Réduire Saied à un robot populiste relève de la bêtise, de l’entêtement et du mépris. C’est la trinité d’une classe qui résume la Tunisie aux microcosmes qui la composent, aux recettes qu’elle a bien connues. Aujourd’hui, depuis sa position hors-jeu, elle ne peut qu’observer de nouvelles lignes de clivage apparaitre entre ceux qui veulent moraliser la vie publique quitte à draper la société dans le conservatisme et ceux qui veulent manger peu importe celui qui leur sert le râtelier.
