Nawaat a accueilli, samedi dernier, une projection-débat sur la réforme de la loi 52, relative à la consommation des stupéfiants […]

Nawaat a accueilli, samedi dernier, une projection-débat sur la réforme de la loi 52, relative à la consommation des stupéfiants […]
Voici le résumé vidéo de la rencontre “Projection-débat : Ensemble, réformons la loi 52” organisée à l’initiative d’« Al Sajin 52 » ayant eu lieu dans les locaux de Nawaat le samedi 15 mars 2014 (loi 92-52 du 18 mai 1992, relative à la consommation de stupéfiants).
Il convient, encore une fois, de rappeler qu’il s’agit ici de contribution à un débat public s’appuyant sur une approche au travers des politiques comparées en matière de prévention et de lutte contre l’usage des stupéfiants. Les contributions proposées sont endogènes aux pays d’où elles sont issues. Ainsi, il NE s’agit QUE de proposer des réflexions, loin de ces tentations d’imitation, indigentes par leurs manques d’imagination, ignorant le contexte local tunisien.
Face à l’escalade des demandes sociales qui a touché cette semaine des secteurs vitaux de l’économie, l’UGTT était davantage dans la réaction et le commentaire que dans la revendication. La question de l’extradition de Ben Ali ne sera quant à elle pas évoquée lors de la visite de Mehdi Jomâa ce weekend aux pays du Golfe, ce qui rappelle si besoin était qu’il existe de nombreuses similitudes entre gouvernement conservateur et gouvernement technocrate.
Au moins, s’il y a une chose sur laquelle il y a une quasi-unanimité en Tunisie, c’est le besoin de […]
Une proposition de décision quant à l’octroi d’une assistance macrofinancière à la Tunisie a été émise par la Commission européenne au Parlement et au Conseil de l’Union Européenne dont en voici la teneur. Il convient de rappeler que cette « proposition de décision » a émané du gouvernement tunisien lui-même sous l’égide de l’ex-premier ministre Ali Laarayedh.
Le système peine à changer de visage. Le retour des anciennes habitudes, mais surtout des anciens sbires de la toile tunisienne inquiètent, quant à l’avenir de la liberté d’Internet, et de la liberté tout court, en Tunisie. Telle que nous l’observons, sur le plan politique et médiatique, le bras de fer des forces contrerévolutionnaires n’est plus une hallucination conspirationniste. Elle est devenue une réalité.
Un phénomène de demande de révision des nominations dans l’administration consulaire et dans les hautes fonctions de l’état atteint ces derniers jours son apogée avec des pétitions nominatives et des demandes de limogeage sans aucun autre justificatif que l’appartenance partisane sélective.
Dans sa première version, l’article 13 de la constitution, relatif aux ressources naturelles, mentionnait l’obligation de la publication des contrats après leur approbation par l’Assemblée. Or, dans la version finale, cette mention a été supprimée.
Tel que signalé, ce partenariat de mobilité vise « une meilleure gestion de la circulation des personnes » entre les deux rives de la méditerranée. Tel que résumé dans la plupart des médias, ce partenariat prévoit une facilitation d’obtention de visas pour les Tunisiens et une meilleure lutte contre la migration irrégulière. Qu’en est-il réellement ?
La journée de la femme a été l’occasion pour notre Amina nationale de se rappeler au souvenir des Tunisiennes et des Tunisiens par un nouveau coup d’éclat à Paris avec des copines. Nos Amazones postmodernes ont fêté Ève de la meilleure façon, déambulant dans la rue dans le plus simple appareil, ainsi que Dieu créa l’humain. Cette nudité ne doit faire horreur qu’aux pudibonds et tous ceux qui n’y voient que la hideur qui est en eux.
Poursuivi jusque Genève en marge de la 25ème session du Conseil des droits de l’Homme par l’affaire Jabeur Mejri, le président Marzouki a finalement libéré le « blasphémateur de Facebook » avant de lever l’état d’urgence jeudi 6 mars. Une atmosphère d’apaisement qui risque d’être éphémère, la veille de la reprise lundi du procès des Ligues de protection de la révolution
MONSIEUR JOMAA VOUS AVEZ FAIT CE QUE LE GOUVERNEMENT DE LA TROÏKA N’A PAS OSÉ FAIRE ! Dès que vous […]
La journée mondiale de la femme est une occasion pour nous les femmes de recevoir les vœux sincères ou non, pour une vie de femme meilleure et plus équitable. C’est aussi, une des rares journées où nous sommes épargnées par les polémiques machistes sur notre intelligence, notre physique et notre intimité. Même s’il semble que les blagues de ce genre déclinent.
Originaire de Mellassine, un quartier populaire à la périphérie de la capitale, où il réside avec ses sept frères et sœurs et ses deux parents, Chawki Jebli, 27 ans, vendeur ambulant, a été retrouvé pendu chez lui. Avant de se donner la mort, dans la nuit du lundi 3 mars 2014, Chawki Jebli a laissé un message : « La police veut me mettre en prison pour des vérités que je détiens ».
Madame la ministre, je vous pose la question le plus simplement du monde : où étaient donc les vrais JEDI ? où était cette jeunesse lors de l’événement des dunes électroniques qui a eu lieu dans leur ville, dans leur sillage, dans leur monde jusqu’ici ignoré par les pouvoirs publics ? Cette jeunesse du Sud de notre pays qui a fait la révolution pour qu’aujourd’hui l’on puisse avoir la liberté de créer ces manifestations de grandes ampleurs ?
Il était temps, de nouvelles mesures de régulation vont enfin limiter l’expansion anarchique du paysage audiovisuel, pour mieux en garantir la liberté, l’équilibre et la diversité. La Haute autorité indépendante de la communication audiovisuelle a révélé, hier, le contenu des Cahiers des charges relatifs au fonctionnement des radios et télévisions privées et associatives.