Environment 325

مصنع السّياب بصفاقس: التلوّث ولعبة المصالح

لم يهدأ الجدل حول غلق مصنع السياب بصفاقس منذ أن أعلنت الحكومة التونسية، في مجلس وزاري انعقد يوم 13 جانفي 2016، التزامها بتفعيل قرار الغلق. وتحت ضغط منظمات المجتمع المدني التي نظمت مسيرة حاشدة يوم 14 جانفي الفارط جدّدت الحكومة وعودها بغلق السياب دون تحديد آجال دقيقة

Djerba la Douce, bientôt noyée dans ses ordures !

Le seuil critique des dysfonctionnements au niveau de la gestion des ordures est déjà atteint à Djerba. Il n’est pas admissible que l’exécutif tout comme l’ARP demeurent aussi inertes face à la gravité de la situation. Pourquoi faut-il dans ce pays n’agir que lorsque la situation devient catastrophique. Car, catastrophique, elle l’est déjà. Désastreuse et irréversible pour toute l’île, elle le sera sous peu… si le nécessaire n’est pas entrepris rapidement.

Sauver l’Oasis de Nefta

L’oasis de Nefta, aux portes du Sahara, repose sur un écosystème original dont l’équilibre est aujourd’hui menacé. Rencontre avec l’Association de Gestion Durable de l’Oasis de Ras El Aïn qui aide les agriculteurs à réhabiliter leurs parcelles.

Tunisia’s Parched North

The highlands of Tunisia’s north-west hold the national record for rainfall. And yet the region’s scarcity of potable water is a nightmare for inhabitants. In the governorate of Béja, the National Water Distribution Utility (SONEDE) system stops at the borders of M’chargua, Zaga, Toghzaz, Marja Zweraa and Oulèja. The idyllic scenery–abundant flora, lakes and rivers that stretch as far as the eye can see—is in sharp contrast with the emaciated faces of perpetually thirsty villagers. Nawaat visited the region to investigate one of the most absurd injustices of independent Tunisia.

La soif du Nord

La région est un petit bout de paradis qui donne envie de vadrouiller à l’infini. Paradoxalement, elle est enfer et malédiction pour ses habitants. La verdure abondante, les lacs à perte de vue et les fleuves contrastent avec les visages émaciés des villageois. Nawaat est allé à la rencontre des habitants de la région pour enquêter sur l’une des injustices les plus absurdes de la Tunisie indépendante.

شمال العطش

بعد أن رصدت نواة مشكلة العطش و حوكمة المياه في كل من سجنان شمالا، دوز جنوبا و القيروان والقصرين وسط البلاد، ،عاد فريق نواة هذه المرة للشمال راصدا أحد أكبر المظالم المسلّطة على القرى المجاورة لسدّ سيدي البرّاق التي تسجل مستويات قياسيّة في نزول الأمطار، ومع ذلك فإنّ أزمة مياه الشرب تمثّل كابوسا حقيقيّا للأهالي.

Meknassi : chronicle of a disaster foretold

Built in 2012, the Meknassi waste water treatment plant in Sidi Bouzid has yet to commence operations, stalled by a disagreement concerning the trajectory of treated waste water. The proposal by the National Sanitation Bureau (ONAS) to transfer treated waste water into Oued Elben is contested by locals, who fear for the future of the ecosystem in a valley known for its rich biodiversity.

Meknassi : chronique d’une catastrophe écologique annoncée

Depuis 2012, la station d’assainissement de Meknassi à Sidi Bouzid est en suspens. Un désaccord opposant les habitants à l’Office National de l’Assainissement Sanitaire (ONAS) persiste concernant la trajectoire de transfert des eaux usées traitées vers Oued Elleben. Le trajet choisi par l’ONAS est contesté par les habitants qui ont peur pour l’écosystème de la vallée, considérée comme rare par sa biodiversité.

L’urgence de lutter contre les plantes invasives

Actuellement, la morelle jaune semble impossible à éradiquer dans de nombreuses régions. Son extension vers les régions arides de la Tunisie centrale et méridionale est hautement probable. Là, elle risque de s’étendre en particulier dans les périmètres irrigués. Ce qui rend son confinement difficile, c’est l’absence de tout service qui s’occuperait de son élimination des bords des routes d’où elle commence son expansion. Les services municipaux des villes où elle est présente ne sont pas conscients du danger de son extension et, encore plus grave, nombreux sont les agriculteurs qui n’ont aucune idée du péril qu’elle représente.

حول نُدرَة الأنواع الحيوانيّة الطبيعيّة في تونس

تقتصر الأنواع (أو الأجناس) التي سيتمّ التطرّق إليها في هذا المقال على الثديّيات والطيور الأرضيّة. لن يتمّ تناول الأجناس البحريّة إلاّ عرضًا، وعند الضرورة. وضمن الأجناس البرّية، سينحصر الحديث على الحضريّة منها بهدف محاولة الإلمام بأسباب نُدرتها، لأنّه يمكن أن تكون المخاطر المحيقة بالأنواع المهاجرة (الطيور) ذات أسباب غير محلّية.

Sur la raréfaction des espèces animales naturelles en Tunisie

Les espèces dont il sera question dans le présent papier se limitent aux Mammifères et Oiseaux terrestres. Les espèces marines ne seront évoquées qu’accessoirement, et quand le besoin se fait sentir. Parmi les espèces terrestres, seules les espèces sédentaires seront évoquées, pour tenter de cerner les causes de leur raréfaction, car les menaces pesant sur les espèces migratrices (Oiseaux) peuvent ne pas avoir des causes locales.