Aujourd’hui, en Tunisie, après que les derniers mois de son gouvernement aient mis à l’œuvre la propension du parti majoritaire à une pratique caricaturée de l’islam acceptant de passer sous les fourches caudines de ses sympathisants les plus radicaux, nous sommes en train d’expérimenter, en une sorte de retour de balancier, une pratique aussi loufoque,
