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Plus que jamais, la Tunisie a besoin de réconciliation pour une vraie démocratie

Un mois et demi se sont déjà écoulés depuis la fuite de Ben Ali. Et comme le pensaient la pluparts de ceux qui ont la tête sur leurs épaules, cela ne suffisait pas à redonner à la Tunisie sa brillance tant voulue. Le problème de la Tunisie n’est pas Ben Ali seul, mais tout un système, une démagogie, un savoir faire, une manipulation, des cadres hauts placés qui tirent profits de leurs sièges et surtout une mentalité tunisienne qui s’est attaché durant des années au culte de la personne, contre une personne ou pour une personne

Le délit d’initié : enrichissement illicite et prison

Le délit d’initié est un délit réalisé sur les marchés financiers(bourse) commis par des personnes ayant acheté ou vendu des valeurs mobilières suite à des informations privilégiées non connues des autres personnes. Il engendre évidemment un enrichissement personnel rapide et facile via des gains boursiers (plus-values boursières).

Quelques précisions sur la Commission Nationale tunisienne sur la Réforme

Par Fawziya Mohamed – Nous allons donner quelques précisions sur les membres qui composent la commission tunisienne sur la Réforme, notamment sur son Président Yadh Ben Achour, sur Slim Laghmani, sur Rafaa Ben Achour, Horchani, etc. D’abord, en juillet 1990, Yadh Ben Achour avait été élevé par Ben Ali au grade de Commandeur de l’Ordre de la République, une haute distinction offerte par Ben Ali à Yadh Ben Achour.

La rue dit à Alya Hamza : Dégage !

Par Des lecteurs indignés – Réponse à l’article de Alya Hamza, injurieux pour la révolution, paru dans « La Presse de Tunisie » lundi 21 février 2011, en page 7, sous le titre « maintenant, ça suffit ! » : On croyait la mercenaire de la plume bien connue, Alya Hamza, à jamais disparue de la scène médiatique avec ses maîtres sanguinaires Leila et Zine El Abidine Ben Ali. Et voilà qu’elle a le cynisme de reparaître dans la Presse du 21 février …

“Démocratisation” néo-libérale du monde Arabe, projets pilotes en Tunisie et en Egypte

Par Takis Fotopoulos – En Egypte et en Tunisie, l’impensable s’est produit. Pour la première fois les pays arabes ont réussi à déraciner des régimes impitoyable et despotiques soutenus par l’élite transnationale, par des insurrections, et non pas, comme d’habitude, par coups d’État. Tout a commencé en Tunisie, où son peuple a été le premier dans le monde arabe à descendre dans la rue et renverser un dictateur efficace.