Le titre pourrait paraître excessif, pourtant il n’en est rien. Lors de notre présente enquête sur le secteur pétrolier en Tunisie, nous avons été interloqués par nombre de pratiques qui nous ont paru singulièrement choquantes. De « l’extraction expérimentale » du pétrole qui s’éternise sur une dizaine d’années, aux permis de recherche qui se renouvellent à souhait, en passant par un ministère de l’Industrie à l’indulgence étonnante, le tout sous l’oeil désemparé d’un des responsables de l’ETAP, c’est tout un univers qui ressemblerait davantage à une bananeraie, qu’à des champs pétrolifères gérés selon les normes d’un État moderne !
I.- Le cas des permis « Les Oasis » et « Nord Medenine » des Bouchamaoui
Tout a commencé lorsque nous nous sommes attardés sur un PV d’une réunion du Conseil Consultatif des Hydrocarbures (CCH) datant du mois de mai 2013 (signalons que le CCH est un comité composé de représentants de plusieurs ministères, qui assiste le ministre de l’Industrie dans les prises de décisions qui concernent le secteur pétrolier).
Parmi les dossiers traités pendant cette réunion, nous trouvons deux accords pétroliers qui concernent les blocs « Nord Medenine» et « Les Oasis ».
Ces deux permis de recherche ont été octroyés en octobre 1993 à une société enregistrée sous la dénomination sociale de « HBS Oil Company ». Le premier permis, « Nord Medenine » se situe, ainsi que l’indique son nom, au nord du gouvernorat de Medenine. Le deuxième, « Les Oasis », se situe juste au-dessus d’El Borma.
Les études sismiques et les puits forés pendant les premières années ont permis à HBS de découvrir le champ pétrolier Mazrane au sud de l’île de Djerba. Le puits Mazrane-1 a donc été foré entre le 15 octobre 2003 et le 5 décembre 2003 et sa production était de l’ordre de 500 barils par jour ! (1).
Or, en 2004, HBS n’a pas demandé une concession de production comme l’énonce l’article 9 de la loi n°9-1985.
Exploitation des hydrocarbures : L’exploitation des hydrocarbures liquides et gazeux ne peut être effectuée qu’en vertu d’une concession d’exploitation.
Article 9 de la loi n°9-1985
HBS a plutôt demandé un renouvellement de son permis de recherche alors qu’elle était déjà entrée en production. Un nouveau renouvellement leur a été accordé en février 2004 par le ministère de l’Industrie et par l’Entreprise Tunisienne des Activités Pétrolières (ETAP). La Chambre des députés a également donné son accord.
Il convient par ailleurs de rappeler qu’en cas de concession, les revenus d’exploitation doivent être partagés entre l’ETAP et ladite compagnie pétrolière. Dans ce cadre, nous nous demandons pourquoi l’État s’est-il privé de sa part de la production.
Le même scénario s’est vraisemblablement répété en 2010. « HBS Oil Company » a bénéficié encore une fois d’un renouvellement de son permis de recherche alors que la production s’était élevée alors à 600 barils ! (2)
Quelques mois après la révolution, le gouvernement Mohamed Ghannouchi lui a accordé encore une fois un renouvellement du permis de recherche en février 2011. Cette dernière prolongation de la validité du permis a pris fin au mois d’avril 2013.
Mehdi Jomaa venait alors d’être désigné ministre de l’Industrie tout juste quelques semaines auparavant. Une fois de plus, HBS a demandé au ministère de l’Industrie de lui prolonger son permis de recherche. Le PV du CCH montre que sa demande a été acceptée.
Ce qui est troublant, c’est que le champ Mazrane s’avère pourtant en phase de production selon un document publié au mois de mai 2013 par la compagnie pétrolière Candax. A noter que Candax détient la concession Robbana, voisine de celle de Mazrane.
Le document publié par la société Candax nous apprend en effet que leur production est stockée avec -affirme le même document- la production du champ Mazrane de HBS dans un réservoir de stockage de pétrole à Zarzis.
Par ailleurs, la page 87 du rapport annuel de l’ETAP de 2012 donne des chiffres confirmant que Mazrane est en production. Or, aucune concession d’exploitation n’a été octroyée à partir du permis “Nord Médenine”. L’absence d’une telle concession nous a, du reste, été confirmée par Mme W. Bouchamaoui suite à nos questions insistantes. Dans le même sens, nous avons recoupé ces informations avec celle d’un haut responsable de l’ETAP ; lequel nous a également confirmé que la société en question était en train de produire sans détenir une concession qui lui en accorde le droit. Il a, en outre, précisé :
Nous n’avons pas été de taille (ma najamnahoumch) ! On ne peut rien contre eux ; les Bouchamaoui nous ont dépassé… tant eux que F. A.
Pourtant, malgré ce désarroi exprimé par l’un des responsables de l’ETAP, le ministère de l’Industrie a renouvelé encore une fois le permis de recherche de la société HBS Oil Company.
Nous nous demandons, par conséquent, pourquoi l’État continuerait à octroyer des renouvellements de permis de recherche à une société, alors qu’une voix haut placée issue du principal acteur du secteur pétrolier en Tunisie déclare que ladite société est déjà passée à une phase de production, ce que des documents, comme ceux mentionnés, confirment. Inversement, comment se fait-il qu’une société procède à de l’extraction pétrolière, en phase de production, sans détenir un permis l’y autorisant ?
II.- Qui est donc « HBS Oil Company » ?
