عادت الناشطة مريم بريبري و والدها الحامل لإعاقة جسدية خلال هذا الحوار المصور الذي أجريناه معهما إلى ملابسات إيقافهما بدينة صفاقس و إلى سوء المعاملة التي تعرضا لها من قبل بعض رجال الأمن خلال عملية الإيقاف وكتابة المحضر ضدهما.
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عادت الناشطة مريم بريبري و والدها الحامل لإعاقة جسدية خلال هذا الحوار المصور الذي أجريناه معهما إلى ملابسات إيقافهما بدينة صفاقس و إلى سوء المعاملة التي تعرضا لها من قبل بعض رجال الأمن خلال عملية الإيقاف وكتابة المحضر ضدهما.
En Tunisie, la pénalisation des stupéfiants est encore un sujet tabou. A l’exception de quelques journaux et une dizaine d’activistes, la question n’est pas à l’ordre du jour de nos politiciens qui ont promis, pourtant, justice et dignité aux Tunisiens. Les prisons surpeuplées de consommateurs de drogue douce ne semblent pas pousser les autorités à poser des questions d’ordre stratégique en termes de prévention et de réforme.
Enfin du nouveau dans l’affaire de Jabeur Mejri, premier prisonnier d’opinion, après le 14 Janvier. La présidence de la République a annoncé à travers Adnen Mnasser, son porte parole, qu’une grâce présidentielle a était signée en faveur de Jabeur Mejri, ces derniers jours. Cependant, Jabeur Mejri reste en prison. Sans détails, Adnen Mnasser laisse entendre que Jabeur est inculpé dans une affaire de malversation sans préciser le pourquoi du comment.
Le comité de soutien de Jabeur Mejri, avec le soutien de la FIDH, d’Amnesty International Tunisie, de la Ligue Tunisienne des Droits de l’Homme, de l’Organisation Tunisienne pour la Citoyenneté, de TAHHADI, de Doustourna, de l’ATFD, et de La League of Tunisians Humanists et du Manifeste du 20 Mars, a organisé, hier, un événement « Free Jabeur : 7 ans de sa vie et vous ? »
Le procès des trois policiers accusés de viol est encore une fois reporté au 31 mars 2014. À la demande de la défense des accusés, le juge du tribunal de première instance à Tunis a décidé de reporter le procès pour laisser le temps à la défense d’examiner de nouveaux éléments survenus dans l’affaire.
L’avènement d’une Cour constitutionnelle dans la nouvelle Constitution tunisienne est d’un apport majeur au niveau de l’indépendance d’un pouvoir judiciaire bien souvent mis à mal par le passé. Un des principaux apports de cette nouvelle Constitution est, théoriquement, l’institution d’une Cour constitutionnelle indépendante ratissant un spectre de compétences assez large.
دخلت تونس في العام الثالث منذ اندلاع الثورة. ولئن كانت سنة 2013 قد حملت لنا الاغتيالات والإرهاب والفرقة السياسية فإنها قد عمّقت مأساة قضية شهداء وجرحى الثورة التونسية. ملفات أغلقت بالجملة لدى القضاء العسكري تحت عنوان “عدم معرفة الجناة” وأخرى أصدرت فيها أحكام زادت من إحباط عزيمة المجتمع المدني وعائلات الشهداء، وجرحى لم يخضعوا إلى هذه اللحظة إلى الفحص الطبي.
ان الصيغة التي وردت عليها فصول هذا القانون تثير عديد الانتقادات القانونية الى درجة اعتباره يتنزل في خانة القوانين التي يمكن ان توصف بكونها على المقاس و تكرس هيمنة الاغلبية الحاكمة. و يتجلى هذا الوصف من خلال بسط قانوني للمكونات الاساسية لقانون العدالة الانتقالية و المتمثلة في الكشف عن الحقيقة و المسائلة و المحاسبة و الهيئة المكلفة بذلك و الية التحكيم التي افرغت من مهامها.
