الجمعة هاذي أخطانا من جبدان العباد في فنّهم.. الجمعة هاذي ماناش باش نعملوا حتى critique… الجمعة هاذي يظهرلي عرفنا “الاندرڤاع وين يتباع”، أما المشكلة اللي هو يتباع بلاش فلوس… شكون فهم الــparadoxe ?!!
Rompons le silence assourdissant entre islamistes et modernistes et inventons une nouvelle démocratie (3ème partie)
Assez déjà il à été parlé de liberté politique, de liberté de poursuite juridique arbitraire et des limites de la liberté. À mon avis il devient grand temps d’aborder ces aspects de la liberté auxquels tout le monde pense mais que peu jugent être sage d’articuler publiquement. Permettez-moi dans ce sens de lancer tout de suite au début quelques questions sur la scène pour y réfléchir ensemble
La troisième voie
C’est la voie de ceux et celles qui veulent vivre dans une société ouverte et tolérante où chacun aurait sa place. C’est la voie de l’avenir sur et un passé obsolète. C’est la voie de la lumière sur l’obscurité. Et elle triomphera.
Une question de dignité et de liberté !
Le premier évènement s’est déroulé dans une région pauvre de l’intérieur et les tunisiens l’ont reconnu comme un appel pour la dignité. Le deuxième évènement s’est déroulé dans la capitale et a cristallisé une aspiration pour la liberté traduite par la fuite du dictateur. Ainsi, la dignité et la liberté sont symboliquement restaurées au moins en apparence.
Après l’assassinat de Brahmi : être juste de voix et de voie !
L’heure n’est plus aux atermoiements ni aux calculs politiciens et encore moins à la trop fameuse langue fumeuse faite de bois et d’arrière-pensées.
Peut-on produire une culture de liberté ?
Depuis la révolution tunisienne, il est peu de réalité aussi essentielle et aussi sujette à disputes que la liberté. Les discours qui la nient ne manquent pas et les oppressions qui la bafouent sont légion.
Mounir Baâtour : un jugement nul et non avenu
Notre justice, supposée révolutionnaire, s’illustre de nouveau par un jugement abracadabrant en condamnant le président du Parti Libéral Tunisien à la prison ferme pour homosexualité. Certes, la peine n’est que de trois mois et elle est considérée comme insuffisante par les ayatollahs de la morale; pourtant, elle est déjà bien excessive, heurtant non seulement la légitimité de l’ordre juridique, mais carrément la légalité, tout en étant contraire à la morale islamique authentique.
EL Teatro: Sauvons notre constitution, sauvons nos libertés et nos droits.
Lors de mon très court séjour en Tunisie, j’ai répondu à l’appel du comité de soutien de weld el 15 et je me suis rendu à El Teatro mardi matin. La nuit de lundi à mardi, et ayant pensé et repensé à cet épisode tragique qui est la condamnation d’un artiste à 2 ans de prison ferme pour une chanson, j’ai décidé de préparer un petit mot afin d’exposer ma vision de la manière dont il faut soutenir la victime de l’appareil de répression tunisienne qui n’a jamais disparu.
Lecture critique du quatrième brouillon de la nouvelle constitution Tunisienne
Par rapport au brouillon no. 3 on peut retenir dans la version du 1.6.2013 un bon nombre de progrès considérables. En effet dans le deuxième paragraphe du préambule les droits universels de l’homme ne sont plus restreints par une soit-disant spécificité culturelle tunisienne.
La phobie de la liberté en Tunisie : entre l’enclume de Femen et le marteau des salafistes
Je tenterai d’analyser le phénomène sociétal de l’intégrisme en Tunisie, laissant de côté la dimension politique ou encore socio-économique. L’intégrisme est à prendre ici dans son sens le plus large, c’est-à-dire le fait de vouloir assujettir l’Autre aux mêmes habitus du groupe.
Le projet de la nouvelle constitution tunisienne en 10 questions
“Ce projet de constitution est un hold-up de la révolution”, Ces mots lancés par la députée Karima Souid quelques jours avant la diffusion du brouillon de la constitution annonce un projet qui ne fait pas consensus au sein des députés. C’est pourtant bien la version qui a circulé sur internet avant même d’être soumise aux députés, qui sera étudiée par le comité mixte de coordination cette semaine.
Human Rights Watch: Le projet de constitution tunisienne doit être revu
L’Assemblée nationale constituante de Tunisie devrait modifier les articles du nouveau projet de constitution qui menacent les droits humains, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui. Human Rights Watch a analysé ce projet afin d’identifier les sources de préoccupation relatives aux droits humains.
Apostrophe des trois Présidences : la Révolution tunisienne est en péril; votre devoir est de réagir vite et fort !
Un homme politique a été incarcéré pour sodomie présumée, et cela se passe dans la Tunisie de la Révolution !Or, juridiquement la base légale de pareil acte judiciaire est inexistante. En effet, l’abrogation de l’ancienne Constitution a entraîné de facto celle de tout l’arsenal légal en usage sous la dictature pour réprimer les libertés. Or, le droit à la vie privée en est une manifestation éminente.
واثورتاه ! دعوة ملحة وعاجلة إلى إبطال جميع القوانين المخلة بكل حريات الشعب
هذه صرخة في آذان كل ثوري حق، خاصة كل من ادعى المنافحة عن الثورة والذب عن حق الشعب فيها؛ إنها صرخة صادقة، نابعة من القلب، فلعلها تكون مدوية لتوقظ الضمائر النائمة وقد أخذها الوسن فغدت ترتع في دروب هي أبعد عن أخلاقيات الثورة وعن مطامح الشعب في الحرية والانعتاق من ربقة الديكتاتورية الفكرية والمعنوية، وقد تخلص لوحده من براثن الهيمنة السياسية.
L’Aube est-t-elle si proche ?
Le monde arabe allait vivre sa mutation, se libérer de l’autoritarisme et accéder à la pluralité, à plus de justice et de liberté. Néanmoins, la question éthique se trouve totalement occulté comme objet complexe d’étude inséparable de l’analyse du mouvement révolutionnaire.
ليست الإساءة من البنت، يا سيد عادل العلمي، بل منك!
ماذا يقول السيد العلمي المحترم؟ أن هذه الفتاة، لنشرها صورا عارية، تستحق حسب شرع الله ما بين 80 و100 جلدة؛ إلا أن ما قامت به لا يستحق إلا الرجم حتى الموت. ويضيف أنه لا بد من الحجر الصحي عليها لأن عملها وباء، إذ يصفها بالمصاب بمرض خطير ومعد، فلا بد من عزلها ومداواتها
La philosophie de la nation et l’expressivité de la notion dans la Tunisie postrévolutionnaire
La nation est-elle une construction idéologique, une donnée culturelle ou bien une notion due à l’accumulation historique ? Cette question qui donne suite aux propos d’Eric Hobsbawm ouvre le débat sur les méthodes pour mieux appréhender cette problématique dans la Tunisie postrévolutionnaire.
« Harlem Shake » ; « Je danserai malgré tout » ; La Danse érigée comme une voix libre en Tunisie.
La portée sociétale de la danse et de toute expression corporelle comme acte artistique dans l’espace public a démontré, à travers le fil de l’Histoire, sa lutte et son combat pour exiger son droit légitime à la création et à la diffusion citoyenne. ….