أصدر مركز كارنيغي للشرق الأوسط في 24 فيفري الفارط دراسة تحت عنوان ”ثورة هادئة: الجيش التونسي بعد بن علي“، تناول خلالها تاريخ العلاقة بين المؤسّسة العسكريّة والسلطة منذ الاستقلال مرورا ببن علي وانتهاء بالحكومات التي أعقبت 14 جانفي 2011.

أصدر مركز كارنيغي للشرق الأوسط في 24 فيفري الفارط دراسة تحت عنوان ”ثورة هادئة: الجيش التونسي بعد بن علي“، تناول خلالها تاريخ العلاقة بين المؤسّسة العسكريّة والسلطة منذ الاستقلال مرورا ببن علي وانتهاء بالحكومات التي أعقبت 14 جانفي 2011.
Parmi les causes à l’origine du succès du charlatan de Boumhel, sa forte médiatisation. Bien avant cette polémique, Kamel Maghrebi jouissait d’un intérêt particulièrement important auprès de certaines chaînes tv qui faisaient sa promotion. Il en était bien conscient, assez pour les instrumentaliser.
بجانب المدرسة الابتدائية بغرداية تنتصب دار السينما الجديدة على أرض تطل على السهول المنبسطة. الولوج من الباب يَحمِلك إلى فضاء فسيح، جدرانه البلاستيكية المُعلقة على الأعمدة زيَّنتها صور “شارلي شابلن” وعمالقة الفن السابع، وكراسي الجمهور قُدّت من حزم التبن المخزّن، الذي يستعمله القرويون أعلافا لحيواناتهم، وفي آخر الفضاء تَلوح شاشة السينما الكبيرة وركح المسرح الذي يلامس التراب.
Rhyme is no crime, photographer Emeric Fohlen’s exposition currently on view at the Institut Francais, offers the public a technicolor glimpse into “a censored culture,” Tunisia’s hip hop movement.
Loin de nous toute idée de polémiquer sur un sujet, somme toute, futile, comparé aux énormes problèmes du secteur de la santé, mais puisque les faits avaient été évoqués par les concernés de manière prêtant à équivoque dans une émission TV à une heure de grande écoute, on s’est vus obligés d’apporter ces précisions afin que chacun se fasse son idée.
أعددنا هذا الشريط الذي حاورنا فيه كلا من منوبي مروكي المشرف على المرصد، سكينة عبد الصمد عضوة المكتب التنفيذي للنقابة الوطنية للصحفيين و الفاهم بوكدوس المدير التنفيذي للنقابة الوطنية للصحفيين التونسيين، لتسليط الضوء على أهمية المرصد وأهدافه.
En marge des revendications sociales liées au chômage, les médias dominants nous ont bavé avec des récits sur de jeunes diplômés qui ont réussi des projets. La volonté et la détermination sont elles la clé des success-stories ? L’ascenseur social en panne du système éducatif fonctionne-t-il dans le milieu des affaires ? Sadok, Wafa, Tawfik et Omar ont cru aux promesses de l’Etat et ont tenté l’aventure de l’entreprenariat. Voyage dans le back-office d’un monde impitoyable.
نظمت اليوم لجنة مساندة مُعطلي قفصة ندوة صحفية عَرضت فيها آخر تطورات الاعتصام الذي ينفذه 58 شاب معطل عن العمل بمنتزه المروج، قَدِموا إلى العاصمة يوم 9 فيفري 2016 مَشيًا على الأقدام بعد رحلة الـ405 كلم التي دامت أكثر من 8 أيام.
La bourgeoisie n’est pas une sorte de « haut du panier » du peuple, tirant le pays vers l’avant. La bourgeoisie nationale d’un pays postcolonial ne l’a jamais été. Ceux qu’on appelle parfois « société civile » ou « technocrates » ont d’autres intérêts que celui du peuple tunisien : maintenir un status quo autour de leurs privilèges et leur mode de vie, leurs revenus et leurs valeurs libérales occidentales.
Présentée par le ministre comme une société italienne spécialisée en énergies renouvelables, ICL-Italy, comme elle se reconnait elle-même, n’est en fait qu’une filiale qui regroupe et fournit les produits de toutes les divisions de la société mère israélienne ICL dans le domaine de l’agriculture, l’industrie chimique, les additifs alimentaires, etc. Plus est, ICL-Italy est le représentant exclusif en Italie de la firme, israélienne aussi, Carmel Olefins Ltd basée à Haifa.
