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Project 1008: It takes courage to fight the current

One of the most beautiful lines ever spat in hip-hop comes from a song called « Last Supper » by D Smoke, in which he says “every kid needs a hero, I’m trying to be uncle Stan Lee.” In this context, Stan Lee represents the idea that no matter where you come from, you can make it if you put your mind to it, even when you live in a small hood in the capital of one of the tiniest countries in the world.

نواة في دقيقة: 500 جدارية غرافيتي تكتسح شوارع جبل جلود

انطلقت فعاليات الدورة الثالثة للملتقى العالمي شكري بلعيد للفنون بجبل جلود في 5 فيفري 2020. شارك فيها أكثر من 30 فنان ورسام تونسي و20 أجنبي من دول افريقية وأوروبية وأسيوية وأمريكية. تم رسم أكثر من 500 جدارية ڨرافيتي في ظرف اسبوع لتكون منطقة جبل الجلود أكبر رواق ڨرافيتي في تونس. هي تظاهرة ثقافية فنية انطلقت من فكرة تحولت سريعا إلى مشروع ثقافي يحظى باهتمام رسمي. الدورة جمعت بين الشعر والرسم والرقص والمسرح والموسيقى إضافة إلى فن الڨرافيتي. لوحات الڨرافيتي الجديدة هي استكمال لمشروع حي “سبعة زناقي” الذي يتضمن عشرات الجداريات.

Graffiti : Debo inaugure à Hammamet le premier mur légal de Tunisie

Il y a plus de 1484 murs légaux dans le monde, des espaces libres consacrés au street-art. En Tunisie, le premier dans le genre a été inauguré le 19 août à l’Avenue Habib Bourguiba de Hammamet. Il pourrait représenter un lieu de répit pour les graffeurs tunisiens souvent interpellés par la police, parfois même poursuivis en justice. L’événement s’inscrit dans les activités de la 2ème édition des Urban Days organisé par le Centre Culturel International de Hammamet (CCIH) en marge du festival qui s’y tient. L’initiative est portée par l’association Debo, co-organisatrice de cette manifestation culturelle.

Parc d’El Mourouj : Négligence, délabrement et marginalisation de l’association locale

Rien ne va plus au Parc d’El Mourouj. Le Boeing 727 paré de fresques de street art, emblème de cet espace vert, a été brûlé en avril dernier après deux ans de son inauguration. Des projets privés aux abords du parc commencent à déborder et à grignoter son territoire. Les citoyens des quartiers voisins ont diminué leur fréquentation de ce poumon de la banlieue sud de Tunis. Adel Azzabi, président de l’Association des habitants d’El Mourouj 2, déplore la négligence des autorités, notamment l’Agence Nationale de Protection de l’Environnement (ANPE) et regrette la marginalisation de son association pourtant porteuse de projets à succès dans le parc.

« Mourouj Airlines » donne de l’espoir par l’art urbain aux habitants d’El Mourouj

Durant une semaine, du 17 au 22 août 2015, le « parc de Mourouj 2 » a été investi par des associations, artistes et citoyens, autour de « Mourouj Airlines » afin de marquer une trace, un message ou encore une volonté de faire revivre l’espace sous d’autres formes. À l’initiative de l’association Kif Kif, l’association des Habitants de Mourouj 2 et l’Agence Nationale de Protection de l’Environnement ainsi que d’autres collectifs et associations, le Boeing 727 de Tunisair a été transformé d’un avion délabré et usé par le temps et l’abandon à une œuvre d’art remplie de couleurs et de rêves.

Elections 2014 : L’underground tunisien récupéré par le politique ?

Autrefois censurés et invisibles, les artistes underground ont marqué la révolution avec leur parole dissidente et leur tagues insoumis. Grâce à la liberté d’expression, fraîchement acquise, le street-art et l’art underground se sont accompagnés d’un énorme élan de popularité, de solidarité et de diversité. Mais, avec le changement politique et social, l’underground est devenu, paradoxalement, un phénomène galvaudé dans les médias classiques, toléré par le système et instrumenté par les politiques.

حي الرياض بجزيرة جربة يتحول إلى معرض مفتوح

توافد نحو مائة فنان من ثلاثين بلدا أبرزها المكسيك وفرنسا واليابان والبرازيل وايطاليا والارجنتين واليونان ومصر وفلسطين وتونس والمغرب وجنوب افريقيا على “جزيرة الأحلام” في جربة” للمشاركة في تظاهرة “جربة هوود”. تظاهرة احتضنها حي الرياض بجزيرة جربة.

Enquête : Le Street-Art en Tunisie (II)

Comme dans un mouvement de commune libération, les artistes urbains se sont donnés la légitimité de leur identification, comme groupe, collectif ou réseau. Et s’autorisent toutes les techniques et matériaux nécessaires pour mettre en exergue leurs démonstrations, de plus, dans une certaine forme de compétitivité, souvent « bon enfant », où ils rivalisent d’avancement en matière de nouvelles technologies et autres techniques de pointe.

Enquête : Le Street-Art en Tunisie (I)

Depuis les premiers pochoirs cyniques et contestataires à l’effigie de Zaba et les premiers slogans « tagués » sur les murs des sit-in successifs de la Kasbah, et surtout depuis les pétitions signées et le groupe crée pour les protéger, « Ne touchez pas aux tags d’El Kasbah, c’est notre patrimoine », un déclencheur s’est mis en route : la quasi reconnaissance ou prise de connaissance des Tunisiens avec tout ce qui peut être de l’ordre de l’inscription urbaine, allant de la simple expression à l’œuvre d’art total.

La place de l’art dans l’espace public tunisien (2)

Des artistes, des collectifs de citoyens portés vers les arts et la culture, des hommes et femmes de culture, des journalistes, des blogueurs, etc., se sont affirmés ces trois dernières années comme étant des éléments porteurs de changements et donc d’engagement par rapport au thème et à la question du rôle de l’art et de la culture dans le processus de transition démocratique.

Tunisie : La révolution culturelle en marche

L’affiche de l’atelier « Luttes et Expressions Artistiques », tenu hier mercredi 27 Mars de 16 à 18h30, au Campus Universitaires de Tunis, dans le cadre du Forum Social Mondial 2013, parle d’elle-même. « La révolution culturelle tunisienne » écrite en lettres calligraphiques arabes, noires charbon, sur un fond parsemé de taches de sang.