Society 1398

Tunisia’s bloggers defy state censors

Foreign tourists know Tunisia for its sunny beaches, ancient ruins and one of the Arab world’s most liberal societies. But for Tunisians, life is a daily tiptoe through a minefield of political taboos enforced by a vast security apparatus and heavily censored media. Now the country’s drive to embrace the internet is giving Tunisians an unexected new outlet to challenge authority.

Tunisian media is becoming more “Islamized”

In a recent report that surveyed radio listeners in Tunisia, the Sigma Consulting Center found that “Zaytouna” – a private religious radio station – topped the list with 12.1 percent audience share throughout the country. Private variety radio station Mosaic came close with 11.3 percent, followed by government-backed radio station […]

الهامر و”أولاد الحلال”: لا لوحات معدنيّة ولا هم يحزنون، ومن لا يرضى فليشرب من البحر!؟

الهامـر في لغة الانقليز تعني المطرقة. وهو كذلك اسم صنف من السيارات بالغة الضخامة التي يشبه شكلها السندان. وثمنها يبلغ مئات آلاف الدنانير. من كان في مثل وضعنا نحن الصحفيين يعيش بين المطرقة والسندان، فليس بإمكانه أن يطمع بأكثر من يرى صور هذه السيارة الماسيّة في أغلفة المجلات أو شاشة التلفزة. […]

Tunisie : Rap thod Dictaturya (Rap contre la Dictature) [Vidéo]

Un Rap Hardcor tunisien envoyé par Thawriste qui ne donne pas trop de précisions sur son origine. Dommage ! Ce Rap dénonce les condition de vie dans les rue de Redeyef et dans le bassin minier. Il revient également sur la vague de répression qui a endeuillé la région. Le texte est rageur et violent et les images ne le sont pas moins. âmes sensibles, s’abstenir ! Qu’on aime ou pas, ce rap a au moins le mérite d’exister.

Redeyef : Traqués, les deux Tunisiens se cachent à Nantes

[…] Oui mais, Nawfel soulève ses vêtements. Trouant sa peau, de vilaines cicatrices. Des impacts de balles et la rage dans ses yeux mobiles disent crûment la brutalité exercée à Redeyef. Redeyef, gros bassin minier du sud de la Tunisie, ses 300 emplois octroyés à d’autres bras que ceux du coin, « aux fils de bakchichs », dit-il. Cette injustice avait déclenché des protestations publiques en janvier 2008[…]