« HBS Oil Company » est le nom commercial d’une société pétrolière tunisienne. Sa raison sociale est « STE Hedi Bouchamaoui and Sons Oil Company Lim ». Il s’agit d’une société pétrolière détenue par la famille Bouchamaoui. Après le décès de Hedi Bouchamaoui, elle est devenue la propriété de ses héritiers. Elle est aujourd’hui gérée par Khaled et Mouna Bouchamaoui. Wided Bouchamaoui en est membre du conseil d’administration.
Au cours de notre enquête, nous avons contacté Mme Wided Bouchamaoui afin d’obtenir davantage d’informations sur ce qui semblait troublant. A ce titre, nous lui avons demandé si HBS Oil Company détenait une concession qui lui permettait d’exploiter le pétrole ? Après plusieurs minutes, mal à l’aise par nos questions, elle finit par nous confirmer que « HBS Oil Company » ne détient pas de concession issue du permis « Nord Médenine » permettant l’extraction du pétrole en phase de production. Selon ses propos, il s’agit d’une « production expérimentale ».
Selon nos informations, nous savions déjà que la phase de production avait déjà été entamée depuis près de dix ans. Une période manifestement trop longue pour être qualifiée d’expérimentale !
Aussi, avons-nous cherché à avoir une confirmation de sa part concernant la durée de cette « extraction expérimentale » en lui posant la question suivante : « depuis quand cette production expérimentale a-t-elle commencé ? »
Toujours aussi mal à l’aise, Mme Wided Bouchamaoui a refusé de nous répondre, tout en déclarant qu’elle préférait laisser son avocat répondre à sa place. Trois jours après, nous n’avons toujours pas été contactés par l’avocat de Mme Bouchamaoui.
Ainsi, sommes-nous restés toujours aussi perplexes avec nos interrogations demeurées sans réponses.
III.- Les interrogations relatives à une gestion bananière des ressources minières !
Il ne faut pas s’y méprendre. Le cas de l’entreprise Bouchamaoui, en soi, est tellement secondaire. A la limite, pour nous, il compte pour si peu, sous réserve des implications politiques relevées (nous y reviendrons).
Le véritable problème se pose au niveau de cette gestion des ressources minières tunisiennes qui ressemble fort à une forme de gestion bananière des richesses nationales.
Au prix du baril de pétrole, les quantités produites déclarées, 500 à 600 barils par jour, pourraient sembler faibles pour ce que représenterait les frais de fonctionnement d’un chantier d’extraction pétrolière. Mais est-il normal que l’on passe une dizaine d’années à déclarer extraire une telle quantité de pétrole à « titre expérimental » ? Est-il normal que l’on renouvelle systématiquement des permis de recherche pour servir à couvrir une « extraction expérimentale » selon les termes de Mme Bouchamaoui ? Cette quantité déclarée est-elle réellement conforme à ce qui est effectivement extrait ? Nous n’en savons rien, car nous n’avons pas d’élément ni dans un sens, ni dans l’autre.
Le passage à un permis d’extraction (après celui de recherche) engendrerait-il des procédures de contrôle très strictes sur le pétrole extrait -afin de déterminer la part de l’État tunisien- et lesquelles procédures n’existeraient pas avec un permis de recherche ? Nous n’en savons rien non plus.
Le ministère de l’Industrie agit-il avec toute la diligence qui sied à une gestion des ressources minières conforme aux attentes des citoyens, auxquels appartiennent, faut-il le souligner, ces richesses nationales ?
N’y a-t-il pas quelque chose de choquant pour l’opinion publique que de relever que celle -Mme Bouchamaoui- qui est membre du quartette (au nom de l’UTICA), soit en position de contribuer à proposer le nom d’un premier ministre qui fut précédemment celui-là même qui signe ses permis de recherche à la tête du ministère de l’Industrie (3). Ce mélange d’intérêts est-il sain pour un mode de gouvernance conforme aux attentes de la nation ?
Si des malversations se révèleraient ultérieurement, comment ne pas s’interroger sur une éventuelle implication -y compris passive- de Mehdi Jomaa dans cette affaire ? Comment ne pas s’interroger également sur le rôle des précédents ministres de l’Industrie ? Comment enfin ne pas faire le parallèle entre cette gestion littéralement « népotique », et non moins bananière, sous Ben Ali, avec ce qui est en train de se passer dans le domaine minier, aujourd’hui, en 2014 ?
Comment ne pas s’interroger, en outre, si la proposition du nom de Mehdi Jomaa, entre autres, par Wided Bouchamaoui ne fut pas le fruit d’un renvoie d’ascenseur entre les deux parties ?
Comment sommes-nous arrivés et, surtout, continuons-nous en 2014 à voir certains responsables de l’Entreprise Tunisienne des Activités Pétrolières (ETAP) avouer leurs impuissances face aux dépassements de quelques uns, alors que l’ETAP, de par la loi, gère le patrimoine national des hydrocarbures et participe « à toutes les opérations se rattachant directement ou indirectement auxdits hydrocarbures » ?
Nous nous sommes heurtés à tant de questions et nous nous entêterons à attendre tout le temps qu’il faudra -sous la protection des lois de la République et de celle de ses tribunaux- afin d’obtenir des réponses des autorités tunisiennes concernées.
Entre temps, nous regrettons également le défaut d’efficacité de l’Assemblée nationale qui a failli -et ce n’est qu’un simple constat- dans son rôle à excercer le contrôle nécessaire, malgré la bonne volonté de nombreux députés. Il y a quelques semaines, en effet, une pétition a été signée par plus de 100 députés demandant à ce que Mehdi Jomaa soit auditionné en public sur le dossier du pétrole tunisien. Cette pétition a fini par disparaître. Certains députés ont même déclaré, lors d’une réunion de la commission de l’énergie, que la pétition en question a été déchirée !
