Politics 2348

Weekly Political Review: New Tunisian government approved, Young man dies after self-immolation

“White smoke” appeared at the Bardo Palace with Tunisia’s new government winning a vote of confidence in the National Constituent Assembly (ANC) this past Wednesday. The creation of a new government came after the assassination of the Leftist opposition leader Chokri Belaid and the resignation of former Prime Minister Hamadi Jebali. The late PM promised to place “country first” by forming a government of technocrats, only to fail and cede his position to his Interior Minister.

La Polit-Revue: A gauche toute !

La scène politique tunisienne continue à se décanter lentement mais sûrement. Pour les principaux grands partis politiques du pays, se structurer passe aussi par prendre position les uns par rapport aux autres. C’est chose faite cette semaine pour le Front Populaire, alors que Chokri Belaïd, 40 jours après sa mort, continue d’être une figure qui cristallise autant la colère que l’espoir de la (vraie) opposition.

Tunisie : La composition du gouvernement d’Ali Laarayadh

Après de longues négociations avec les partis et blocs parlementaires, M. Ali Laarayedh, ex-ministre de l’Intérieur, vient d’annoncer dans une conférence de presse à l’instant la composition finale de son nouveau gouvernement. Il a aussi déclaré que la date des prochaines élections sera bientôt fixée et que ces élections ne dépasseront pas le mois de novembre 2013.

Au coeur des négociations pour le nouveau gouvernement : Les points de convergence et de divergence

Depuis plus de quatorze jours, c’est le “marathon des négociations” pour le ministre Ali Laarayadh qui a été choisi pour remplacer son prédécesseur Hamadi Jebali à la tête du gouvernement. Au coeur des négociations pour le nouveau gouvernement Laarayadh : quels ont été les points de convergence et de divergence entre les partis et blocs parlementaires lors des pourparlers et le parti islamiste Ennahdha ?

Femmes tunisiennes : pourquoi s’engagent-elles en politique ?

A l’occasion du 8 mars et alors que beaucoup en Tunisie se remettent à douter de l’intérêt que l’engagement en politique peut avoir, il a semblé intéressant de donner la parole à quelques femmes qui sont dans le domaine. Ghada Louhichi, Mehrezia Labidi, Zeineb Turki et Emna Menif expliquent pourquoi elles ont voulu s’engager et pourquoi les femmes doivent être présentes dans ce domaine.

وزير الداخلية علي العريّض يتعدى على السلطة القضائية في قضية رجل الأعمال حافظ الزواري

من ضمن أخطر الإخلالات في تونس مابعد الثورة و أكثرها شذوذا عن السياق الديمقراطي المفترض هو تدخّل السلطة التنفيذية في شؤون القضاء، خصوصا في ظلّ شبهة أن يكون الدّافع وراء التدخّل هو المُحاباة التي طالما إقترنت قبل 14 جانفي 2011 بالمحسوبيّة و الفساد السياسي، المالي و الإداري.

Mostapha Ben Jaafer sur France 24 : le déni en bloc d’une crise politique en Tunisie

A travers l’entretien du Président de l’Assemblée Constituante Mostapha Ben Jaafer sur France 24 le 5 mars, le 5 mars, nous avons appris des choses que M. Ben Jaafer n’avait pas dévoilé dans les médias tunisiens jusqu’à maintenant. Ainsi nous apprenons que la Constitution sera prête au mois d’avril 2013, qu’il n’y a pas de crise politique en Tunisie…

La Polit-Revue : La fête en guise de deuil

Nous sommes le 3 mars 2013 et le remaniement ministériel n’a toujours pas eu lieu. Mais même sans gouvernement, la semaine politique fut chargée en Tunisie. En vrac, le Harlem Shake a été décrété « haram » par les cheikhs, l’enquête sur l’assassinat de Chokri Belaïd avance de manière substantielle, et les habitants de Ksar Hellal ont cru observer une apparition d’Habib Bourguiba.