Politics 2357

وزير الداخلية علي العريّض يتعدى على السلطة القضائية في قضية رجل الأعمال حافظ الزواري

من ضمن أخطر الإخلالات في تونس مابعد الثورة و أكثرها شذوذا عن السياق الديمقراطي المفترض هو تدخّل السلطة التنفيذية في شؤون القضاء، خصوصا في ظلّ شبهة أن يكون الدّافع وراء التدخّل هو المُحاباة التي طالما إقترنت قبل 14 جانفي 2011 بالمحسوبيّة و الفساد السياسي، المالي و الإداري.

Mostapha Ben Jaafer sur France 24 : le déni en bloc d’une crise politique en Tunisie

A travers l’entretien du Président de l’Assemblée Constituante Mostapha Ben Jaafer sur France 24 le 5 mars, le 5 mars, nous avons appris des choses que M. Ben Jaafer n’avait pas dévoilé dans les médias tunisiens jusqu’à maintenant. Ainsi nous apprenons que la Constitution sera prête au mois d’avril 2013, qu’il n’y a pas de crise politique en Tunisie…

La Polit-Revue : La fête en guise de deuil

Nous sommes le 3 mars 2013 et le remaniement ministériel n’a toujours pas eu lieu. Mais même sans gouvernement, la semaine politique fut chargée en Tunisie. En vrac, le Harlem Shake a été décrété « haram » par les cheikhs, l’enquête sur l’assassinat de Chokri Belaïd avance de manière substantielle, et les habitants de Ksar Hellal ont cru observer une apparition d’Habib Bourguiba.

Weekly Political Review: From Interior Vizier to Leader of the Pack

Less than a week after the resignation of Prime Minister Hamadi Jebali, Ennahda chose Ali Laarayedh to form a new mixed government of technocrats and politicians as the country deals with a major political crisis—the most crucial since the fall of the previous regime. A secret meeting of the Ennahda “Shura (Consultative) Council” convened on Thursday night to internally elect a new prime minister replacing Mr. Jebali who stepped down early last week after he failed to form an apolitical cabinet.

La polit-Revue : Un morbide commerce posthume

« Il ne sera pas parti seul, il aura emporté ce satané gouvernement avec lui ». Nous sommes le 8 février lorsque cette phrase d’un proche de Chokri Belaïd est lâchée devant son cercueil. Il aura fallu près de deux semaines d’agonie gouvernementale pour que la prophétie se réalise. Dès le 10 février, nous évoquions ici-même la possibilité d’une manœuvre politique de l’ex Premier ministre Jebali. Il faut dire que la promptitude avec laquelle le coup de poker du gouvernement de technocrates fut lâché avait tout d’un gage en trompe-l’œil.

مسيرة “شكري شكون قتلو” بشارع الحبيب بورقيبة

نظم مجموعة من الشباب على شبكات التواصل الإجتماعي مسيرة اليوم السبت 23 فيفري 2013 ،انطلقت من ساحة محمد علي بالعاصمة في إتجاه شارع الحبيب بورقيبة. وقد شهدت إقبالاً محترماً من المواطنين خاصة أنها لم تكن مسيرة تدعو إليها الأحزاب وأغلب من شاركوا فيها ليسوا من القواعد الحزبية ولا من المسيسين ،لكنها شهدت مشاركة عديد الوجوه السياسية الذين قدموا للمساندة.

Appareil parallèle lié à Ennahdha : Un haut cadre du parti derrière l’affaire Dammak

Grâce à de nouveaux éléments nous avons pu approfondir notre investigation et éclaircir certains points : L’opération a été initiée par un haut cadre du parti Ennahdha : Kamel Aifi. Elle a été menée par deux civils membres du même parti : Belhassan Naccache et Ali Ferchichi. L’opération a été menée au départ en dehors de tout cadre institutionnel et elle comporte de nombreuses anomalies. Ces faisceaux donnent à croire qu’il s’agit donc d’une opération menée par un appareil agissant en marge des institutions de l’Etat.

Abbou et Jebali : Deux démissionnaires face à leurs partis

A l’origine de ce long feuilleton d’instabilité politique en Tunisie, le refus d’Ennahdha à mettre à l’écart deux ministres Nooureddine Bhiri (Justice) et Rafik Abdeselem Bouchleka, gendre du chef d’Ennahdha (Affaires Etrangères). Dans cette ambiance tendue, deux démissionnaires se sont annoncés : Le Chef du gouvernement Hamadi Jebali et le SG du CPR Mohamed Abbou.