À défaut de pouvoir les développés le régime bourguibien comme celui du dictateur Ben Ali ont fait tout pour conserver cette politique injuste et autoritaire. C’est à Tunis que se prenaient toutes les décisions, au profit du Sahel et de leurs villes natales. Le pire était que ces décisions ne soient même pas relayées ou communiqués aux habitants et sans aucun dialogue national ou dimension stratégique. La route de Bouderiesse (voir figure1) et d’autres zones de Kasserine est la preuve vivante de cet abandon bureaucratique.