Enfin, dernier rebondissement, la veille de la mise en ligne de cet article, nous avons appris qu’une nouvelle pétition fut mise à contribution afin de constitutionnaliser un contrôle plus sévère sur l’exploitation des ressources naturelles. Celle-ci a été signée par 115 députés, dont les cinq présidents des blocs parlementaires, en l’occurrence : Mouldi Riahi (Bloc Ettakatol), Mohamed Hamdi (Bloc Démocratique), Azed Badi (Bloc Wafa), Haythem Belgacem (Bloc CPR) et Sahbi Atig (Bloc Ennahdha) !
Cette pétition, dans sa dernière rédaction, propose d’inclure les dispositions suivantes dans la Constitution tunisienne :
Les ressources naturelles appartiennent à la nation. L’État exerce sa souveraineté sur ces ressources au nom de la nation.
Les contrats et conventions y afférents sont soumis à la ratification de l’Assemblée nationale à la majorité absolue de ses membres et sont obligatoirement rendus publics. (4)
Traduction proposée par Nawaat
Notes
1.– Délibérations de sessions n°26-2004 de la Chambre des Députés.
2.– Délibérations de sessions n°3-2010 de la Chambre des Députés.
3.– Suite à la sévère crise politique qui a éclaté en Tunisie après l’assassinat de Mohamed Brahmi, des acteurs de la scène politique ont proposé le lancement d’un “Dialogue National” entre les divers partis politiques. Afin d’arriver plus rapidement à un consensus autour d’un nouveau chef du gouvernement, il a été proposé que ce “Dialogue National” soit encadré par un quartette formé par le syndicat de patrons (UTICA), le syndicat des travailleurs (UGTT), l’Ordre des Avocats et la Ligue Tunisienne des Droits de l’Homme (LTDH). Dans le but d’accélérer la quête du consensus autour du choix du future Chef du Gouvernement, un délai a été fixé au 14 décembre 2014 à 12h. Malheureusement, à l’heure H, les participants au “Dialogue National” ne s’étaient toujours pas mis d’accord. Kais Kamoun, député membre du parti El Amen témoigne :
Une heure après le dépassement de la date limite, -indique le député K. Kamoun- alors que j’étais en train de discuter avec un groupe dont Mohamed Allouch, Yassine Gouiaa et quelqu’un de l’UGTT, N. Ben Ticha de Nidaa Tounes nous a rejoints un peu plus tard, Wided Bouchamaoui nous a abordés. Elle était venue -révèle le même député- nous demander de proposer le nom de “Mehdi Jomaa”. Wided Bouchamaoui nous avait dit alors : Il est bon, faites-le passer !
4.– Davantage de détails sur cette dépêche.
Entre tout ça et la mafia benali-trabelsi il n’y a qu’un pas..
Je pense que la mafia ben ali-Trabelsi était une couverture de ces clons mon ami.
Merci Nawaat pour avoir levé un tel lièvre…
Ce n’est pas rien que d’avoir un nouveau 1er ministre qui, au minimum, serait complice de cette mafia.
C’est gens sont des brigands, ils ne valent pas mieux que les précédents! Des traîtres a la Nation, a tout un peuple, a de pauvres gens qui n’ont rien. Une saloperie de moins que rien, des voleurs sans aucun scrupule ni principe humain. meje3a, ye5dmou bina ou yo7kmou fina ou meytine bejou3, 3icha kalba, m3a kleb, mayna fikom
Nawat a posé plusieurs questions aux quelles elle n’a aucune réponse. j’ajoute que HBS OIL n’est pas la seule qui profite de cette gestion bananière. une cinquantaine de sté pétrolières qui exploitent le sous sol Tunisiens depuis 1970 , soit depuis 1/2 siècle et apparemment à perte puisqu’on ne cesse de nous affirmer que contrairement à nos voisins nous ne sommes pas riches. ENCORE UNE QUESTION QUI SE POSE.
.
Le plus grave, est que Bouchamaoui dont l’activité relève de l’incontestable crime organisé, est membre d’organe regroupant en période dite “post révolution” des acteurs tels le président LTDH (magistrat), le président ordre des avocats (avocat), et le secrétaire général UGTT, sensée être porte voix des prolétaires.
Nos prisons n’auront assez de places pour héberger ces malfaiteurs complices des crimes qui ont appauvri la nation, la contraignant à la mendicité, et condamnant le peuple soulevé pour le droit à la dignité et à la justice sociale à l’indigence.
Il faut ouvrir le dossier de vente du gisement productif « zarat » vendu au groupe bouchamaoui a bas prix (suite a l’abondant suspect du puits sous prétexte de faible production ) …..puis par coup de chance ce gisement est devenu assez productif et bénéficiaire ….pour que les Bouchmaoui le vend par la suite a PA Ressources avec des centaines de milliards ?????????????? voila l’argent facile ….et la question qui se pose qui est le grand auteur derrière cette opération frauduleuse ???
Bon, ceci est rien en comparaison avec l’autre permis octroyés par Bouchamaoui (une concession qui a atteind une production de 20 000 barrels/jours) et qui a été vendue à PA resources. Bouchamaoui a eu cette concession tout seule, aucun millime à l’état. Sans parler de miskar de BG. En fait ces 2 affaires on été attribués par Ben Ali lui même. Déjà BEn Deli (je crois) a été remerciés de son poste à l’ETAP après s’avoir opposé à l’attribution de miskar (ou le renouvellement du permis je crois)
c’est Kais Daly
J’apprécie cet article bien documenté.