قصص النجاح الوهمية تخفي وراءها الكثير من الصعوبات والعوائق التي يصطدم بها أصحاب الشهادات المعطلين عن العمل أثناء التفكير في بعث مشاريع خاصة، مسار إداري مُعقد تتخلله الكثير من الإجراءات والوثائق التي لا يتحملون نفقاتها، علاوة على عدم جدية المؤسسات المعنية بهذا الملف في الاقتراح وتوجيه الشباب الباحث عن الخلاص من الفقر والبطالة.
Ce dossier se compose d’un reportage “semi-fiction” illustré par Sadri Khiari, d’un état des lieux des délégations spéciales et d’une interview avec Chaima Bouhlel la chef de projet Marsad Baladia, de l’association Al Bawsala. L’objectif est de découvrir la boite à outils dont dispose chaque citoyen pour agir efficacement sur les politiques locales. Mais aussi, comment il pourrait être privé de ces outils avec le prochain code des collectivités locales.
Nous n’avons que 264 municipalités. Ce n’est pas un grand volume mais c’est l’accès à l’information qui est difficile. Même quand nous avons les informations, il faut les numériser et cela prend du temps, beaucoup de temps. Car pour connaître les moyens financiers d’une municipalité, il faut les données sur trois ans au moins.
Budget participatif, Open Data, autogestion… des expériences d’ouverture aux citoyens rendues possibles grâce à la révolution. Les Tunisiens ont ainsi gagné une marge de manœuvre considérable avec l’éclatement du couple Etat-Parti. Certaines tentatives ont été limitées dans le temps d’autres, se propagent. Le pouvoir central est cependant omniprésent. En effet, qu’il soit incarné par le gouverneur, le ministère de l’Intérieur ou la présidence du gouvernement ce pouvoir constitue souvent une force contraire bloquant ce genre d’initiatives. Passage en revue de certaines expériences.
La date des prochaines élections locales n’est pas connue à ce jour. On ignore encore quels rôles seront attribués aux districts, régions et municipalités, ces nouvelles institutions, fruit de la constitution de 2014. C’est entre autres le code des collectivités locales qui dessinera le nouveau paysage de la vie locale. Le texte est à l’état de projet, mais il n’a pas encore été soumis au Parlement. Est-ce une évolution ou une régression? Pour répondre à cette question, il faut d’abord comprendre le fonctionnement actuel des municipalités. Un mécanisme offrant un vaste espace au citoyen pour prendre part à la prise de décision avec une omniprésence de l’autorité de tutelle. Reportage à mi chemin entre le réel et la fiction dans la mairie de “Baladiya”.
Mohamed Hanchi, 40 ans, blessé de la révolution, est mort le vendredi 26 février vers minuit à l’hôpital de Ben Arous. Le 13 janvier 2011, il reçoit une balle qui transperce sa cuisse et s’installe dans son bassin. Depuis, son calvaire n’a pris fin qu’avec son dernier souffle. Majdouline Cherni, chargée du dossier des martyrs auprès de Habib Essid, a dénié « tout lien de causalité entre la blessure pendant la révolution et la maladie qui a causé sa mort ».
Ils étaient plus d’un millier de policiers en civil à manifester jeudi 25 février 2016 jusqu’à la tombée de la nuit sur la petite esplanade de la Kasbah, à l’appel du Syndicat national des forces de sécurité intérieure, revendiquant essentiellement des augmentations salariales, et accessoirement le départ de Habib Essid… Cette fois l’épisode divise jusque dans les rangs des dits syndicats de police. Pour comprendre comment en est-on arrivé là, une brève rétrospective de la genèse de ces organismes s’impose.
TrackTour se veut une locomotive médiatique pour la musique tunisienne émergente. Qu’elles viennent des milieux underground, des formations expérimentales ou tout simplement des musiques actuelles, les playlists proposées ont l’ambition d’être l’écho d’une scène productive et riche en diversité évoluant davantage sur le web plutôt que dans les médias dominants. Chaque semaine, nous vous proposons une playlist thématique de cinq titres, au gré de l’actualité.