La semaine du 7 au 13 juillet fut celle des salves de Nidaa Tounes en direction de l’ISIE. Jeudi, Lazhar Akremi ira jusqu’à affirmer que « l’ISIE agit comme si son intérêt était dans le non enregistrement des électeurs ». Peu démocratique, voire autocratique à l’intérieur de ses propres structures, le parti de Béji Caïd Essebsi entend donner des leçons de démocratie à l’Instance. Il aspire même à s’y substituer, en exigeant un changement des règles du jeu à mi-parcours.
