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Quelques précisions sur la Commission Nationale tunisienne sur la Réforme

Par Fawziya Mohamed – Nous allons donner quelques précisions sur les membres qui composent la commission tunisienne sur la Réforme, notamment sur son Président Yadh Ben Achour, sur Slim Laghmani, sur Rafaa Ben Achour, Horchani, etc. D’abord, en juillet 1990, Yadh Ben Achour avait été élevé par Ben Ali au grade de Commandeur de l’Ordre de la République, une haute distinction offerte par Ben Ali à Yadh Ben Achour.

La rue dit à Alya Hamza : Dégage !

Par Des lecteurs indignés – Réponse à l’article de Alya Hamza, injurieux pour la révolution, paru dans « La Presse de Tunisie » lundi 21 février 2011, en page 7, sous le titre « maintenant, ça suffit ! » : On croyait la mercenaire de la plume bien connue, Alya Hamza, à jamais disparue de la scène médiatique avec ses maîtres sanguinaires Leila et Zine El Abidine Ben Ali. Et voilà qu’elle a le cynisme de reparaître dans la Presse du 21 février …

“Démocratisation” néo-libérale du monde Arabe, projets pilotes en Tunisie et en Egypte

Par Takis Fotopoulos – En Egypte et en Tunisie, l’impensable s’est produit. Pour la première fois les pays arabes ont réussi à déraciner des régimes impitoyable et despotiques soutenus par l’élite transnationale, par des insurrections, et non pas, comme d’habitude, par coups d’État. Tout a commencé en Tunisie, où son peuple a été le premier dans le monde arabe à descendre dans la rue et renverser un dictateur efficace.

Quelle nouvelle constitution pour la Tunisie

Par Hatem Bennour – Nous n’avons pas le temps pour élire une assemblée constituante en Tunisie. D’ailleurs, je ne vois pas comment, elle pourrait se faire élire, qui pourrait se présenter et comment vont se faire les élections. Est ce qu’on va avoir le choix entre 10 ou 1000 personnes, 10 c’est gérable, 1000 non.

N’ayons pas la mémoire courte

Par Khaznagi Larbi – A lire les articles et à entendre les discussions, je reste tout à fait étonné de constater que nombreux sont ceux qui font remonter le début de la dictature, sous laquelle croulait notre pays, à la prise du pouvoir par Ben Ali. J’avais seize ans en 1956, l’année de l’indépendance. Et depuis, je n’ai jamais vécu sous un régime de liberté dans mon pays, jusqu’au soir du 14 janvier 2011. Alors pourquoi occulter cette période d’absolutisme sous Bourguiba, qui n’a jamais été un démocrate ?

بقايا النظام السابق يبحثون على عذارة سياسية جديدة

بقلم معز القابسي – مباشرة بعد تولي السيد فؤاد المبزع مهام رئاسة الجمهورية وتكوين ” الحكومة الوحدة الوطنية الأولى ” توالت المناورات و المحاولات للإبقاء على رموز النظام السابق. ولم تنطل الحيلة على شباب الثورة فتعالت الأصوات للقطع النهائي مع نظام بن علي. ولكن رغم ذلك تمكن محمد الغنوشي بعد فضيحة الحكومة الأولى و بمساعدة أصحاب النوايا المبيتة من تكوين حكومة ثانية و القيام بعدة إجراءات تتجاهل مبادئ الثورة كالتعيينات المشبوهة في سلك الولاة و الإدارة و الإعلام.