En musique comme au cinéma, une nouvelle vague de production passéiste semble occuper le paysage artistique en Tunisie. Une démarche fort heureusement évitée par quelques approches créatrices innovantes et démarquées, mais la redite du patrimoine demeure incontestablement le dada par excellence d’une génération en théorie rebelle, porteuse d’un souffle nouveau, libre et libérateur.
Fawzia Zouari, du féminisme à rebours
Que faire au chevet d’une mère hospitalisée, agonisant à petit feu ? Dans son dernier roman, « Le corps de ma mère » (mars 2016), la réponse de Fawzia Zouari joue avec les deux faces d’une même médaille idéologique : en faisant parler sa mère, son récit insinue que féminisme et tradition sont inconciliables. Ce parti pris idéologique ne colle-t-il pas à une psychose coloniale qui se vomit à gros bouillons ?
Laïcité hystérique
Par Nizar Chabbi. En réaction à la déferlante d’hystérie qui touche notre pays ces dernières semaines concernant les islamistes, barbus, salafistes, et autres adjectifs […]
Tunisie : L’art du Mezoued, une histoire méconnue
Des années 50 à aujourd’hui, le Mezoued a traversé l’histoire sociale et musicale de notre pays. Pourtant le Mezoued, art […]
L’Egypte, destination vacances pour petites filles à exciser
« Que se passe-t-il en Europe ? Pourquoi ces familles installées depuis des années hors d’Egypte renvoient encore leurs filles […]
Les Carnets de Voyage de Alyssa : l’Iran, 30 ans après …
[…] La petite Shirin est une vraie star, pas seulement par la beauté ou les habits derniers cri que sa mère va chercher à Dubaï, mais elle adopte toutes les pauses avec un naturel et une grâce déroutante. Parvin m’apprend qu’elle lutte depuis 6 ans pour divorcer sans succès […]