Politique 100

L’islamisme, nouveau panarabisme

Incontestablement, l’islamisme se voulait à l’origine internationaliste, aspirant à placer la communauté des croyants toute entière sous un même leadership. Mais son échec fut de ce point de vue assez vite patent. Les mouvements qui prônaient, dans les années 70 et 80, la réislamisation des sociétés musulmanes « par le haut » – la construction d’ […].

Tunisia : Foreign Debt Wears out the Economy

During the past 25 years, the Tunisian society has spared no effort to increase its production. Indeed, the GNP has risen by 2.6 times, from $8.5 billion in 1980 to 22.4 billion in 2003. Nonetheless, a significant share of this wealth has been transferred through debts to influential foreign parties. Tunisia has allocated $28.5 billion to service its deb […].

Les Ben Ali fêtent le 13 août dans la séparation !

Zine El Abidine Ben Ali, l’actuel chef de l’Etat s’est contenté de recevoir, dans son bureau au Palais de Carthage, où il officie, Salwa (Ayyachi Labben), sa Ministre de la femme et de la famille. Peu après il a reçu, dans le petit salon du coin, Aziza (Htira), sa présidente de l’Union nationale de la femme tunisienne. Son actuelle épouse Leila (Trabelsi)

Les Etats-Unis et L’Islam Politique

A propos de : GERGES (Fawaz A.), America and Political Islam. Clash of Cultures or Clash of Interests ?, Cambridge, Cambridge University Press, 1999, 282 p. CÉU PINTO (Maria do), Political Islam and the United States, A Study of U.S. Policy Towards Islamist Movements in the Middle East, Reading, Ithaca Press, 1999, 340 p. Un an après le 11 septembre 200 […].

On ne peut plus identifier l’islamisme politique au fondamentalisme

Hugh Roberts, directeur du bureau Afrique du Nord de l’International Crisis Group, dénonce la façon dont l’Occident juge l’islam en considérant que cette religion est une affaire de croyance privée, alors qu’elle revêt, selon lui, une dimension politique et comporte des prescriptions à portée juridique. Le rapport de l’International Crisis Group (ICG) me […].

Les autres ne sont pas ceux qu’on pense.

Un livre de Farid Esack C’est au Pakistan que Farid Esack, jeune Sud-Africain élevé dans un quartier misérable réservé aux gens de couleur, est allé se former en vue de devenir imam. Etudiant en théologie dans les années 70, il s’affilie à un mouvement piétiste et missionnaire musulman appelé le “Tabligh”(1) . Il raconte : “A ce moment-là, j’étais étudia […].