Parce que des médias libres sont nécessaires pour une société qui avance et que la liberté de la presse est un outil de la démocratie, la Journée mondiale de la liberté de la presse avait un sens particulier en Tunisie.

Parce que des médias libres sont nécessaires pour une société qui avance et que la liberté de la presse est un outil de la démocratie, la Journée mondiale de la liberté de la presse avait un sens particulier en Tunisie.
Passer presque toutes mes journées au sein de l’Assemblée constituante au cours du mois passé ne m’a pas vraiment permis, contrairement à ce que peuvent penser les gens, à obtenir des documents importants afin de les transmettre au public.
Contrairement au chiffre erroné de 2% donné sous le régime Ben Ali, le pourcentage réel des handicapés en Tunisie en 2011 est estimé à 10% selon l’OMS. Lors de la conférence organisée par l’Organisation Tunisienne de Défense des Droits des Personnes Handicapées,
Jeudi dernier, la session matinale de la séance plenière devait en effet traiter des dossiers des martyrs. Pourtant, en raison des événements du 9 avril et des tensions qu’ils ont causé, la conversation a vite tournée à un débat rhétorique.
La question est la suivante : Pourquoi la Justice a été prompte pour arrêter des journalistes (notamment dans le cas du journal Attounissia) alors qu’elle semble aux abonnés absents quand il s’agit de l’intégrité physique du citoyen (cas de la répression policière le 9 avril 2012) ?
La FIDH est partie d’un constat simple : les femmes ont participé tout autant que les hommes à la contestation, pourquoi alors ne participent-elles pas de manière égale à la vie politique du pays ? Khadija Chérif, Secrétaire générale de la FIDH, revient sur les 20 recommandations
Un groupe d’habitants de Sidi Bouzid viennent d’entamer une marche à pied vers Tunis. Sans hésitation, on a voulu les rencontrer car cela rappelle les débuts de la Révolution tunisienne et sa Casbah 1 où des milliers de Tunisiens sont venus des entrailles de la Tunisie
C’est une histoire de chiffres : 62 femmes députées sur une Assemblée de 217 membres, 3 femmes Ministres dans un gouvernement qui en compte 41… Quand on sait que les femmes représentent plus de 51% de la population tunisienne on se dit qu’il y a erreur dans la donne.
En vivant dans une société conservatrice, où l’homosexualité est illégale, la communauté lesbienne, gay, bisexuelle et transgenre de Tunisie doit faire face à d’énormes pressions. De ce fait, en Tunisie, les gays et lesbiennes ne dévoilent pas leurs orientations sexuelles
ARTICLE 19, organisation indépendante des droits de l’homme, pour la protection de la liberté d’expression, vient de sortir le rapport : «Tunisie : la liberté d’expression et la liberté de l’information dans la nouvelle constitution».
Le militant de gauche annonce sur sa page facebook qu’il va porter plainte contre ceux qui ont appelé, dimanche dernier, au meurtre des Juifs, et a chargé Me Bochra Bel Haj Hmida de le représenter dans cette affaire. Voici le texte de son post.
Un article de Libération fait sursauter : la police française aurait parqué des clandestins Tunisiens dans un garage et les aurait afublée chacun d’entre eux d’un numéro, noté au feutre sur leurs bras.
L’histoire de la cyberdissidence en Tunisie et la lutte contre la dictature n’a pas été encore écrite et beaucoup de travail nous attend pour se ressaisir, respirer…et entamer enfin un travail de mémoire. Hier, le 13 mars, jour de décès de Zouheir Yahyaoui,
En mars 2006, j’écrivais, à l’occasion de la première commémoration de la disparition de Zouhair Yahyaoui : « Il y a un an, le chenapan du net tirait sa révérence. La vie continue pourtant à avoir le dessus et il faudra bien s’habituer à vivre sans lui mais toujours avec son souvenir. Car non, la mort ne dissout pas tout, surtout pas l’amitié ! » […]
Ce qui s’est passé à la faculté des Lettres de la Manouba hier représente un modèle d’affrontement entre islamistes et laïcs issus de la nouvelle génération. Au-delà des convictions de chacun, il y a des faits notables sur lesquels il faudra s’arrêter.
Historienne, journaliste, chercheuse à l’IRIS, secrétaire générale adjointe de la FIDH, Sophie Bessis pose un œil multidisciplinaire sur la situation de la Tunisie. Alors que la rédaction de la Constitution est en cours et que la situation autour des Droits des femmes est incertaine, elle a accepté de répondre aux questions de Nawaat sur la situation des femmes en Tunisie.
Cynisme et humiliation Lors de son allocution à l’Assemblée Constituante au sujet de la manifestation de l’UGTT organisée le 25 […]
La Tunisie, l’Algérie et la Libye sont mis d’accord sur un point : la non reconnaissance des populations amazighes. C’est en tout cas ainsi qu’a été vécu le refus de changement de la dénomination de « Maghreb Arabe » par Rafik Abdessalem, Ministre des Affaires Etrangères tunisien, lors du congrès ministériel des pays du Maghreb Arabe. Réaction d’une Amazigh Tunisienne, membre de l’Association Tunisienne de Culture Amazigh.