En réponse à ce que j’ai lu le matin du 01 juillet 2014, dans un communiqué de quelques lignes publié […]

En réponse à ce que j’ai lu le matin du 01 juillet 2014, dans un communiqué de quelques lignes publié […]
La ville de Sekhira a vécu, ces derniers jours, un nouvel épisode de violence et de répression policière dues à un mouvement social qui résiste et qui revendique encore le droit au travail, au développement et à un environnement sain. Le samedi 28 juin, alors que les habitants de la ville ont organisé une démonstration pacifique, dans la rue, pour dénoncer l’arrestation de six sitinneurs, les forces de l’ordre ont chargé avec du gaz lacrymogène (o-Chlorobenzylidene Malononitrile) et de la chevrotine, causant une dizaine de blessés parmi les manifestants.
À peine sortis du ministère en question, que l’on s’est égaré dans une ruelle adjacente. Soudain, un policier enrage en nous voyant perdus dans les parages du ministère, nous tenant des propos vulgaires, insultants et menaçants. Ne prêtant même pas attention à nos excuses et à nos questions afin de quitter cette lugubre ruelle. L’air hargneux et la bouche écumeuse, il ne cessa de nous sommer violemment de déguerpir. Comme quoi, il n’aura fallu que quelques instants à une seule personne pour ruiner un travail et un discours […]
Leur combat contre le despotisme a commencé depuis quatre ans. Elles ont sacrifié leur travail, leur sécurité et leur santé. Les ouvrières de SEA Latelec-Fouchana, une filiale du groupe français aéronautique Latécoère, ont entamé une grève de la faim, depuis neuf jours, à Tunis. Après plusieurs actions, sit-in, conférences, grèves et négociations, Sonia Jebali et Monia Dridi ne trouvent ni issue ni soutien à leur cause. Elles ont décidé, alors, d’entamer cette grève pour revendiquer leur droit au travail.
يعتبر تنامي العنف بشتى أنواعه في تونس بعد الثورة من أبرز ما يعاني منه الشعب التونسي بصفة تكاد تكون يوميّة. فإضافة إلى العنف اللفظي والجسدي الذي استشرى بين المواطنين أنفسهم أثناء المناسبات السياسية كالمظاهرات والمسيرات ومن بينها نذكر أحداث الإعتداء على منظوري الإتحاد العام التونسي للشغل من طرف ميليشات منظمة تابعى لروابط حماية الثورة المنحلّة، فإنّ حوادث كثيرة فردية أو جماعية قد جدّت في تونس واعتبرها البعض ” غريبة ” كما رأى البعض انها نتاج الفوضى التي حلّت بالبلاد إثر ثورة 14 جانفي. هذه الحوادث نذكر منها اغتصاب عدد من رجال الامن لفتاة كانت صحبة خطيبها، اغتصاب جماعي لفتاة من طرف 12 شابا، حرق أب لابنته ذات ال 12 سنة مما أدى إلى وفاتها وغيرها من الحوادث.
Le championnat national de natation des poussins qui se déroule normalement du 24 au 26 juin 2014 à la piscine olympique El Menzah de Tunis a été interrompu hier matin (25 juin) et ce à cause du mécontentement des parents des nageurs qui se sont vu imposer un droit d’entrée aux gradins de la piscine. La Fédération Tunisienne de Natation (FTN) vient de créer ainsi un incident sans précédent.
A l’initiative de l’Institut Tunisien des Etudes Stratégiques (I.T.E.S.), une conférence internationale s’est tenue, samedi dernier, au palais Dar Dhiafa à Carthage, sur « Le salafisme jihadiste en Tunisie et au Maghreb ». Cette conférence a été l’occasion d’aborder l’ensemble des spécificités caractérisant la mouvance salafiste en Tunisie, devant un parterre de journalistes, d’universitaires et de salafistes.
Souffrant d’« anorexie mentale », Kerkouene Ghzaiel, jeune étudiante de 28 ans est maintenue en détention provisoire depuis hier. Anorexique et frêle comme elle est, elle aurait, selon ses accusateurs, violemment agressé un agent de sécurité !