Je suis désolé pour mon pays ,d’avoir eu raison , depuis plusieurs mois,de dénoncer la présence de mme Bouchamaoui, dans le cercle restreint des dirigeants d’Ennahdha et ses intriques.Cette personne poursuit un double ambition 1) se faire un nom en politique pour contrecarrer l’opposition 2) profiter de sa position au sein d’Ennahdha pour prendre sa part du pillage de nos richesses nationales .Le plus curieux est que l’opposition , apathique et/ou complice,n’a dénoncé ni aupres de l”opinion publique,ni même auprés de ses propres troupes (?) le scénario qui se profile ; apres le 14 janvier,tout l’appareil d’état existant deviendra i inopérant car illégitime depuis 2012..Pour lui garantir un sursis,un nouveau gouvernement va être formé,avec comme premier ministre mr Mehdi Jomaa.Or ce monsieur était déjà ministre de l’industrie dans le gouvernement Laaridh, autorité de tutelle des concessions pérolières .Il avait accordé à la Bouchammaouio de nouvelles concessions présentées comme périmètres de recherche mais ,en fait en stade de production. Et qui a propulsé mr Jomaa pour être le prochain premier ministre,cache-misère d’Ennahdha ? Mme Bouchammaoui. !!!La dédfense des tunisiens contre les agents des multinationales ,contre le vol de leur patrimoine et contre les complots du gang d’Ennahdha nous dicte de dénoncer ces “cCmbonaziones” et,dans le cas présent, LA HARKIE BOUCHAMAOUI qui participe à leur montage et en profite personnellement. .Elle devra rendre compte à la justice pour ses malversations et être jugée.Surtout,,surtout,il ne faut pas laisser les membres du gang Ennahdha quitter la Tunisie .A l’instar de la créature qui préside ,hélas, l’UTICA , les autres membres du gang Ennahdha ne doivent pas échapper à la justice.Malgré certaines dérives,je réitère ma confiance à nos juges.
magouilles et compromis entre bandits voleurs assassins trafiquants terrorristes ….laTunisie assassinée par ses enfants traitres et hors la loi !!!
Quelle genre d’action faut’il entreprendre pour nettoyer cette mafia?
Quel chemin emprunter? Comment doit s’organiser la lutte nationale pour les intérêts de la Tunisie et des tunisiens? Quel genre de réponse méritent les ennemis de la Tunisie quand ils sont a l’intérieur du pouvoir? Qu’est ce qu’il faut faire comme action? Quels outils utiliser? Par qui commencer? Pour quoi s’occuper de tel et pas de un tel d’abord? Et de quel manière? Il y’a un grand éventail de questions qui ce posent.
Quels moyens faut’il utiliser pour une lutte nationale efficace et effective contre les rats esclavagistes de l’intérieur?
benne a lie s’en est tiré avec sa pute et le reste, mais qui a les mêmes moyens de fuite que lui aujourd’hui?
IL y’a une guerre économique et sociale qui est menée de plein fouet et de tous les fronts contre ce peuple valeureux et brave qui a osé renverser l’ordre des choses.
La Tunisie se bat bravement et résiste comme elle peut, la non violence est son credo, jusqu’à quand va telle tenir ce credo?
Jusqu’à quand on va colmater l’hémoragie par des demies mesures?
Bravo tout le monde vous voila entrain de vous rapprocher petit à petit des traces des vrais tireurs de ficelles qui se cachent derrières les crimes politiques survenus en Tunisie,mon oeil ansar chariaa salafiste islam et autres troubles yeux pour détourner sinon déraper complètement les sujets à risques de faire aboutir la révolution. cela s’appelle l’art de la manipulation, mais quand même encore un GRAND BRAVO à tous les militants car “l’hydrocarbure des problèmes tunisiens” est toujours d’actualité ; pour estimer une note à vos efforts et ce n’est pas pour vous décourager vous etes maintenant entre 1 & 3 sur 10. Et ce n’est pas mal du tout juste après trois ans de “revolution”
AH.AH.AH .MESKINA TOUNES cha3b ju3ane wa nass t3abi wa tzid t3abi ,franchement il faut chasser toutes ces figures qui ont travaillée de prés ou de loint avec l’ancien régime pourri pour la simple raison ces figures sont contaminées et risquent de propager leurs maladies aux gens honnetes .mais ils faut les chasser durement pour faire comprendre à ceux qui penseraient à faire ou continuer leurs maguouilles c’est fini ,on ne joue plus et les poursuivre en justice et au préalable les surveiller et les empecher de suite de quitter le pays,parce-ce-que ces n’ont aucun screpule.VIVE LA TUNISIE ET A MORT LES VERMINES.
je suis du domaine et j’ai travaillé pendant 22 ans à l’ETAP en tant que ingénieur , j’étais responsable du dossier PERMIS NORDMEDENINE ET OASIS, lors des comités OCM ,TCM moi et mes collègues nous avons recommandé la création d’une concession sur des pv afin de gérer la production de MAZRANE WELL mais malheureusement nous étions toujours trahis par la position de notre hiérarchie qui s’alignée sur celle du HBS bref vous avez mis le doigt sur la plaie continuez à dénoncer ces pratiques
C’est quoi ce titre?? Ce ne sont pas les ressources naturelles de l’Etat Tunisien mais les ressources naturelles de la Tunisie qui appartiennent a son peuple mais qui sont volés par les rats qui gèrent ce pays depuis bientôt un demi siècle et qui font de la Tunisie un Etat de merde qui NIQUE son peuple! Point.
bonjour على ما يبدو أن الحرب القادمة لشعب مع وداد بو شماوي هذه المرأة تتدرج للصعود في السلم و السيطرة إمكنيات البلد ولربما ستحل محل ليلة بن علي لها علقات كبيرة مع حركة النهضة و أحد خدامها الوزير الجديد و المعروف المشاشو امتع لتحاد العباسي
Le fait d ‘étaler le linge sale et humide au grand soleil et un bon début pour s’en débarrasser de toute sorte de saletés et de microbes .Reste qu’il faut s’attaquer aux sources et causes de tous les maux nuisibles à la santé et du Pays et des citoyens .
