En Tunisie, voile et théâtre, ne font pas bon ménage !

On m’avait prévenu. « On ne te fera pas de place dans le milieu artistique tunisien », me disait une amie tunisienne et artiste à qui je racontais les cours de théâtre que je prenais à Paris. C’était en 2012, alors que je venais de poser mes valises en Tunisie. Du coup, je me contente, dans un premier temps, d’être spectatrice : je fais le tour des salles de théâtre. C’est facile, elles se comptent sur le bout des doigts. J’accroche rarement. Ça aussi, on me l’avait dit : « Révolution ne rime pas toujours avec création ».

Réhabiliter les semences paysannes : un acte de résistance

Nous constatons que les variétés végétales inscrites au catalogue officiel, en 2014, sont pour la grande majorité hybrides et proviennent de géants de l’agroalimentaire, tels que Monsanto (27% du marché mondial), Synganta (9%), le groupe Limagrain (5%), ou encore l’entreprise japonaise Sakata (1,5%) . Selon l’Association pour le Développement Durable (Médenine), l’usage de ces semences ne cesse d’augmenter : Il était de 35% en 1975, de 58% en 1994 et de 75% en 2004.

Du cinéma derrière les barreaux

Projeter des courts-métrages pour les détenus dans les prisons, c’est ce que propose l’Association Culturelle Tunisienne pour l’Insertion et la Formation (ACTIF), dans le cadre de son projet « Joussour » (ponts). Retour sur une initiative artistique et humaine qui voyage de prison en prison pour adoucir les peines.

ماذا لو نُصالح أبناء المُدن مع الطبيعة؟

يومَ فهِم أمين الدْراوِي أنّ نمط حياتنا بصدد إبعادنا كلّ يوم أكثر عن الطبيعة، اختار مغادرة المخابر من أجل رائحة الأرض. على طريق تُزيّن جنَباته أزهار شجر اللوز والهندباء البرّية، التقيْنا أمين الدراوي وضيْعته البيداغوجيّة. نحن في مرناڨ، الواقعة على بعد عشرين كيلومتر من العاصمة، وصدى ضحكات تلاميذ المدارس يتردّد بين أشجار الزيتون. ريبورتاج في ضيعته البداغوجيّة بمرناڨ.

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