A leur huitième jour de grève de la faim, Ayoub Amara et Walid Azouzi revendiquent, toujours, leur droit à l’intégration dans la fonction publique. Anciens prisonniers et chômeurs, ces deux militants politiques disent avoir épuisé toutes les pistes de négociation avec le gouvernement et l’Assemblée Nationale Constituante, avant d’en venir à la grève de la faim, entamée lundi dernier, au local de l’Union Générale des Étudiants Tunisiens.
L’audience n’aura même pas duré une heure pour les inculpés comparaissant ce mardi 17 juin devant le tribunal de grande instance de Sidi Bouzid. Alors que le procès des quinze habitants de Hichria accusés d’avoir incendié le centre de la garde nationale est reporté au 7 juillet, le procès des douze jeunes de Menzel Bouzaiane est reporté sine die.
À la suite de l’enquête menée sur la Caisse Nationale d’Assurance Maladie (CNAM) sous le titre : « Ces plafonds qui vous tombent sur la tête » , son chargé de communication M. Younes Ben Nejma nous a contacté pour demander un droit de réponse et clarifier certains points.
Suite à la troisième réunion du dialogue national consacrée aux élections, le vote de la majorité des partis politiques a favorisé les élections législatives qui passeront avant les présidentielles. Cette décision met un terme au flottement que certains redoutaient, principalement l’Instance Supérieure Indépendante pour les Élections, surtout que l’ouverture de l’inscription démarre le 23 juin 2014. Maintenant, c’est au tour de l’Assemblée Nationale Constituante de fixer une date officielle pour les élections.
في سياق سلسلة التحرّكات الاحتجاجيّة الرامية إلى إطلاق سراح التلميذ سامي فرحات الموقوف منذ 04 ديسمبر 2013 على خلفيّة مشاركته […]
كلام شارع فقرة تسعى الى تشريك المواطن بكل تلقائية عبر ترك مجال له كي يعبر عن ارائه و تفاعلاته مع القضايا المطروحة على الساحة الوطنية في مختلف الميادين. رصدنا لكم هذه المرّة رأي التونسي من المنصف المرزوقي كرئيس الجمهورية.
كلام شارع فقرة تسعى الى تشريك المواطن بكل تلقائية عبر ترك مجال له كي يعبر عن ارائه و تفاعلاته مع القضايا المطروحة على الساحة الوطنية في مختلف الميادين. رصدنا لكم هذه المرّة رأي التونسي من الدعوة لحل نقابات الأمن.
L’atmosphère a commencé à devenir tendue, quand des policiers ont essayé d’interdire aux partisans de Issam l’accès au procès. Des slogans ont été scandés dans le hall du tribunal pour exiger l’ouverture de l’audience à tout le monde. Après quelques minutes, la défense de Issam a réussi à avoir l’approbation du juge pour laisser l’accès libre au procès.
Quand Azyz est arrivé à Nawaat, nous voulions évoquer avec lui beaucoup de choses, après l’épreuve qu’il venait de traverser avec son ami Sabri Ben Mlouka. L’homme est toujours aussi révolutionnaire dans ses actes comme dans ses pensées. À peine lui avons-nous posé une première question, qu’il s’est mis à sortir ce qu’il avait sur le cœur. Et sur le cœur, il en avait tellement… au point où il ne parvenait plus, parfois, à contenir son émotion.
L’attente a été très longue, mais finalement, tard la nuit, Azyz Amami et Sabri Ben Mlouka furent libérés suite au jugement du tribunal correctionnel de Tunis, déclarant le non-lieu. Cette longue semaine s’achève ainsi par la victoire de tous les Tunisiens… la victoire du droit sur la violence, la victoire du droit sur la matraque !
Voici les photos prises par Nawaat durant le rassemblement, en ce jour 23 mai 2014, devant le palais de justice en soutien à Azyz et à Sabri.
Ce qui devait ressembler à une «banale» interpellation policière, suivie de non moins «banales» violences policières, rentrera sûrement dans les annales tunisiennes du droit, comme un cas d’école des processus de mutation de la loi. Les peuples sont avides de symboles.
تبعا لمقالكم المنشور في 10 ماى 2014 تحت عنوان ” مركز تونس الدوليّ لتكنولوجيا البيئة: ملّفات فساد و تشكيّات بالجملة أمام صمت السلطات” أتقدم إليكم بالملاحظات التالية