En décidant de créer « une commission chargée de veiller au respect de la déontologie journalistique », ce Conseil illégitime et provisoire, a entamé très rapidement, comme c’était prévisible d’ailleurs, le retour institutionnalisé vers l’ère de Ben Ali.
Abdelfattah Amor, un Joker des Droits de l’Homme de Ben Ali, nommé Président de la Commission Nationale d’établissement des faits sur les affaires de malversation et de corruption.
Aujourd’hui la Tunisie intéresse tout le monde : les journalistes, les sociologues, les spécialistes de géopolitique, les opposants exilés, les islamistes obscurantistes (exilés également)… et fait trembler certains :
Par Lotfi Benmosbah – J’ai une grosse déprime ce soir ! Alors que je vois le peuple égyptien vaillamment uni pour obtenir le départ de Moubarak, nous, tunisiens, sommes en train de nous diviser au sujet d’une théorie selon laquelle l’incessante grogne sociale va mener la Tunisie à sa perte.
Après une prière sur l’âme de nos martyrs, Je salue les centaines de milliers qui sont descendus dans les rues […]
Je vous adresse ce commentaire dans le respect de vos compétences, de vos orientations, de votre personne ainsi que de celles des membres que vous avez désignés à la haute commission de la réforme politique.
Lettre ouverte à Mr. Ahmed Ouneis, ministre des Affaires étrangères du nouveau gouvernement tunisien de transition Monsieur le Ministre, Je […]
Je reste, pour la première fois dans ma vie, scotché devant mon écran à écouter un ministre de l’Intérieur tunisien […]
Notre révolution montre que le pays manque de symboles, qui peut s’avérer un risque potentiel. D’un côté, par la voie démocratique une force politique telle qu’elle soit, finira par l’emporter et qui ne pourra échapper à la tentation de créer son propre symbole. D’un autre côté, l’absence de tout symbolisme risque de déstabiliser le pays et n’importe quel militantisme ne peut être guidé qu’avec un leader
Par Amjad Ghazi – Que faire de ce gouvernement que des gens bien intentionnés soutiennent, que des gens raisonnables soutiennent ; certains pleinement, qui expliquent qu’il fait ce qu’il peut, que c’est un moindre mal ; d’autres, j’en fais partie, sont de plus en plus perplexes, inquiets. Il est temps de demander des comptes.
Avant même de se rendre à Tunis le 19 janvier pour conseiller Ghannouchi, Hakim Karoui Franco-Tunisien très influent dans les milieux politiques et économiques a en effet prodigué des conseils à… Ben Ali lui-même, les jours précédant le départ de celui-ci pour l’Arabie saoudite, et alors même que le régime réprimait sévèrement la contestation.
Sortant du Tunnel, la Tunisie d’aujourd’hui doit trouver son chemin vers un avenir prospère. Si le renversement de l’ancien régime […]
J’ACCUSE Ahmed Ounaies d’avoir représenté indignement la Tunisie lors de son déplacement à Paris. La transcription de son point […]
Condamnation, amertume, regret, incompréhension… voilà comment la majorité des Tunisiens a réagi aux évènements du vendredi 28 janvier. Certains habitants […]
D’abord, je tiens à dire que je n’appelle aucunement au loup contre le nouveau gouvernement, du moins pas encore… Je […]
Comme tous les tunisiens, et oui monsieur, je vous dit TOUS les tunisiens qui vous ont vus sur Nessma TV […]
Le 17 décembre 2010, Mohamed Bouazizi, un jeune diplômé, blessé par le mal-vivre, victime de l’indifférence et de l’oppression, s’immola […]
