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L’Uranium de Sra Ouertane : Les dessous des cartes du phosphate convoité !

En mai 2011, le gouvernement Béji Caid Essebsi décide de rouvrir le dossier de la mine de Sra Ouertane. Sauf que cette fois, on parle de phosphate sans évoquer l’uranium. Quant au coût du projet, il a été déclaré comme étant d’une valeur de 15 millions de dinars. Quelques mois plus tard, en juillet 2011, le ministre de l’Industrie déclare, lors d’une réunion au Kef, que le projet a une valeur de 19 millions de $. Et comme nous le disions au début de l’article, on ne parle plus de 10 milliard de tonnes de phosphate évoqués lors d’une présentation faite par le GCT au siège de l’AIEA, mais plutôt de 5 milliard de tonnes.

L’exception tunisienne menacée

Ce qui s’est passé le 20 mars, le jour de la célébration du 58e anniversaire de l’indépendance, sur l’avenue Habib Bourguiba, mérite que l’on s’y arrête et que l’on y réfléchisse avec toute la gravité et toute la solennité nécessaires, car nous avons là une petite idée de ce à quoi ont échappé les Tunisiennes et les Tunisiens et un avant-goût de ce qui les attend si par malheur les islamistes s’emparent du pouvoir, de tout le pouvoir.

Tunisia Election Data : une plate forme de Mapping des centres de vote

Les données collectées par Mourakiboun seront mises en ligne sur une plate-forme de données ouvertes appelée « Tunisia Election Data » avec le soutien technique de Democracy International, partenaire dans le projet. Cette plate-forme donnera la possibilité, d’après Rafik Helouiani, d’une meilleure répartition des centres de vote en prenant en compte le facteur géographique et la distance par rapport aux agglomérations.

La Polit-Revue : Ennahdha – Nidaa Tounes : la guerre froide

Alors que le vote article par article du code électoral s’est achevé en commission le 19 mars, les regards des principales forces politiques du pays sont plus que jamais tournés vers l’épineuse question des nominations administratives, une question qui obsède plus particulièrement Nidaa Tounes. Officiellement, c’est toujours au cas par cas que les nominations sont révisées, selon un baromètre du rendement et du bilan de chacun

Manifestation Yezzi Fock (2005)

Une page d’Histoire de la manifestation “Yezzi Fock !” dans les médias (2005)

Flashback 2005 : Cette page de la manifestation “Yezzi Fock !” dans les médias a été archivée le 4 novembre 2005. Il s’était agi à l’époque de faire un compte rendu de la couverture médiatique de cette manifestation. Même durant les pires moments sous Ben Ali, nous n’avions jamais douté qu’un jour ou l’autre la liberté finirait par triompher. Ce n’était qu’une question de temps. Et le temps joue toujours contre les dictateurs. Le temps est toujours du côté des combats pour la liberté. Mais parce que la liberté est un combat de tous les jours et de chaque instant, négliger ce fait, c’est négliger aussi que le ventre qui engendre la “bête immonde” est toujours fécond !

L’État contre la société, la preuve par le kif

Stupéfiants ! Oui, ils sont bien stupéfiants, nos gouvernants, supposés incarner la Révolution quand ils osent garder en l’état la politique en matière de drogue douce de la dictature. Où est le prétendu esprit révolutionnaire dont ils osent se réclamer ? Et ils sont encore plus stupéfiants en démontrant ainsi qu’ils incarnent un État aussi autoritaire et liberticide que celui de Ben Ali, un État dictatorial qui est foncièrement contre non seulement la jeunesse, mais la société tout entière. La preuve est apportée par cette stupéfiante affaire du kif. Qu’on en juge !

Tunisie : Déni de racisme ou banalisation ?

Après trois siècles d’abolition de l’esclavage, à la suite du décret Beylical promulgué un 23 janvier 1846, le racisme n’a pas disparu de notre société. Cet immense « tabou » pour la plupart des tunisiens, continue à faire des victimes, parfois dans l’indifférence la plus totale. Les violences ont toujours existées, sauf qu’elles peinent à être médiatisées même après la révolution, la faute à une absence de responsabilité quasi-collective.

“Sit-in du Destin” à Tataouine et crise de Ben Guerdane… Bassin Minier 2.0 ?

Depuis quelques jours, le gouvernorat de Tataouine et la zone frontalière de Ben Guerdane sont en train de vivre une crise, qui s’est transformée en heurt entre la police et les habitants de la région. Selon les médias nationaux privés et publics, les confrontations sont en rapport avec la contrebande, alors que le sit-in a été déclenché parce que que les habitants veulent que le projet du “Gaz du Sud” soit entièrement fait à Tataouine. Sauf que selon les pages Facebook et les médias de la région, les raisons de cette crise sont beaucoup plus importantes. Nous avons donc essayé d’avoir plus de détails sur ce qui se passe réellement dans le sud de la Tunisie.

La place de l’art dans l’espace public tunisien (2)

Des artistes, des collectifs de citoyens portés vers les arts et la culture, des hommes et femmes de culture, des journalistes, des blogueurs, etc., se sont affirmés ces trois dernières années comme étant des éléments porteurs de changements et donc d’engagement par rapport au thème et à la question du rôle de l’art et de la culture dans le processus de transition démocratique.