Politics 934

Parce que le sang a coulé à Sidi Bouzid mais que les fleurs ont éclos à Carthage…

“Le sang a coulé à Sidi Bouzid mais que les fleurs ont éclos à Carthage…“, 8 mois après la chute du tyran, à Sidi Bouzid, c’est ce sentiment qui domine le quotidien. Ici, il n’y a pas de “jasmin”, mais il y a une foule de gens : jeunes, vieux, hommes et femmes qui attendent et espèrent devant la municipalité qu’aujourd’hui,peut-être, il y aura du travail pour eux.

Pour la Constituante

Depuis l’âge de 17 ans, je suis dans toutes les manifs, les grèves. J’ai été tabassé plusieurs fois, renvoyé de la faculté alors qu’il ne me restait qu’une année pour devenir ingénieur […]