Pour ne citer que les LOIS et Arrêtés ministeriels ayant traits au sujet des hydro-carbures évoqués dans le l’article sus indiqué , tout en remontant le temps Loi N° 45 de l’année 2010 – loi 38 de 2004 – 30 de 2001 – L 3 de de 94 – L 9 de 92 – L 56 de 90 – L 9 de 85 . . . . 1953 et le fameux Code des mines de 1948
Sans négliger les arrêtes ministériels du 23 Avril 2011 – du 9 Nov 2007 – 26 /08/ 2004 – 10/12/1997 -31 /05/ 94 – 20/10/93 – . . .BON le tout se refère au Code des Mines de 48 . Bien sure on peut remonter plus loin dans l’histoire en l’occurence l’incontournable ” BEYLIK ” du début du XIX siècle , mais tenons nous pour le moment à nos malheurs quotidiens .
Les Nominations de hauts fonctionnaires de l’ETAT par les fourbes multinationales et les Hommes d’affaires enrichis , Que se soit Vendre – dit , Sam – dit et/ou dit – manche . ils ne peuvent être choisis qu parmis les valets les plus dociles pour répondre aux signes des plus petits doigts du seigneur maître et bienfaiseur , des fois un éxcés de zéle se manifeste gratuitement ,Signe de fidélité inconditionnelle (SIC) Donc ce n’est pas aux multinationales qu’on doit s’attaquer de front mais plutôt au code de 48 en l’éradiquant et l’abolsant totalement , ainsi qu’à toute loi et arrêté faisant référence .
UN conseil aux héritiers du feu Hédi bouchammaoui : Une splendide mosquée érigée par votre père est récompensé par un Palais au PARADIS laissez le y accéder et habiter ne le privez pas , par vos Garguantuesques appétits irrassasiables de Crésus et des adorateurs de veaux d’OR Tenez vous du côté du peuple appauvrit , Pour votre Salut éternel , La Vie est éphémére .
J’ai bien aprécié cet article car certes, il a révélé tant de ”tabous” quant à notre richesse en matière de carburant.
Il va sans dire qu’une grande bataille contre les mafias qui ont abusé de nos richesses même si le nouveau premier ministre est JEMAA (ex-ministre de l’industrie), avec la liberté d’expression et la conscience des tunisiens, nous arrivons à faire la lumière sur tous les coins obscurs jusque là.
Jomaa a déclaré qu’il était non seulement favorable pour l’exploitation du schiste mais en plus qu’il finirait par trouver un moyen pour lancer ce merdier, Jomaa est au service de tous ces rats, ces mêmes rats qui le pistonnent, ce sont des merdes sans aucun principe, indignes de vivre sur ce sol, du pur produit de chiottes de caniveau, des carriéristes qui vont faire leur coup et se tirer comme les précédents vous allez voir
@ Salah
Oui c’est exactement ça, ils se tireront après avoir servi les copains et autres multinationales…
Ce qui est bien avec ces nations troupeaux c’est qu’inexorablement ils se font entuber d’une manière comme d’une autre. Jaddit a3lihoum Mehdi Jom3a le sauveur… Mais bons disons que fil hamm 3andik ma ti5tar walla hiya a9allou evararayn est dans le bouchameoui connection… Bref la tunisie va devenir une immense station service avec des bou3guel en vacances sur les derricks et l’oncle Sam aux commandes… Entubé hakka walla hakka l’ispices di colonisi…
Votre article est intéressant à plus d’un titre. Sans toutefois mettre un doute les aptitudes du nouveau premier ministre issu du consensus déclaré (ou imposé), mais la question que je me pose , c’est celle de savoir si ce nouveau premier ministre n’est pas lui-même manipulé par ceux qui l’ont initié à l’exploitation pétrolière ou à l’analyse des couches géologiques du pays, avant de le hisser en haut du podium, tout en l’utilisant (technique du renvoi d’ascenseur conscient on inconscient) comme paravent pour assurer l’implantation voilée de ce groupe sous un nom d’emprunt avec des ressources d’emprunt; je suppose que tout le monde saura (sans difficulté) que ce groupe est lui-même issu d’une république bananière. Si l’Afrique est à feu et à sang à ce jour, ce n’est pas pour rien. Donc j’espère que les nouveaux gouvernants regarderont à plus d’une fois et d’une manière bien documentée tout contenu d’un contrat comme, tout le pédigrée de chaque intervenant, avant de parapher quoi que ce soit avec qui que ce soit. Même si cela coûte de l’argent, l’appel à un ou deux cabinets d’expertise externes est préalable à toute signature d’un contrat. Même ces cabinets comme leurs intervenants doivent être choisis de manière documentée comme précédemment. je crois que le tunisien à tt a fait le gabarit cérebral necessaire pour être un pro., s’il le veut bien sûr.
