Martyrs et blessés de la révolution 39

La Polit-Revue : Indécence de la droite progressiste, L’UE à la rescousse en tandem, arlésienne du code électoral

Il ne s’agit pas ici d’établir une hiérarchie entre les libertés et les droits économiques et sociaux. Il s’agit de souligner le paradoxe que donne à voir aujourd’hui la scène politique tunisienne, entre une forme de progressisme de droite d’un côté, et de cas sociaux de l’autre, dont certains directement issus des évènements de la révolution et qu’aucune famille politique ne représente vraiment, encore moins l’actuel gouvernement technocrate trop occupé à relancer l’économie par toujours plus de libéralisme.

La conférence de la colère et de l’indignation suite au verdict du procès des martyrs et blessés de la Révolution

Qualifié de « mascarade », de « haute trahison », de « parodie de procès » et de « crime », le verdict prononcé, samedi dernier, par la Cour d’appel militaire dans l’affaire des martyrs du Grand Tunis, de Thala et de Kasserine, a suscité l’indignation et la colère des familles des martyrs et blessés, de leurs avocats et d’une grande partie de la société civile et des partis politiques.

La Polit-Revue : Le verdict de la honte

Samedi 12 avril, jour noir dans l’histoire récente de la Tunisie post-révolution. Le verdict en appel tombe dans l’affaire des martyrs et blessés de la révolution. Le tribunal militaire allège considérablement les peines de prison ferme prononcées en première instance à l’encontre de Rafik Haj Kacem, d’Ali Seriati, ainsi que plusieurs généraux et directeurs de la sûreté impliqués dans diverses exactions.

Tunisie : L’affaire du martyr Amine Grami révèle l’identité d’un sniper militaire

L’affaire numéro 4283 à la Cour militaire permanente de Tunis ou l’affaire du martyr Amin Grami remet sur table le dossier des snipers poussant les analystes à reprendre la question d’un œil plus global pour comprendre les détails et dévoiler les vérités. L’accusé d’avoir tué le 17 Janvier 2011 Amin Grami est l’officier n°655 tireur d’élite de l’armée de terre Mohamed Sebti Ben Mesbeh Ben Mohamed Mabrouk.

Tunisie : Quand l’art devient lutte

Il paraît que l’art permet à l’être humain de rêver. Ça c’est pour le premier rôle. L’art est aussi un un baromètre. Il sent la société, perçoit ses mouvements, s’en inspire et donne à voir. Et puis il finit toujours par représenter le monde et surtout par le transformer. C’est que l’artiste doit être précurseur et doit nous faire réfléchir à travers ses œuvres. L’art et la culture doivent nous permettent d’élever notre esprit et notre condition.