En début de semaine Imed Daïmi était formel : la HAICA serait mise en place le 1er avril. Pourtant rien n’était fait. Les pourparlers n’en finissent plus, la faute aux intérêts politiques semble-t-il.
En début de semaine Imed Daïmi était formel : la HAICA serait mise en place le 1er avril. Pourtant rien n’était fait. Les pourparlers n’en finissent plus, la faute aux intérêts politiques semble-t-il.
لمقاومة ظاهرة الإعتداءات : بريد إلكتروني لإستقبال تشكيات الصحفيين
Le Syndicat National des Journalistes Tunisiens (SNJT), Le Syndicat général de la culture et de l’information relevant de l’UGTT et […]
An open letter, issued Monday 25 March, to Tunisian President Marzouki, Speaker Ben Jaafar and Premier Larayed, in which the National Syndicate of Tunisian Journalists (SNJT), the National Authority to Reform Information and Communication (INRIC) and the General Syndicate of Culture and Information…
عقدت اليوم الخميس 31 جانفي نقابة الصحفيين اجتماعها الاخباري الاول لسنة 2013 في مقر النقابة . و قد تناول هذا الاجتماع عديد المواضيع الهامة سواء المحاكمات التي تستهدف الصحفيين وعبرت نقيبة الصحفيين عن موقف النقابة المبدئي ضد سجن الصحفيين و محاكمتهم على خلفية ما يكتبون
Deux ans après la révolution, la presse, que l’on présente comme le quatrième pouvoir indispensable à la jeune démocratie tunisienne, est-elle vraiment libre ? Les procédures contre plusieurs de nos confrères journalistes ne plaident pas pour une réponse positive et n’augurent pas de lendemains dorés pour la profession.
Le 10 décembre la composition du collège de la HAICA devait être annoncée par la présidence de la République. Ce jour là la Présidence est resté muette sur la question. Problème de liste explique-t-on. Toutes les propositions n’ont pas été reçues. Mais le vrai problème est ailleurs…
Le SNJT et RSF s’occupaient déjà de recenser les actes de violence et les agressions à l’égard des journalistes. Le Centre de Tunis pour la Liberté de la Presse (CTLP) s’y met aussi, espérant ainsi que le fait de multiplier les voix permettra de faire baisser ce type d’acte.
Si la Tunisie était dotée d’une instance de régulation des médias l’affaire de l’interview de Slim Chiboub aurait pu se passer autrement, c’est en tout cas ce qu’explique le SNJT. Encore une fois le vide juridique du fait de la non mise en œuvre des décrets-lois 115 et 116 pose problème. Reste que ce vide ne devrait pas perdurer.
Après une année difficile les journalistes ont l’air d’avoir enfin réussi à s’unifier. Le combat se tourne de plus en plus vers la liberté de la presse. Une liberté qui ne pourra être assurée que lorsque les médias seront indépendants et ce principe a l’air d’avoir été intégré par tous les professionnels du secteur
A peine plus de deux mois aprés sa nomination au poste de DG de Dar Assabah, Lotfi Touati s’en va. Le sit-in et les grèves de la faim des journalsites leurs auront permis d’avoir gain de cause. A travers l’affaire de Dar Assabah c’est tous les médias tunisiens qui reprennent espoir : car une première bataille en faveur de la liberté de la presse vient d’être remportée.
Le Syndicat National des Journalistes Tunisiens a tenu une conférence de presse, ce jeudi 30 Août 2012, au cours de laquelle il a dénoncé les dernières violations et la propagande orchestrée contre la liberté de la presse, notamment via les nominations gouvernementales à la tête des médias publics.
La polémique autour du parachutage de Lotfi Touati à la tête de Dar Assabah fait grand bruit et ce malgré le fait que sa nomination n’ai pas été entérinée ce matin. C’est que au delà du personnage, la méthode de nomination pose problème.
C’est un jeu de pouvoir autour d’intérêts qui se croisent. Les journalistes attendent qu’une institution en charge de la régulation du secteur audiovisuel soit mise en place, les patrons de presse veulent avoir leur mot à dire et le gouvernement se mêle de tout pour s’assurer de ne pas être contredit…
Dans son rapport annuel, publié lors de la Journée mondiale de liberté de la presse le 3 mai dernier, le Syndicat National des Journalistes Tunisiens (SNJT) a annoncé qu’il avait enregistré 60 agressions physiques contre des journalistes au cours de l’année écoulée…
L’INRIC et le SNJT seront absents de la consultation nationale au sujet des médias organisée par le Premier ministère qui aura lieu le 27 et 28 avril à la Chambre des Conseillers. En effet, l’Instance demande le report de cette consultation par contre le syndicat national des journalistes tunisiens choisit de la boycotter.
Cynisme et humiliation Lors de son allocution à l’Assemblée Constituante au sujet de la manifestation de l’UGTT organisée le 25 […]