In order to perpetuate its grip on power and because it is more than ever weakened, the Islamist party Ennahdha is now dangling before the opposition members, promising their integration soon in a future reshuffled government.
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In order to perpetuate its grip on power and because it is more than ever weakened, the Islamist party Ennahdha is now dangling before the opposition members, promising their integration soon in a future reshuffled government.
On amadoue certains dirigeants de l’opposition par des postes ministériels alléchants. Mais changer les employés en gardant le même patron, les mêmes machines et le même plan de travail ne servira à rien. Les démocrates doivent bouger, pas dans la rue mais par l’action.
كلام شارع فقرة تسعى الى تشريك المواطن بكل تلقائية عبر ترك مجال له كي يعبر عن ارائه و تفاعلاته مع القضايا المطروحة على الساحة الوطنية في مختلف الميادين. رصدنا لكم هذه المرّة موقف الشّارع التونسي و تفاعله مع التحوير الوزاري المرتقب و كان السؤال : ماهي انتظاراتك من وراء هذا التحوير ؟
Contraste saisissant. Alors que le remaniement du gouvernement est une nouvelle fois reportée en raison de différends persistants au sein […]
La question des droits et libertés à inscrire dans la constitution suscite les passions et est révélatrice du fossé séparant […]
Tunis, 14 janvier 2013, c’est jour de manif, mais aussi jour de récup’ ! Afin d’aller au-delà de l’institutionnalisation de l’aspect « carnaval » de la révolution, nous sommes allés au contact des rassemblements les plus théoriquement apolitiques, pour constater que politique et esprit partisan sont en réalité omniprésents…
Le parti Ettakatol vient d’entamer depuis 18h30 une réunion d’urgence de son bureau politique. Il a menacé ce matin, par le biais de son porte parole Mohamed Bennour, de se retirer de la coalition au pouvoir. Selon Samy Razgallah, membre du BP, certaines conditions doivent être prises en compte par leur partenaire Ennahdha, sinon, son parti se retirera de la Troïka.
نظم اليوم مجموعة من اهالي و شهداء انتفاضة الحوض المنجمي وقفة احتجاجية امام المجلس التاسيسي على خلفية ما بات يعرف بقضية المرسوم عدد97 الذي استثنى شهداء الحوض المنجمي من قائمة المتمتعين بالتعويضات. كنا على عين المكان و اعددنا لكم الروبرتاج التالي كما كان لنا لقاء مع المناضل عدنان الحاجي
استقبلنا اليوم السيد خليل الزاوية وزير الشؤون الاجتماعية في مكتبه بمقر الوزارة …و تناولنا بالنظر عديد المواضيع الحارقة سواء تلك التي تخص الاحتجاجات الاجتماعية التي تتصاعد وتيرتها من حين الى اخر في كامل جهات الجمهورية او ايضا تلك التي تتعلق بالسياسة المنتهجة من طرف الحكومة عموما و من طرف وزارة الشؤون الاجتماعية على وجه الخصوص قصد ايجاد الحلول للخروج من الوضعية الاجتماعية الحرجة التي تمر بها البلاد.
Pour la énième fois, le remaniement ministériel prévu récemment pour le 14 de ce mois, date anniversaire de la Révolution tunisienne, a été reporté au 20 janvier prochain. Subissant la pression de ses alliés CPR et Ettakatol au sein de la Troïka, Ennahdha cherche de tous les côtés à élargir la coalition au pouvoir, sans résultat.
C’est une impression d’apathie qui ressort en parcourant la presse internationale ce 14 janvier à la recherche d’articles sur le deuxième anniversaire de la chute de Ben Ali. La majorité relate simplement les marches organisées à Tunis à cette occasion. Les quelques articles d’analyse donnent dans l’ensemble l’image d’une Tunisie engluée dans une transition qui ne tient pas ses promesses.
C’est avec un profond sentiment de désarroi et un certain malaise que je vous vois fêter le deuxième anniversaire de notre révolution, malencontreusement trahie. Nos réalisations depuis deux ans, si réalisations existent, méritent-elles vraiment d’être célébrées? Avons-nous réussi le processus post-révolutionnaire? Les objectifs de la révolution sont-ils dignement atteints? Malheureusement, NON.
« Enfin, il y a du multipartisme » s’est exclamé aujourd’hui, 14 janvier 2013, un jeune tunisien venu célébrer le deuxième anniversaire de la Révolution tunisienne. A l’avenue Habib Bourguiba, artère principale de la capitale de la Tunisie, plusieurs partis politiques ont envahi la rue. Cliquez sur la flèche pour visualiser les images.
Peut-on célébrer l’anniversaire de la révolution ? « Oui, mais pas avec tout le monde », répondrait Desproges ! La veille du deuxième 14 janvier d’après révolution, si le climat politique se détend, officiellement, avec un semblant d’initiative de dialogue national à Carthage, il se crispe, voire se para-militarise en coulisses, comme le révélait Nawaat cette semaine, ce qui nous vaut au passage un deuxième Nawaatgate en deux mois.
Le ministre de la Justice, Noureddine Bhiri, était auditionné mardi 8 janvier par les élus de l’Assemblée nationale constituante (ANC) réunis en session plénière. Lors d’une séance plutôt mouvementée, le ministre n’a pas été épargné par les critiques de l’opposition sur la gestion de son ministère.
قضينا مدة الأسبوعين من الاستقصاء و التحري تمكنا على اثرها من استبعاد فرضية الخلية المسلحة المزعومة التي يقودها رجل الأعمال فتحي دمق لننطلق في البحث وراء تنظيم مواز لأجهزة الدولة على علاقة بحركة النهضة
Les conclusions de deux semaines d’investigations nous ont permis d’écarter l’hypothèse d’une cellule armée dirigée par Fathi Dammak pour ouvrir la piste d’une organisation parallèle aux appareils de l’Etat, en lien avec le parti Ennahdha.
Comme lors des célébrations du 14 janvier 2012, où seul un député français avait fait le déplacement, aucun responsable politique de premier plan n’assistera au deuxième anniversaire de la fuite de l’ex-dictateur Ben Ali à Tunis le 14 janvier prochain…