Maintenant que l’hypothèque RCD est levée, que ce parti moribond se déchire lui-même, que ses rats se nourrissent des leurs […]

Maintenant que l’hypothèque RCD est levée, que ce parti moribond se déchire lui-même, que ses rats se nourrissent des leurs […]
Tout le monde a remarqué la récente effervescence des Tunisiens sur facebook pour s’échanger idées, infos (ou intox) et exprimer […]
J’ai lu sur Facebook aujourd’hui un certain nombre d’appels sincères au retour au calme, agrémentés parfois de railleries envers l’UGTT, […]
[…] Ceux qui ont pris le risque d’agir ou de parler et qui ont subi des traitements odieux sous la dictature l’ont fait à cause de convictions très fortes qui leur donnaient l’espoir fou d’un changement. Mais entre nous, soyons francs un instant: l’écrasante majorité des Tunisiens n’avait plus aucun espoir de changement. Et ceux qui en avait ne s’attendaient pas à un changement si radical et si rapide. […]
Une petite devinette, qui a dit ? : « Ma conscience est tout à fait prête à faire des concessions […]
[…] L’argument de l’expérience pour résoudre les problèmes en ces temps troubles (qui sont caricaturés à grand coup de projecteur par les médias TV7 en pointe..) est un argument qu’ils vont toujours utiliser c’est justement celui là :”Faites nous confiance, on a plus l’expérience ! ” Mais à ce rythme, celui qui a le plus d’expérience c’est Ben Ali, autant le faire revenir de son palais doré en Arabie !!!! […]
Lettre ouverte à Radhia Nasraoui, Sihem Ben Sedrine, Souheir Belhassen, Mokhtar Trifi, Ahmed Mestiri, Hamma Hammami, Rached Ghannouchi, Moncef Marzouki, […]
D’abord je suis tunisienne et j’ai décidé de briser le silence et d’écrire sur ce blog que je découvre via […]
D’abord une remarque de forme : ne brouillons pas les cartes, les révoltes tunisiennes n‘ont aucun lien avec ce que […]
Au lendemain de la révolution du peuple tunisien qui a connu sa journée de gloire le 14/01/2011 avec la fuite […]
Regardez ces deux images … vous ne voyez aucun rapport avec notre révolution tunisienne non ? et bien moi j’en […]
Suite à l’annonce du gouvernement de transition, je me permets de partager quelques réflexions sur le fond et la forme, […]
Après les évènements sans précédent que notre pays a connu ces dernières semaines et qui ont abouti à la chute […]
L’expulsion/fuite de Ben Ali n’est qu’un relais à la vraie et ultime liberté. Ben Ali n’a été que le fervent serviteur et premier porte parole de la dictature du RCD. (il s’est d’ailleurs grassement servi). En fait, si on lit et lie bien les faits, l’étincelle révolutionnaire n’a été déclenchée que par cette mainmise du Parti Unique sur toute forme de privilège économique et social ainsi que sur les richesses et opportunités du pays.
Mais avant cela, et au plus vite, il faut commencer par notre gouvernement de transition. Nous devons être surs de ces hommes et femmes car le peuple tunisien doit avoir confiance en son gouvernement. Car n’oublions pas que même l’opposition ‘légale’ (puisque légalisée par ben ali pour le servir) a quelques exceptions près (PDP…) a fricoté avec l’ancien régime.
Conseiller de Zine El-Abidine Ben Ali au palais de Carthage, il avait pris contact de sa propre initiative quelques jours avant la chute de l’ex-président parce que, disait-il, il ne voulait pas “être complice des massacres”. Pour le rencontrer, ce dimanche 16 janvier, il faut suivre des émissaires à travers un dédale de rues.
Nul ne peut contester, sauf à mentir aux 10 millions de tunisiens et à la multitude de personnes qui ont suivi avec curiosité, intérêt et finalement enthousiasme, en direct à travers le monde, la libération d’un peuple, que la vacance de la présidence de la République en Tunisie s’est produite le 14 janvier 2011 à 17. 40 par la fuite précipitée, de M. BEN ALI de Tunisie et l’abandon concomitant de la fonction.
Une dictature des plus féroces vient de tomber, en Tunisie, « le pays calme », comme dit la publicité touristique… « Travail, liberté, dignité », voilà le mot d’ordre scandé dans toutes les manifestations qui ont secoué la Tunisie depuis des semaines, accompagné par le silence complice du gouvernement français qui, par la voix de Mme Alliot-Marie proposa ses services pour « aider à ramener le calme ». L’histoire est en marche en Tunisie. Elle retiendra que le gouvernement français a soutenu, comme la potence soutient le pendu, un dictateur aveugle, sourd et corrompu qui a régné pendant 23 ans pour enrichir sa famille et ses affidés.