Un hors série de journal « La Presse », paru le 3 décembre dernier, nous propose de retracer l’histoire du dessin en Tunisie sous le titre « Vive la Révolution ». Chouette ambition et sacré challenge pour le quotidien.

Un hors série de journal « La Presse », paru le 3 décembre dernier, nous propose de retracer l’histoire du dessin en Tunisie sous le titre « Vive la Révolution ». Chouette ambition et sacré challenge pour le quotidien.
Le Syndicat National des Journalistes Tunisiens a tenu une conférence de presse, ce jeudi 30 Août 2012, au cours de laquelle il a dénoncé les dernières violations et la propagande orchestrée contre la liberté de la presse, notamment via les nominations gouvernementales à la tête des médias publics.
Ils sont une quarantaine, tous les journalistes de Dar Assabah, à occuper le hall d’entrée de la maison cette aprés-midi. Ils se sont réunis et crient leur ras le bol au nouveau DG, Lotfi Touati, arrivé par coup de force la semaine dernière. « Nous n’apprécions pas les décisions dont le nouveau DG nous bombarde .»
Ce mercredi midi, sur la place de la Kasbah, un nouveau sit-in avait lieu. Il s’agissait des employés et journalistes de Dar Assabah, soutenus par des citoyens, qui protestaient contre les nouvelles nominations au poste de Directeur Général (DG) et Président du Conseil d’Administration (CA) de Dar Assabah.
La décision de l’INRIC de mettre fin à ses activités et de cesser de jouer les figurants est un message urgent destiné aux nouveaux gouvernants pour leur signifier qu’il n’existe aucune autorité capable de priver les Tunisiennes et les Tunisiens de leurs droits fondamentaux dont, en premier lieu, leur droit universel à une presse libre et pluraliste.
Le 16 juillet dernier la radio nationale tunisienne a publié un communiqué niant les dernières accusations de «censure». En effet l’institution publique a récemment fait l’objet de critiques virulentes suite à à l’interdiction faite à la journaliste de RTCI, Nadia Haddaoui Mabkhout, d’accéder au siège de la radio, siège depuis lequel elle anime l’émission de radio “Café Noir”.
Comment ont été décidées les nominations des nouveaux directeurs des neuf radios ? Qui est-ce qui les a nommés en vrai ? Le gouvernement ? Mohamed Meedeb ? Ou Mohamed Meddeb qui a été nommé DG de la Radio Tunisienne par le gouvernement ?
Voilà des mois que l’INRIC a terminé son travail sur la réforme des médias et a fait promulguer deux textes encadrant la liberté de la presse. Des textes que le gouvernement a jugé “insuffisants”. Le Premier Ministère a donc lancé une consultation des médias, dont la deuxième partie se fait toujours attendre…
Alors que la critique va bon train concernant le professionnalisme des journalistes tunisiens, critiques émanants même de correspondants de presse travaillant en Tunisie, il suffit de se pencher sur le travail de la presse française…
Il paraît que la télévision et la radio font l’opinion. Il semble donc logique qu’une instance de régulation se charge de vérifier l’équilibre des infos émanant du petit écran. Partant de cette idée l’INRIC a rédigé un texte afin de mettre en place une Haute autorité indépendante (HAICA).
Dans son rapport annuel, publié lors de la Journée mondiale de liberté de la presse le 3 mai dernier, le Syndicat National des Journalistes Tunisiens (SNJT) a annoncé qu’il avait enregistré 60 agressions physiques contre des journalistes au cours de l’année écoulée…
Rachid Arhab, ancien grand reporter français, est aujourd’hui membre du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel. Il était de passage à Tunis à l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse. Il a profité du séjour pour faire un crochet par l’Institut de Presse et des Sciences de l’Information, pour donner une conférence aux étudiants.
La première séance de la Consultation nationale sur les médias organisée par le Premier ministère a eu lieu aujourd’hui 27 avril 2012 à la Chambre des Conseillers à Tunis bien que l’INRIC ait demandé son report et que le SNJT l’ait boycotté…
L’INRIC et le SNJT seront absents de la consultation nationale au sujet des médias organisée par le Premier ministère qui aura lieu le 27 et 28 avril à la Chambre des Conseillers. En effet, l’Instance demande le report de cette consultation par contre le syndicat national des journalistes tunisiens choisit de la boycotter.
L’INRIC a adressé au Président de la République, au Président du Gouvernement et au Président de l’Assemblée Nationale Constituante une lettre dans laquelle elle demande le report de la «consultation nationale sur le cadre législatif du secteur de l’information publique»
L’Instance Nationale pour la Réforme de l’Information et de la Communication (INRIC) met en garde contre les graves déclarations de presse, de plus en plus insistantes, de certains dirigeants du parti Nahdha au sujet de la « privatisation des médias publics ».
Située dans un appartement à l’éclairage hasardeux d’un immeuble inachevé, la radio la Voix des mines de Gafsa (350 kilomètres au sud de Tunis) représente une expérience inédite en Tunisie. C’est en effet l’une des rares radios communautaire du pays
En lisant l’éditorial du mercredi 27 mars d’un grand quotidien français en fin de journée, les propos, lus depuis la Tunisie, me laissent perplexe. «Ces Islamistes qui disent non à la Charia » titre l’éditorial, […]