Genève, les 20 et 21 juin derniers, les exilés politiques tunisiens ont fondé l’OIDET, une organisation internationale revendiquant collectivement leur « droit au retour » dans leur pays. Invités à ce congrès constitutif, les associations de défense des libertés et les partis d’opposition en Tunisie sont, de leur côté, repartis comme ils étaient venus, autrement dit en rangs désunis face à la reconduction plébiscitaire programmée du président Ben Ali à l’automne prochain.
