En attendant une analyse plus détaillée sur Nawaat, ce graphique est une démonstration éloquente contre les nombreux “contresens” répétés à satiété concernant le mode de scrutin de 2011 (reconduit pour les élections de 2014). Prochainement, nous nous étalerons sur l’analyse statistique de la proportionnelle au plus fort reste -sans aucun seuil (!)- dans un contexte transitionnel. D’ores et déjà, affirmons que ce mode de scrutin dans ledit contexte transitionnel tunisien s’avère, au regard des contraintes consensuelles, le moins mauvais pour une démocratie en voie d’installation […]
