Des voix s’élèvent pour dénoncer une percée chiite, facilitée par le pouvoir en place en Tunisie. D’autres rappellent que le chiisme est enraciné dans l’histoire du pays. Entre soupçons de prosélytisme iranien, héritage fatimide, et attachement culturel à Ahl al-Bayt, se profile une réalité complexe.
