phosphate
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Phosphate is a mineral that is a key component in fertilizers and is widely used in agricultural practices. It is also a natural resource that has economic and environmental implications, especially in regions where phosphate mining and processing take place. The extraction and utilization of phosphate can have significant impacts on the environment, such as pollution of water sources, contamination of soil, and disruption of local ecosystems. Issues related to phosphate mining and its effects on communities and the environment are often the focus of social and environmental activism and journalism.

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L’Uranium de Sra Ouertane : Les dessous des cartes du phosphate convoité !

En mai 2011, le gouvernement Béji Caid Essebsi décide de rouvrir le dossier de la mine de Sra Ouertane. Sauf que cette fois, on parle de phosphate sans évoquer l’uranium. Quant au coût du projet, il a été déclaré comme étant d’une valeur de 15 millions de dinars. Quelques mois plus tard, en juillet 2011, le ministre de l’Industrie déclare, lors d’une réunion au Kef, que le projet a une valeur de 19 millions de $. Et comme nous le disions au début de l’article, on ne parle plus de 10 milliard de tonnes de phosphate évoqués lors d’une présentation faite par le GCT au siège de l’AIEA, mais plutôt de 5 milliard de tonnes.

Pénurie d’eau à Mdhila : Le phosphate hydraté, les citoyens assoiffés [Vidéo]

Depuis plus d’un mois, la distribution de l’eau a connu plusieurs coupures intempestives dans certaines délégations du Bassin Minier. Ces perturbations se sont accentuées surtout à Mdhila, aux communes de Borj El Akarema et El Segui. De quoi susciter la contestation des habitants dont la vie est devenue un véritable calvaire. Si certains accusent la SONEDE de ne pas prendre ses responsabilités de maintenance et d’optimisation de la gestion des canaux d’eau, manifestement usés par le temps et gangrenés par la rouille, d’autres affirment que l’industrie du phosphate épuise les réserves d’eau et pollue ce qui en reste. Nawaat est parti à la rencontre d’habitants et d’agriculteurs pour en savoir plus sur cette persistante pénurie d’eau.

Gabès-Reportage : Après 45 ans de pollution, les revendications se radicalisent

Le 30 juin 2017 est la date butoir donnée par les habitants de Gabès au Groupe chimique tunisien pour cesser de rejeter le phosphogypse dans la mer. Avec le soutien des associations et collectifs locaux, les habitants prévoient d’organiser une grève générale, menacent de bloquer eux-mêmes le déversement, de fermer tout le complexe industriel, comme ils l’ont fait en 2013. Après 45 ans de pollution, les revendications se radicalisent. Reportage

En finir avec l’extractivisme ?

Les modèles extractivistes préconisent l’intensification des cultures irriguées, même dans des régions arides. Cela implique une exploitation outrancière des réserves d’eau souterraines, pour des cultures très gourmandes et exigeant le recours à des intrants souvent nocifs à l’environnement et à la santé des ouvriers agricoles. Or le retard de développement que vivent de nombreuses régions du pays compliquent la donne.

Reportage : Mobilisation internationale contre la pollution de Gabès

L’escale tunisienne de l’Odyssée des alternatives Ibn Battûta, une mobilisation itinérante à travers la Méditerranée pour rejoindre la COP22 à Marrakech, a eu lieu à Gabès, bien que les bateaux aient accosté à Bizerte. Ce temps d’échanges et de débats autour d’un modèle économique polluant, humainement destructeur et autour des alternatives a permis de braquer l’attention sur la situation environnementale déplorable de Gabès, dans une période tendue, marquée par la mort d’un ouvrier de la STEG asphyxié par des émanations de la zone industrielle. Reportage

Reportage à Redeyef : Derrière les coupures d’eau, les horizons bouchés du phosphate

La grève générale prévue à Redeyef le 16 mars par les sections locales de l’UGTT pour protester contre les coupures d’eau a été annulée suite aux négociations avec les pouvoirs publics. Mais la situation est loin d’être résolue. Derrière le problème des coupures d’eau, les défaillances des organismes publics et la soif insatiable de l’industrie du phosphate, qui empoisonne les habitants et leurs perspectives d’avenir.

Report: International mobilization against pollution in Gabes

For its stopover in Tunisia, the Ibn Battuta Odyssey of Alternatives, a mobilization across the Mediterranean which culminates at the COP22 in Marrakech, set up camp in Gabes, although the boats had docked in Bizerte. Three days of exchanges and debates concerning an environmentally- and socially-destructive economic model and potential alternatives drew attention to the deplorable environmental situation in Gabes, and were marked by heightened tension following the death of a STEG worker who was asphyxiated by the fumes of the industrial zone. Report.

Redayef, la ville aux espoirs trahis !

Difficile de croire, quand vous êtes à Redayef, que cette ville est parmi les plus riches du pays. C’est aussi à Redayef que le mot injustice sociale prend tout son sens. Malgré les 400 mille tonnes de phosphate par an, les 27 mille habitants n’ont eu droit, depuis des décennies, qu’à une école, un hôpital mal équipé et une maison de jeunes désertée. Ici, la répartition inéquitable des richesses se manifeste de la manière la plus crue. Malgré les montagnes impressionnantes de phosphate qui s’amassent autour des habitations, Redayef est sinistrée…

Mdhilla: In the “Sariaa” neighborhood, “We’re living on gold. But all it brings us is sickness and poverty.” [photos]

Mdhilla, population 15,000, in the southwest of Tunisia, is an industrial center in the mining basin with two clusters: a division of the Gafsa Phosphate Company (in the photo) and a regional division of the Tunisian Chemical Group. And yet, Mdhilla is one of the poorest towns in the country. An impromptu meeting with the residents of the “Sariaa” (Rapid) neighborhood. The neighborhood is mostly made up of semi-nomad families who never stayed in one place for a long time. These days, the inhabitants no longer really leave, since poverty and rough conditions force them to stay put. The whole neighborhood is built on the bed of a wadi that has been progressively filled in as new buildings go up.