Le chef du gouvernement Ali Laaridh s’est entretenu ce jeudi 1er août avec les membres du comité administratif de l’UGTT, qui a appelé trois jours plus tôt dans un communiqué à la dissolution du gouvernement Laaridh

Le chef du gouvernement Ali Laaridh s’est entretenu ce jeudi 1er août avec les membres du comité administratif de l’UGTT, qui a appelé trois jours plus tôt dans un communiqué à la dissolution du gouvernement Laaridh
D’après Samy Razghallah, du bureau politique d’Ettakatol, les trois présidents de la Troïka, Moncef Marzouki, Ali Laaridh et Mostapha Ben Jaafer se réuniront ce soir avec des leaders de leurs partis. Selon Amor Chetoui, député CPR, « le consensus serait d’élargir le gouvernement pour se mettre d’accord sur un probable gouvernement d’union nationale ».
Hier soir, vers 18h, une patrouille de l’armée est tombée dans une embuscade tendue par des terroristes au mont Chaambi, à Kasserine. Huit soldats ont été tués, tous ont été atteints par des tirs d’armes à feu. Trois d’entre eux ont également été égorgés. Quatre soldats ont été blessés suite à l’explosion d’une mine.
Dans un entretien exclusif avec Mosaique FM, ce lundi 30 juillet, le ministre de l’Intérieur a annoncé vouloir démissionner du gouvernement et a admis par ailleurs ne pas être à même d’assurer la sécurité de toutes les personnalités publiques, à commencer par la sienne propre.
Dernière mise à jour: Mercredi 31 juillet @1H30 Jeudi 25 juillet vers midi le député Mohamed Brahmi, démissionnaire du parti Echaab et fondateur du parti Attayar Achaabi était assassiné devant chez lui. Depuis des mouvements de protestations ont lieu dans le pays. Le bras de fer, débuté avec le lancement d’un sit-in, entre “légitimité des urnes” et “légitimité de la rue” continue.
Assassiné jeudi 25 juillet à Tunis, Mohamed Brahmi, député de gauche représentait selon ses proches un certain idéal en politique: l’honnêteté et l’intégrité. Or, juste avant sa mort l’homme s’était fait beaucoup d’ennemis sur le plan politique.
Le porte-parole du parti Ettakatol Mohamed Bannour a déclaré ce lundi 29 juillet 2013 sur les ondes de Jawhara FM, […]
La République et le vivre ensemble peuvent-ils endurer un deuxième assassinat politique non élucidé ? Moins de 6 mois après le meurtre de Belaïd, cette fois c’est un « élucide » qui vient ébranler la foi en un processus de transition déjà bien mal en point, au pire moment qui soit. Mohamed Brahmi est mort sous les balles de la lâcheté, qu’elles soient celles du mercenariat ou du « mandat divin ».
Mohamed Brahmi, député démissionnaire du parti Echaab et fondateur du parti Courant Populaire, a été assassiné jeudi 25 juillet 2013, en sortant de chez lui. Le député, originaire de Sidi Bouzid, a été assassiné par 14 balles à bout portant. L’assassinat de Mohamed Brahmi, a suscité une beaucoup d’émotion chez les tunisiens. Ils étaient entre 50 000 et 60 000 selon les forces de l’ordre, à faire le déplacement pour lui rendre un dernier hommage.
Suite à l’annonce de l’assassinat du député Mohamed Brahmi, les hommes politiques ont réagit. Du côté de la Troïka et des institutions, on joue la carte de l’unité nationale en péril. L’opposition, elle, saute sur l’occasion pour appeler à la chute du gouvernement.
Jihadiste en Irak, impliqué dans les événements du Mont Chaambi et dans l’affaire du dépôt d’armes de Mnihla, suspect d’avoir participé à l’assassinat de Chokri Belaïd… Boubaker Al-Hakim, que le ministère de l’Intérieur a présenté aujourd’hui 26 juillet comme le tueur de Mohamed Brahmi, est depuis longtemps connu des services de police français et tunisiens
Dernière mise à jour: Lundi 29 juillet @ 00H30Mohamed Brahmi député démissionnaire du parti Echaab et fondateur du parti Courant Populaire a été assassiné ce matin en sortant de chez lui. Le député, originaire de Sidi Bouzid, aurait été assassiné par 14 balles à bout portant. Live Blogging des événements de la journée.
Le chef du gouvernement Ali Laaridh a vivement critiqué le mouvement Tamarod lors de son interview du 23 juillet. Pour lui, ce mouvement est une chose « suspecte » dont il dit ignorer le but, les ressources financières et les relations avec les partis politiques. Mehdi Said, porte-parole de Tamarod, répond aux accusations.
L’interview organisée en direct ce lundi 22 juillet par plusieurs radios nationales avec le chef du gouvernement n’a pas apporté de nouvelles que le citoyen ignore. M. Ali Laaridh a surtout rappelé que cette période transitoire ne dépend pas seulement de son gouvernement, allant jusqu’à rejeter la faute sur ses adversaires politiques
On pourrait presque en douter, mais en ce mois de léthargie ramadanesque, la classe politique tunisienne ne fait pas que […]
Dernière mise à jour : 22.07.13 à 16h15. Lors d’une séance plénière qui a commencé hier et se poursuite aujourd’hui, L’Assemblée Nationale Constituante a présenté les 36 candidats parmi lesquels 9 membres de la nouvelle ISIE seront élus. 8 membres ont déjà été élus et un quatrième tour de vote est nécessaire pour élire les deux derniers membres.
La présidence de la République a publié un communiqué dans lequel elle annonce qu’elle a porté deux plaintes devant le Tribunal de première instance ainsi que devant le tribunal militaire, le 10 mai 2013, contre toute personne ayant appelé l’armée à renverser le système civil et les institutions élues.
“Nous aurions pu finir la rédaction de la constitution depuis juin 2012 sauf que certains se sont livrés à des manipulations, notamment celles subies par les commissions”. C’est par ces mots que le député Ahmed Khasskhoussi, membre du Front populaire, a annoncé ce lundi sa démission de l Assemblée Nationale Constituante.