Article intéressant et questionnements pertinents. Néanmoins, et malgré l’incontestable et louable effort d’investigation, cette dernière ne fait que commencer et il convient de ne pas tirer de conclusions hâtives. Bravo donc pour votre démarche et pour les questions soulevées mais je vous invite a poursuivre l’effort et a finir le travail : donnez la parole au ministère, a la direction générale de l’énergie, a l’Etap et surtout aux Bouchemaoui. Il serait tout de même injuste, immoral de lancer des accusations sur la base de présomptions.
le gisement de Mazrane est un tres petit gisement decouvert par HBS, il produit a peine de l ordre de 50 BBls par jour,il est en phase de Test Longue durée et la decouverte n apas ete transforme en concession car c set une decouverte marginale peu rentable. le puits est reste sous le regime de Test,et sachez messiers les theoriciens du Complot que l ETAT a travers l ETAP prend sa part de la production de ce puits en terme de redevance et d impots selon les lois en vigueur donc arretez de dire n importe quoi,HBS est une societé Tunisienne qui a osé forer trois puits d exploration et investis plus de 50 milliards et malheuresement elle n a trouve qu ne petite decouverte ,donc arretez de dire n importe quoi ,faut t il encourager les societes tunisiennes a investir dans la recherche petroliere ou non ? si vous voulez connaitre le dossier pourquoi vous ne pas s adresser a la direction generale de l energie ? ils vous donneront les chiffres des redevances et l impot payé par HBS conformement a la Loi. quand aux renouvellement des Permis ,l ETAT veut encourager les societes Tunisiennes a investir dans un domaine trés risqués et HBS a deja pris le risque d investir 50 millions de dinars sans succès.dans dautres pays on fait la meme chose Non? donnez nous des solutions on importe 60% de nos besoins en energie en dollars et comptant et on subventionne en plus l energie.(4000 milliards en 2013) la création de ressources suppose l encouragement des investissements Non,dites nous comment creer la richesse est ce en s attaquant aux hommes d affaires ? on ne veut pas de societes Etrangères ni d investisseurs Tunisien ?
arête avec tes salades, si l’etap et ces sociétés exploitantes étaient dignes de confiance et transparentes, ça se saurait. Ce qui ce sait c’est que ce sont des officines aux ordres de ceux qui ont les doigts et les mains qui brûlent…
L ETAP malgre ses problemes internes qui sont essentiellement la fuite de ses meilleures competances gere les interets de l etat et ses comptes sont transparentes et controles par la cour des comptes . elle publie ses comptes donc elle est tranparente .Quand aux compagnies petroliere comment voulez vous qu il soit transparents ces compagnies sont controles regulerement par les auditeurs d ETAP et les controleurs du ministere des finances. si quelqu un a un dossier de corruption ,pourquoi ne pas le presenter a la justice ?? accuser cest tres facile ,mais agir et presenter ds preuves est plus difficile ?
Si Mohamed BOUKINDIRA, C’EST VRAIS CE QUE VOUS DITES, malgre les problemes internes et externes ETAP a relativement bien gere l’activite petroliere de l’amont a l’aval. Des ingenieurs, des cadres(juristes,financiers, auditeurs) ont sacrifie leurs carrieres pour defendre les interets de la Tunisie et ils ont mis en place un systeme qui garantit 79% de la production nationale a l’Etat Tunisien. les autres commentaires ainsi que l’article en question montrent une meconnaissance du secteur petrolier en Tunisie qui est de nature a induire en erreur l’opinion publique. En effet Mazrane est une petite decouverte qui ne remplit pas les criteres d’octroi d’une concession et c’est pour cela que l’Etat a accepte de prolonger le test de production et le renouvellement de la validite du permis tout en sachant que de cette petite production l’Etat et l’ETAP ont preleve leurs droits.
Merci Nawaat pour votre travail mais qui reste incomplet ;
– HBS Oil est une SARL (d’après la publication au JORT) donc elle n’a pas un conseil d’administration. Elle a deux cogérants. Par conséquent Wided Bouchamaoui ne peut pas représenter l’organe de gestion de cette société !!!!
– Le capital de HBS Oil est de 400 000 DT, une poussière pour faire l’activité d’extraction!!!! çà m’étonne que des bailleurs de fonds ont octroyés des emprunts importants à cette SARL.
– Il y’a d’autres points sombres qui reste à clarifier…
[…] Le dernier rapport de Nawaat sur le scandale des concessions pétrolières n’a fait que lever un pan du voile sur une réalité scandaleuse de l’état de nos ressources naturelles. […]
dés que le prix d’un barill de petrole a dépassé les 80 $ et ceci en 2007 outre le puits de Borma ashtart et autre puits dont les réservoirs sont trés volumineux déjà en phase de production. la tunisie devient la paradis des carrieriste qui se sent sur un chemin du trésor alors que l’ETAP ET LE FAMEUX CODE MINIER Devient vraiement dépassé par les événement il faut un inventaire via un autre conseil constitutionnel dont les pricipaux acteurs des délégué au ministères de l’extérieur et de l’intérieur et des conseiller calculateur de réservoir et une permission pour faire l’inventaire et des expertise par sattelite sur les équipement de forage et de production utilisé et leur valeur en milliards de dollar si on trouve des équipement d’une valeur supérieur à des trillions de dollar alors nous les tunisiens nous devront passer à la vitesse supérieur et porter plainte contre tous qui vont dévoillée par les enquetes judiciaires et ainsi on pourra du moins préserver ce qui reste
vraie cé un crime qui se passe en tunisi
[…] la récente enquête exhaustive de Nawaat un possible conflit d’intérêts a été évoqué entre le président du gouvernement […]
bravo encore une fois pour vos articles d’investigation.
ce que je pense c’est que les malversations, ententes… ont toujours existé et avec lesbouchamaoui et avec les autres stės petrolieres. la corruption existe dans tous nos secteurs. Sommes nous les seuls dans le monde? meme dans les pays les plu democratiques on entend des dossiers pires (halliburton, goldman&sachs…)
nos hommes d’affaires et les IDE essairont toujours de tirer profit au max légalement et illegalement.
mais nous tunisiens, nous seront toujours là pour les contrer:
l’article relatif au controle du peuple syr ces ressources a été bel et bien adopté dans la constitution, quelques medias commencent a jouer leur vrai role d’investigation (cer article en est un bel exemple), la sté civile est devenue plus active grace aux libertés arrachées…
soyons vigilants!