C’est fait ! La Tunisie est le premier pays au monde à protéger au sein de sa Constitution la capacité des citoyens à exercer leurs libertés fondamentales –également– via l’Internet.
En 1994, Moncef Marzouki, actuel Président de la Tunisie, avait tenté de se présenter aux élections présidentielles. Il avait payé fort le prix de son ambition : 4 mois dans les geôles de Ben Ali ! Moncef Marzouki avait alors retrouvé la liberté grâce à l’intervention de Nelson Mandela pourtant le 10 décembre 2013, M. Marzouki a refusé pour la troisième fois de gracier Jabeur Mejri, condamné le 28 mars 2012 à 7 ans et demi de prison pour atteinte aux bonnes mœurs.
احتضنت العاصمة تونس ندوة علمية دولية يومي 9 و 10 ديسمبر الجاري، لتخليد المأوية الأولى للمجلة الجزائية التونيسة وذلك بحضور فقهاء القانون وعمداء حقوقيين وأعضاء الأسرة القضائية و الأساتذة والباحثين والطلاب وضيوف من كل من المغرب والجزائر وفرنسا.
Encore une fois, la police tunisienne est accusée de meurtre et de torture et cela même après un 14 janvier 2011. Comme la plupart des cas précédents, la victime est un jeune homme, Walid Danguir, 32 ans, issus d’une famille pauvre et d’un quartier populaire, Bab Jedid, à Tunis. Encore cette fois, les preuves d’un crime de torture (qui pourrait se révéler la cause directe de la mort) sont irréfutables. Et pourtant aucune arrestation ni interrogatoire ne sont entamés par le procureur de la république.
On Wednesday October 9th, 2013, the 20- year old student Marwa Maalawi was sentenced to 3 months of jail on charge of addressing women’s minister Sihem Badi with derogatory word. On the 27th of March, 2013, student Marwa raised a sign in a protest in front of the ministry of women on which she wrote: “In the era of terrorist Ennahdha, a chaste woman is raped because her minister is a whore.”
A la fin du mois d’août, la rédaction de Nawaat avait reçu un mail d’une jeune activiste, dénonçant l’arrestation de trois jeunes militants du Front populaire à La Marsa. Selon cette activiste, les jeunes militants avaient été enlevés, maintenus arbitrairement en détention puis condamnés en seulement 24 heures. Voici leur témoignage
La semaine dernière un nouveau projet de loi était discuté par la Commission des Finances de l’Assemblée Nationale française. La nouvelle loi permettrait à des associations luttant contre la corruption de se porter partie civile dans des affaires de biens mal acquis. Une avancée législative qui intéresse directement la Tunisie.
Mourad Meherzi, le cameraman d’Astrolabe TV, Nassereddine Shili et son frère ont tous été mis sur écoute suite à la demande de la brigade criminelle de Gorjeni et ce du 17 août jusqu’au 17 septembre, d’après leur avocat Ayoub Ghdemassi. C’est le procureur de la République adjoint M. Kamoun qui, le jour même, a donné son approbation à cette demande de mise sur écoute au président de la brigade Fadhel Melki.
Le directeur de la chaîne de télévision El Hiwar Tahar Ben Hassine a été convoqué ce matin et entendu par la Brigade Criminelle de Gorjani. Puis le Procureur de la République l’a transfère devant le juge d’instruction du 12eme chambre, rapporte Mokhtar Trifi, un des avocats de M. Ben Hassine. Il s’agit d’une nouvelle affaire pour l’homme de média.
Un mois et seize jours de prison avec sursis, c’est la peine dont a écopé Mohamed Karim Ben Khaled Ayed Khlifa pour avoir agressé l’imam de Drancy, Hassen Chalghoumi, dimanche 1er septembre.Le tribunal cantonal de Tunis a rendu son jugement le 3 septembre, condamnant l’accusé pour « coups et blessures et diffamation ».