Fort de ses 37 % des voix obtenues aux élections du 23 octobre 2011 et du soutien de ses supplétifs d’une supposée gauche laïque, le mouvement islamiste a cru pouvoir s’approprier la Tunisie, en instillant dans la vie politique, économique et sociale – à doses régulières et bien calculées – son venin idéologique en vue de concrétiser son projet obscurantiste.
