L’un des questionnements les plus récurrents, en matière de folie comme en matière d’Histoire, est celui concernant les origines. Qui peut, sans équivoque, préciser qui a été le premier tunisien? Cherchez le père! Pourquoi est-ce si important?
L’un des questionnements les plus récurrents, en matière de folie comme en matière d’Histoire, est celui concernant les origines. Qui peut, sans équivoque, préciser qui a été le premier tunisien? Cherchez le père! Pourquoi est-ce si important?
L’homosexualité reste un grand sujet tabou dans beaucoup de pays. Quand on se découvre homosexuel alors que l’on est croyant, l’acceptation est encore plus difficile, car en plus de devoir faire avec le regard des autres on doit combattre ses propres idées reçues.
Convoquée par un juge d’instruction, l’artiste Nadia Jelassi s’est trouvée le 28 août dernier dans la posture d’une criminelle à côté d’hommes balafrés et menottés dans une salle au Palais de Justice …
La question qui se pose aujourd’hui, c’est de savoir s’il y’ aura une deuxième révolution, l’ultime cette fois, qui après la mafia Trabelsienne, nous libèrera de la dictature religieuse, en d’autres termes, Ennahdha, riche de ses énigmatiques milices et bientôt police des mœurs, est t’elle en train de causer sa propre perte ?
A El Guettar, une ville du gouvernorat de Gafsa, Moncef Aloui, président du Croissant Rouge, donne de son temps pour les autres. Rencontre.
« Il faut toujours avoir soif » balance Djamel Yahyaoui, coordinateur à Sawt El Manajem (radio Voix des mines) de Gafsa. Et il se trouve que l’équipe de la radio a toujours soif, c’est ce qui fait la différence entre les amateurs et les professionnels selon eux.
Il y a quelques jours, des milliers de femmes et d’hommes tunisiens sont sortis dans les rues, à Tunis et ailleurs, pour célébrer le 56ème anniversaire du Code du Statut Personnel et protester contre l’article 28 de la future Constitution qui définit la femme comme le complément de l’homme.
Voici, avec le 13 août, une nouvelle occasion perdue pour le gouvernement, celle de célébrer dignement la fête de la femme et le 55e anniversaire du texte fondateur de la modernité en Tunisie qu’est le Code du Statut Personnel !
Le 1 août dernier a eu lieu, au sein de la commission des droits et libertés de l’ANC, un vote sur des la protection des droits de la femme. Une protection édictée en des termes ambigues puisque la femme y est décrite comme « la partenaire de l’homme ».
Loin de la monotonie des habitudes ramadanesques tunisiennes, qui oscille entre les séries télévisées et les salons de thé de la banlieue nord de Tunis, des jeunes ont préféré prendre un autre chemin via l’événement hebdomadaire “Klém cheraà”/”street poetry” qui se tient chaque mercredi soir durant le mois de ramadhan.
On August 1, 2012, the Tunisian committee on rights and liberties – one of the constitutional committees charged with drafted different chapter in the Tunisian constitution – voted in controversial new language that promises to protect women’s rights as “man’s partner.”
Il faut l’avouer, face à cette actualité dense et tous ces chantiers économiques, sociaux et sociétaux menés de front en Tunisie depuis le 14 janvier 2011, l’écologie ne parvient pas à trouver sa place dans l’agenda et le discours des organisations politiques.