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Machiavelli’s intelligentsia as model for Tunisian stabilization

The mobilizing of society through strikes and the historical UGTT social struggles for workplaces and health services is compulsory to the need of progress required in regulating rights, but what about the condition of slums in the aftermath of the 2012 ? The 2014 Constitutional text, by contrast to what stated in the Egyptian one, does not limit or regulate the Salafist-jihadi inclusion in politics or society.

عاملات ”لاتيلاك“ فوشانة : هل تأخذ فرنسا باليسرى ما أعطته باليد اليمنى

رسائل الاحباط و نداءات الاستسلام كانت تأتيهن من كل حدب وصوب. من المحيط الاجتماعي اليومي إلى الهياكل و المسؤولين الذين باشروا كل من موقعه هذا الملف. الأغلبية ممن صادفن شكك في جدوى تعنتهٍن حتى يشح الأمل في نفوسهن و يسلمن بما شاء أحفاد منداس فرانس. هنا شابات انصفتهن الثورة فاستطعن أن يأسسن نقابتهن المستقلة في أواخر سنة 2010 احتجاجا على ما لحقهن من تحرش وإبتزاز وظروف مهنية تفتقد إلى أبسط الشروط الدنيا لحفظ الكرامة والعيش الكريم.

“Sit-in du Destin” à Tataouine et crise de Ben Guerdane… Bassin Minier 2.0 ?

Depuis quelques jours, le gouvernorat de Tataouine et la zone frontalière de Ben Guerdane sont en train de vivre une crise, qui s’est transformée en heurt entre la police et les habitants de la région. Selon les médias nationaux privés et publics, les confrontations sont en rapport avec la contrebande, alors que le sit-in a été déclenché parce que que les habitants veulent que le projet du “Gaz du Sud” soit entièrement fait à Tataouine. Sauf que selon les pages Facebook et les médias de la région, les raisons de cette crise sont beaucoup plus importantes. Nous avons donc essayé d’avoir plus de détails sur ce qui se passe réellement dans le sud de la Tunisie.

La Polit-Revue : A qui profite la grève ?

Face à l’escalade des demandes sociales qui a touché cette semaine des secteurs vitaux de l’économie, l’UGTT était davantage dans la réaction et le commentaire que dans la revendication. La question de l’extradition de Ben Ali ne sera quant à elle pas évoquée lors de la visite de Mehdi Jomâa ce weekend aux pays du Golfe, ce qui rappelle si besoin était qu’il existe de nombreuses similitudes entre gouvernement conservateur et gouvernement technocrate.

خواطر حول الحوار الوطني

بعد أشهر من الشد والجذب والحشد والحشد المضاد والمفاوضات الماراطونية، تم لاختيار على وزير الصناعة في حكومة علي العريض ليعوض هذا الأخير و ليبادر إلى تشكيل حكومة جديدة سترث تركة ثقيلة وعدداً مهولاً من الملفات الحارقة

La Polit-Revue : Dialogue national. Et la montagne accoucha de l’Industrie

Le messie était donc sous nos yeux. Mehdi Jomâa « al Mahdi al mountadhar » comme l’appellent déjà les facétieux réseaux sociaux, a été chargé samedi par un dialogue national moribond de former le prochain gouvernement de compétences. Technocrate plutôt discret, le quinquagénaire a su se ménager une virginité politique qui lui permet aujourd’hui d’être l’homme par qui Ennahdha opère une sortie de crise politiquement à moindre coût.

La Polit-Revue : Dialogue national, l’enfer est pavé de bonnes intentions

La semaine politique du 1er au 6 octobre fut dominée par deux évènements majeurs théoriquement indépendants l’un de l’autre, mais qui en réalité sont intimement liés, voire corrélés. Entre la conférence de presse de l’IRVA qui ouvre la semaine et la tenue de la session inaugurale du dialogue national qui la clôt, s’il n’y a pas de relation de cause à effet entre les deux happenings, la pression exercée par le premier sur le second est indéniable.

La Polit-Revue : L’avant dialogue national, ou la grande guéguerre pour le pouvoir

Le coup d’envoi effectif du dialogue national n’engage plus que ceux qui y croient encore. Plus de 2 mois de blocage, des belligérants qui se tournent le dos et même une intervention américaine en coulisses feraient presque passer la crise tunisienne pour un nouveau casse-tête type Proche-Orient. Une lueur d’espoir est cependant venue apporter samedi la promesse de mettre fin aux querelles politiciennes.

La Polit-Revue : la lutte finale ?

La semaine politique s’ouvrait sur une note insolite. Lundi, le mystère du « 3ème homme » est élucidé. Les effets personnels remarqués sur la table parisienne autour de laquelle se sont assis Rached Ghannouchi et Béji Caïd Essebsi appartiennent au milliardaire Slim Riahi. La crise politique se « peoplise ».