A Djebel Jelloud, les affiches déchirées des candidats aux élections législatives jonchent les murs. Elles côtoient des tags plus ou moins lisibles. A quatre jours des élections, rien n’annonce une atmosphère de campagne électorale. Un semblant de calme qui contraste avec un climat social marqué par la violence. Les situations des femmes témoignent du malaise de toute une région où la précarité détermine souvent le vote.
