلية للأرشيف،
Entretien avec Nasreddinne Ben Saïda : Le journal Attounissia dans le colimateur de la Justice ?
Nasreddinne Ben Saïda, directeur du journal Attounoussia à été condamné le 8 mars 2012 à verser une amende de 1000 dinars et à détruire toutes […]
Combattre la censure par principe
Au cours des cinq années suivantes, la Tunisie a été néanmoins régulièrement poussée au second plan par les principaux gardiens de la liberté d’expression au profit de pays comme la Chine et l’Iran. De même que les membres du gouvernement des États-Unis qui – en dépit de Mme Clinton qui a mentionné la Tunisie dans ses remarques sur la « Net Freedom » en 2010 – semblent avoir concentré leurs efforts sur lesdits deux pays, en pensant au financement des outils de contournements développés avec la Chine.
وقفة احتجاجية (2) امام وزارة العدل للمطالبة بمراجعة العقوبة السجنية المتعلقة باستهلاك الزطلة
من بينهم ثلاثة فناني راب “مادو” و”امينو” و”ولد ال 15″ يذكر ان هذا التجمع الشبابي هو الثاني من نوعه و كانت قد سبقته وقفة احتجاجية يوم السبت الماضي امام المجلس التاسيسي مطالبة بالغاء العقوبة السجنية المقترنة باستهلاك الزطلة
مدير “التونسية” في حالة سراح في انتظار التصريح بالحكم. اجلت القضية إلى 8 مارس 2012
انعقدت اليوم الخميس 23 فيفري 2012 بقصر العدالة في حدود الساعة الحادية عشر و النصف في قاعة الجلسة 2و التي حضر فيها المتهم “نصر الدين بن سعيدة” على خلفية نشر صحيفته لصورة يظهر فيها اللاعب “سامي خذيرة” مع زوجته واضعا يده على صدرها مما اعتبره المدعي”شاكر علوان” اخلالا بالاخلاق و قدم على اثره شكاية جزائية للنيابة العمومية
Nasreddine ben Saida est relâché, procès du journal Attounisia reporté au 8 mars 2012
Le 15 février 2012, Nasreddine Ben Saïda, directeur du journal Attounsia a été arrêté et emprisonné pour “atteinte aux bonnes mœurs et trouble à l’ordre public” selon l’article 121 du code pénal. Cette arrestation a été faite à la suite d’une publication à la Une du même journal d’une photographie du footballeur Sami Khedira avec son épouse mannequin Lena Gercke dénudée. Rappelons que la même photo a été aussi publiée dans le magazine allemand GQ et que M.Khedira s’expose tout le temps aux photographes du monde entier en compagnie du mannequin.
.الأنترنت هي الحرية” حوار مع الرئيس المدير العام للوكالة التونسية للأنترنت”
[Interview] 200 dinars d’amende: L’affaire du journaliste Cheker Besbes passe en appel
Le 23 janvier 2012 a eu lieu la deuxième audience du procès de la chaine Nesma TV accusé par des centaines d’avocats d’avoir diffusé le film Persépolis considéré comme blasphématoire. Rappelons que ce film traite de la révolution islamique en Iran. Le ministre de la justice, Nourreddine Bhiri, décide contre toute attente, d’interdire aux journalistes de couvrir le procès.
Filtrage des sites pornographiques : un test clé pour la liberté d’Internet en Tunisie
La chute du régime de Zine el Abidine Ben Ali a permis aux internautes tunisiens de profiter d’une période d’accès libre à Internet, ce après que l’Agence Tunisienne d’Internet (ATI) ait désactivé ses machines de filtrage.
« Internet c’est la liberté » : Entretien avec le P.D.G de l’Agence Tunisienne d’Internet
Alors que l’ATI essaye de casser cette image de censeur du web, différentes interrogations voient le jour quant au rôle de l’Agence dans la Tunisie post-révolution, à l’avenir du matériel de censure et aux défis d’Internet dans le pays […]
Tunisie : la censure prend une tonalité religieuse
Si la chute de Ben Ali a ouvert les portes de la liberté d’expression et marqué la fin de la censure sur Internet, elle a aussi permis l’émergence d’une censure morale et religieuse. La droite a profité tout autant que la gauche de la chute du mur de la peur. Elle s’est organisée en partis politiques ou en associations, a appelé à des manifestations pour condamner des évènements culturels considérés comme du «harcèlement religieux”, et tenté de traduire en justice ceux dont les actes ont «porté atteinte à l’islam”.
Le blogueur et activiste Zakaria Bouguerra encore une fois agressé par la police
Le blogueur et activiste Zakarya Bouguerra a été arrêté le 1er Février 2012 alors qu’il participait à une manifestation de soutien à Samir Feriani à la Kasbah. Il venait de reconnaître le policier Issem Dardouri parmi les policiers qui manifestaient au même moment […]
حقيقة عملية الإنقلاب على جمعية القضاة التونسيين في 2005
Tunisie : Après un an, #Ammar404 le retour ?
Par Dhouha Ben Youssef – Alors qu’en l’espace d’un an la Tunisie accuse le meilleur taux de pénétration d’internet/population au Maghreb (~28%), dont plus de 77% utilisateurs de réseaux sociaux, la liberté d’expression sur internet devrait être garantie. Malheureusement, non ! […]
Tunisie : Révélations des inculpés dans le cadre du procès des martyrs et blessés
Il y a de cela un an jour pour jour, entre le 7 et 9 janvier, un massacre a eu lieu à Théla et à Kasserine. La question quant aux coupables reste pourtant encore sans réponse. Lors de la dernière audience du procès des martyrs qui a eu lieu le 3 janvier 2011, plusieurs points de cette affaire ont été éclaircis.
Freedom of expression in post-revolution Tunisia: “moral” and “legal” new basis for censorship ?
We cannot deny that unprecedented winds of freedom have blown over the Tunisian media in the post revolutionary era, where it is no longer a taboo to criticize politicians. After the October, 23 election, and the arrival of a legitimate, and democratically elected government, now we can ask ourselves if this freedom of criticism will continue.