تبعا لمقالكم المنشور في 10 ماى 2014 تحت عنوان ” مركز تونس الدوليّ لتكنولوجيا البيئة: ملّفات فساد و تشكيّات بالجملة أمام صمت السلطات” أتقدم إليكم بالملاحظات التالية

تبعا لمقالكم المنشور في 10 ماى 2014 تحت عنوان ” مركز تونس الدوليّ لتكنولوجيا البيئة: ملّفات فساد و تشكيّات بالجملة أمام صمت السلطات” أتقدم إليكم بالملاحظات التالية
تضمّن الملّف الذي تحصّلت عليه “نواة” العديد من المخالفات والتجاوزات التي شملت العديد من المشاريع التي تمّ تمويلها من قبل الشركاء الدوليّين بالإضافة إلى المخالفات الإداريّة وسوء التسيير والتصرّف. ودون أن ننجرّ إلى لعب دور القضاء، فإنّنا سنحاول عرض الإخلالات التي وردت في الملفّ وطبيعة الأجواء المشحونة التي تسود هذه المؤسّسة في انتظار أن تحسم المحاكم في هذا النزاع الذي يمتدّ لسنوات وأثّر في مردوديّة المركز وإشعاعه.
In spite of being a national heritage site in plain view of the shores of Berges du Lac in Tunisia’s capital, the islet has never been officially open to Tunisians. Needless to say it is newsworthy—though curiously not in Tunisian media—that the recent completion of a study signals the imminent opening of the forgotten island to the public.
La place qu’occupe l’environnement, aujourd’hui, dans la sphère sociétale tunisienne, se rétrécit comme une peau de chagrin. Passant outre les défis socio-économiques, gouvernants, institutions, entreprises et citoyens, placent les questions environnementales au plus bas dans leur échelle de priorités. Les déchets jonchant les rues n’étant que la partie visible de l’iceberg d’une politique environnementale défaillante.
Le navire BIGORANGE XVIII de Schlumberger (le même Schlumberger, ancien employeur du ministre de l’Industrie Kamel Bennaceur) procède actuellement à des opérations de fracturation hydraulique au large des îles Kerkennah, malgré les risques environnementaux. Il s’agit très probablement de la plateforme Miskar.
« Siège entre sel et sable » appartient à une nouvelle vague de cinéma indépendant. Il s’agit du premier documentaire scientifique en Tunisie. Avec peu de moyens et de la volonté, le jeune journaliste Radhouane Addala et son partenaire Sam McNeil ont réussi à tourner un film qui traite du changement climatique en Tunisie.
كلام شارع فقرة تسعى الى تشريك المواطن بكل تلقائية عبر ترك مجال له كي يعبر عن ارائه و تفاعلاته مع القضايا المطروحة على الساحة الوطنية في مختلف الميادين. رصدنا لكم هذه المرّة رأي مواطنين من مدينة بنزرت حول مشروع المارينا.
S’agissant d’un milieu fragile, l’étude d’impacte réalisée sur ces marais et le Ministère de l’Environnement avaient insisté sur la nécessité de maximiser les espaces verts et de limiter les constructions afin de ne pas troubler les équilibres naturels établis.
يهدف هذا المقال بالأساس إلى تحليل و نقد مشروع القانون المتعلق بإنتاج الكهرباء من الطّاقات المتجدّدة المعروض حاليا على المجلس التأسيسي للمصادقة عليه في علاقته بالشركة التونسية للكهرباء و الغاز بوصفها مرفقا حيويا من المرافق هذه الدّولة و دعامة من دعائم اقتصادها، و على ضوء ما جاء به دستور الجمهورية الثانية من فصول مدعمّة لوجوب حماية الثروات الطبيعية للبلاد
Hier, 19 novembre 2013, lors d’un dîner-débat organisé par l’ATUGE (Association des TUnisiens des Grandes Ecoles), Mehdi Jomaa, ministre de […]
يقتضي البتّ في مسألة غاز الطَّفل دراسة شتّى جوانب المشروع والبدائل المتاحة. وسيكون أسهل لو قدّم مناهضوه حلاّ بديلا لحاجيّاتنا من الطّاقة وبوجه خاصّ لتوليد الكهرباء في السّنوات القادمة، والمسؤولون عن الطّاقة توقّعات الإنتاج والكلفة وما يعود إلى الجانب التّونسيّ كحصّة للمؤسّسة الوطنيّة وكعائدات للخزينة،
« Un premier puits a été foré par fracturation en 2010 ». C’est avec cette phrase que la Banque Africaine de Développement a confirmé, dans son dernier rapport sur le gaz de schiste en Afrique, l’existence d’un forage qui a été effectué en 2010 en Tunisie. Pourtant, Rchid Ben Dali, Directeur Général de l’énergie affirme : « Moi, Directeur Général de l’Energie, vous confirme que nous n’avons effectué aucune exploration et aucune activité liée au gaz de schiste ! »
Le Conseil constitutionnel français a décidé, le vendredi 11 octobre 2013, de valider la loi du 13 juillet 2011 qui interdit l’utilisation de la fracturation hydraulique, technique qui sert à extraire les hydrocarbures non conventionnels comme le gaz de schiste… La Banque Africaine de Développement a publié quant à elle, le 17 octobre 2013, un rapport dans lequel elle dit que le projet de Shell en Tunisie est toujours en cours d’étude … Qu’en est-il vraiment de la position des autorités tunisiennes et où en est le projet de Shell ?
« Le triangle de la mort », c’est ainsi que la population de Ksibet El Mediouni nomment désormais la baie de Monastir, naguère réputée pour la pureté de ses plages et l’abondance de ses poissons. Encerclée par la station d’épuration de Frina au nord, et par celle de Lamta, au sud, leur mer est devenue, au fil d’une vingtaine d’années, un véritable dépotoir toxique où se déversent résidus et produits chimiques non traités.
217 incendies, 3 943 hectares ravagés sur la seule période du 1er mai au 26 août 2013 : ce sont les derniers chiffres, alarmants, communiqués par la direction générale des forêts. 60 % de ces feux sont d’origine inconnue. Les acteurs de l’environnement déplorent des pratiques criminelles destinées à s’accaparer illégalement terrains et pâturages ; sans compter de possibles agissements d’ordre politique destinés à semer la confusion ou à occuper les services sécuritaires.
تعرّض الغطاء النباتي المنتشر على كامل تراب الجمهوريّة الّتي تمسح 162000 كم² إلى الإصابة بأمراض وبائيّة خطرة تهدّد إستمراريّته و بقائه و هذا ما يشكّل تهديدا للأمن الوطني الغذائي الّذي يرتكز على تنوّع منتوجيّة ثرواته المتمثّلة في إنتاجيّة العديد من النبتات لا سيّما الشجيرات و الأشجار المستغلّة في مجالات و قطاعات عديدة أهمّها القطاع الغابي و القطاع الفلاحي.
Où en est le projet de la Marina Cap 3000 ? D’un point de vue administratif ? Sur le plan patrimonial, où en sont les fouilles archéologiques ? Les activités sportives ? Quelles sont les initiatives sur place ? Que revendiquent les acteurs ? Ce dossier étant hautement politique, où sont donc les politiques ?
A Ouled Nsir, dans le gouvernorat de Kairouan, une foreuse perce le sol depuis prés de deux mois en continu à la recherche de pétrole. Les habitants, victimes des nuisances de cette exploration, ont a nouveau manifesté aujourd’hui, comme ils l’ont fait le 11 juillet dernier.