Toute personne qui de loin ou de prés savait l’existence de cette mafia qui complotait envers l’état Tunisien et ne l’a pas dénoncé, devrait être assujetti à un questionnement, pauvre de toi citoyen Tunisien et maudit sont les traîtres
ال بوشماوى ،،،،،،و الحروف الأولى لمن استقووا على الشعب التونسي هو F A ،،،،،انه
فريد عباس ،،،،صاحب السفينة التي خطفها القراصنة بعد الثورة وتم دفع ثلاثة مليون دولار لفك اسر 33 تونسي ،،،،،دفع منها من خزينة الدولة في حكومة السبسي مليون دولار ،،،،والحال ان فريد عباس يضخ في نفط الشعب التونسي من حقل بني خلاد بالوطن القبلي دون رقيب ،،،ودون اقتسام إنتاج مع الدولة ودون دفع ال إتاوة ،،،،،والادعاءات ،،،،،اتصلوا بوزارة الصناعة وطالبوها بكميات الإنتاج ،،،،،ونصيب الدولة ،،،،،،لذلك فهو من اهم الممولين لضاعت صام الروز بالفاكهة ،،،،بالدليل ،،،،،وبدليل التسع شركات التي على ملكه المرسومة بالسجلات التجاري ببن عروس ،،،،فضلا عن شركاته في الخارج ،،،،،،في الجنان الضريبية ،،،،،،،يا شعب تونس فيق ً
،،،،،،،،ومن له معلومة فليقدمها للقضاء احتراما ،،،،،للفقراء ،،،مى لا يحسدوكم على ما انتم فيه من خير ،،،،انه أضعف الإيمان ،،،،،،،
[…] مريم بن عبيد، رياض القرفالي و سامي بن غربية، ترجمه من الفرنسية محمد سميح الباجي […]
Article honteux et haineux.
Ce que feu Hedi Bouchamaoui a donné a la Tunisie, vous êtes incapables de donner le millionième du milliardième.
Aux temps des disettes et des vaches maigres ce grand monsieur a formé des centaines d ingénieurs maintenant les meilleurs dans le domaine, a fait enterer des centaines de millions de dollars de devises, a créé des centres de formation était le pionnier des entreprises tunisiennes, était le seul tunisien a avoir des concessions a l’étranger, était un homme respectable et respectueux, nationaliste, rajel, audacieux, courageux, bosseur, batailleur, ingénieux, batisseur . Allah yar7mou wina3mou.
La famille bouchamaoui n a pas besoin de ce que rapporte cette miserable concession pour vivre. Ne vous inquiétez pas il y a tellement de 7soudia dans l’administration tunisienne depuis toujours qui ne leur font pas de cadeaux et j’en connais quelque chose.
Malheureusement pour cet article a pris le mauvais exemple pour passer son message.
Arrêter le denigrement gratuit des gens .
À n.belazi :
Vous dites “Ce que feu Hedi Bouchamaoui a donné a la Tunisie, vous êtes incapables de donner le millionième du milliardième.”
Or, vous paraissez bien prétentieux dans vos certitudes ! Qu’en savez-vous de ce que les personnes travaillant à Nawaat, ainsi que leurs ascendants, ont pu donner à la Tunisie !?
Nous pouvons également étaler nos faits d’armes et ceux de nos ascendants, mais ce n’est pas le sujet. Et aucun cas cela ne peut représenter un paravent à des interrogations si légitimes concernant la gestion des ressources qui appartiennent à la Nation. Du reste, le cas Bouchmaoui, comme indiqué dans l’article, nous importe peu. L’objet de l’article n’est ni de nuire ni de dénigrer quiconque. L’article pose des interrogations, et nous continuerons à le faire, jusqu’à ce que l’on obtienne des réponses. Qu’au sein des ces interrogations des noms de personnes soient cités, nous n’y pouvons rien.
Le propre même de la participation à la vie publique, en tant que gouvernant ou entrepreneur, implique le fait de voir son nom cité, soit avec des éloges, des critiques, des mises en cause ou des interrogations. Parfois à tort, parfois à raison, parfois d’une façon démagogique et parfois d’une façon pertinente. C’est le propre d’une démocratie avec une presse libre, quand bien même, pour le cas de la Tunisie, cette même presse demeure encore bourrée de défauts. Et celui qui ne désire pas voir son nom cité sur la place publique, qu’il fasse autre chose… qu’il s’éloigne de la vie publique, qu’il ne s’implique pas dans le processus des décisions qui impactent l’ensemble de la communauté nationale !
Il eut été nettement plus judicieux que votre commentaire apporta des réponses à nos interrogations, aussi à décharge soient-elles vis-à-vis des personnes que vous admirez.
