Au lendemain des dernières élections législatives, la troïka avait laissé la place à un quartet, une coalition de quatre partis économiquement libéraux : Nidaa Tounes, Ennahdha, UPL, et Afek Tounes (8 sièges). Malgré sa loyauté dans le soutien au gouvernement Essid, ce dernier parti s’estime aujourd’hui trahi, négligé dans les prises de décision de l’exécutif. « On n’a pas consulté Afek Tounes concernant les dernières nominations de gouverneurs », regrette l’élu Riadh Mouakhar, l’un des leaders du parti, membre de son bureau politique.
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