La question qui se pose est : Le pourquoi de ce positionnement arabe d’un côté, applaudissant de l’intervention israélienne “le cas égyptien”, et de l’autre côté des manifestations fragiles et incohérentes avec l’ampleur de l’événement “l’agression israélienne” à caractère global qui touche “civils, infrastructure, maisons, résistance…” ?