Et rien ne vous empêche, encore, de rédiger un papier qui reprend nos interrogations afin de formuler vos réponses et porter la contradiction. Si vous le faites, nous le publierons dans son intégralité. Entre temps, inutile de nous accuser de vouloir dénigrer tel ou tel, sans apporter de réponses.
Cordialement
Comment je peux vous transmettre mon papier ?
À Nouri :
Vous pouvez le faire sur ce mail : contact@nawaat.org
mad bouchamaoui est voleuse.a voler la richesse du peuple il faut la
mettre en prison et la punir c’est le chatimon qu’elle merite
Votre article dépeint la situation d’investissement « onshore » et met en exergue la complicité douteuse entre ETAP et les acteurs du marché. En dépit de votre volonté manifeste d’ancrer l’article dans un contexte d’intrigue et de conciliabules on est loin du journalisme d’investigation et d’enquête.
Votre article s’inscrit dans le soupçon et mime la rumeur.
Le constat emblématique sur les modalités de la reconduite de différents contrats d’explorations des sites mentionnés est pertinent. Il dévoile la contingence et l’arbitraire institutionnels : des pratiques qui font fi aux dispositions légales …
Cependant votre article omet sciemment (ou par méprise) de mentionner les processus d’exploration, les permissions d’exploitations ainsi que les formes juridiques inhérentes des contractants à chaque étape. La fiscalité sur les hydrocarbures lors de l’exploration et la production.
Vous avez martelé le lecteur par votre chiffre redondant de 600 barils jours sans rien étayer…
Je pense que votre démarche demeure lacunaire et manque d’acuité …l’article traduit le désir impérieux du journaliste d’éclairer un sujet foncièrement lié au quotidien du lecteur et lui a fait miroiter un espoir de la caverne d’Ali BABa en optant pour un piètre parallèle avec les bananerais.
Des rentes de situation dans le secteur des hydrocarbures, dans le secteur des salines, et sans doute, aussi, dans le secteur des manufactures et du tourisme. C’est à croire que l’Etat a choisi de faire don de secteurs entiers à des intérèts privés.
Dès lors, au-delà des considérations sur les vertus -ou leur absence- des individualités, c’est tout un choix technique et idéologique qui se donne à voir dans ses effets néfastes pour le pays et sa population.
Ce qu’on voit depuis “la révolution” semble s’inspirer du mème schéma de pensée et ne manquera pas de produire des effets similaires. On se vante, en Tunisie, de ne point manquer de “cerveaux”, sans que l’on ait le moins du monde l’émergence d’une quelconque originalité. Un gouvernement de technocrates est une confirmation de l’absence de désir d’option originale, tant il apparait selon vos indications, composé de personnalités choisies comme pour incarner les divers intérèts en lutte pour gouverner économiquement et politiquement.
[…] Opinions Vos Contributions › Mar 3, 14 › 0 comments Ce droit de réponse fait suite à notre article : Le cas Bouchamaoui et le ministère de l’Industrie : la gestion bananière des ressources naturell…. […]
[…] Ce droit de réponse fait suite à notre article : Le cas Bouchamaoui et le ministère de l’Industrie : la gestion bananière des ressources naturell…. […]
[…] Nous savons que celle qui a sorti, au bon moment, le nom de l’actuel premier ministre est notre patronne des patrons Wided Bouchamaoui. Et comme les choses ne se font pas par hasard, on découvre que la "dynastie" dont est issue notre présidente de l’UTICA, a des intérêts importants dans le secteur des hydrocarbures comme le révèle une enquête publiée sur Nawaat.org. (http://nawaat.org/portail/2014/01/09/le-cas-bouchamaoui-et-le-ministere-de-lindustrie-la-gestion-ban…) […]
[…] الهمامي، م.ب.ع، رياض القرفالي و سامي بن غربية، ترجمه من الفرنسية محمد سميح الباجي […]
Cette fois-ci, hamyetha hiya haramiyetha au lieu de hamiha houwa haramiha. Et encore une fois, le pactol est le pétrole.
[…] en maître-chanteur pour qu’on n’évoque plus l’affaire du champ pétrolier Mazrane publiée sur Nawaat en début d’année […]
[…] political and economic institutions involved, namely the Ministry of Industry and ETAP. A Nawaat investigation from earlier this year is a reminder of this air of […]
Qui est F.A? Celui a qui on n peut rien refuser c grave
هل نستطيع تتبع كل من نهب الوطن. يوما. ما. ام. سنموت. ولن نري. العدل. يسود. في. وطني
http://nawaat.org/portail/2014/03/03/droit-de-reponse-hedi-bouchamaoui-un-batisseur-de-genie/
j’ai lu avec attention, émotion et beaucoup de consternation votre travail de recherche et d’investigation. Je voudrais vous remercier du fond du cœur sur ce que vous venez de porter à la connaissance des tunisiens . Encore merci et bravo à Nawaat !
[…] Il a donc suffi du déclic de la découverte, début mai, d’un nouveau puits de pétrole dans la région sinistrée d’El Faouar (Kébili), exploité à partir de 2016, théoriquement d’une capacité de production quotidienne de 4300 barils de pétrole et 400 mètres cubes de gaz naturel, pour que cette piqûre de rappel attise une problématique bien réelle d’opacité des contrats conclus dans ce secteur. […]
[…] of the movement in question. Jomaa is perceived to have been complicit -even passively- in the “banana republic” management of the country’s natural resources for having precipitated the renewal of exploitation contracts with foreign oil companies without […]
bjr . Mr. ayadi s v p voulez vous me contactez par message privé afin de nous aider à dementeler tt genre de corruption .
bn journeé