Appel aux journalistes et blogueurs/ses tunisiens spécialisés dans la couverture des problèmes relatifs à l’Environnement : Une opportunité de participer et couvrir les travaux d’un Congres international en Thaïlande

Appel aux journalistes et blogueurs/ses tunisiens spécialisés dans la couverture des problèmes relatifs à l’Environnement : Une opportunité de participer et couvrir les travaux d’un Congres international en Thaïlande
Dimanche soir une centaine de migrants ont quitté le camp de Choucha pour venir manifester à Tunis. Ils sont arrivés lundi matin et se sont dirigés vers la Place des Droits de l’Homme où ils ont commencé à manifester.
Considéré, à tort, comme un modèle d’islamisme réussi, il a renforcé le virage libéral entamé par les organisations islamistes. Ne prenant pas en compte la spécificité du cas turc, les islamistes prennent pour modèle ce qui constitue en vérité un contre-modèle !
Encore embryonnaire, le projet de création d’un Conseil Supérieur Islamique risque de devenir dans les prochains jours l’objet de polémique au sein de l’Assemblée Constituante. Proposé par les députés d’Ennahdha, “il n’est encore qu’une idée” nous affirme M. Jamel Touir, président des Commissions Constitutionnelles.
M. Essebsi et ses alliés savent d’avance qu’ils perdront les prochaines élections, quelque soit le bilan du parti religieux.Comment peuvent-ils gagner avec un discours creux face à 6000 mosquées,un discours religieux et populiste, un traumatisme profond de la mafia du rcd et AlJazeera ?
Le Mali offre une preuve toute récente sur la nécessité urgente pour la communauté internationale de réaliser que le monde a changé et que l’on ne peut plus gérer ses réalités de la même façon qu’avant et en tout cas ni longtemps ni durablement.
Une situation devenue quasiment inextricable du fait de la multitude des acteurs aux rôles souvent équivoques, au discours politique aussi creux que grincheux, voire colérique et, par voie de conséquence, de l’accumulation de problèmes restés irrésolus, sans même un début de solution.
Le Plaza traîne une réputation sulfureuse et pour cause : il aurait été un lieu où de nombreuses affaires du […]
J’ai rédigé cet article en vue de réagir au traitement a minima du nouveau prêt souscrit par la Tunisie auprès de la Banque Mondiale. Ce billet d’humeur part d’un article publié dans les colonnes numérique du journal Le Temps. En raison de la très faible couverture de l’évènement, les griefs portés contre cet article pourraient être généralisés à l’ensemble des médias Tunisiens.
C’est un peu le coup de la dernière chance pour les migrants du camp de Choucha qui se sont vu refuser le statut de réfugié. Ils ont quitté le camp hier soir pour venir ce matin à Tunis où ils ont décidé d’organiser une manifestation. Ils sont une centaine et espèrent se faire entendre par le UNHCR, l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés en organisant un sit-in Place des Droits de l’Homme à Tunis.
Sauver un nouveau né dans un hôpital tunisien n’est pas facile. Dactour Dextro nous raconte cette fois-ci une anecdote d’un enfant né après 13 ans de stérilité. Le père crie « Mon fils doit être au « Réal ! » – Non il ne s’agit de l’équipe de foot de Madrid. Le père fait référence au service de réanimation.
Reconnaître le droit des blessés à être soigné par l’État, c’est reconnaître la légitimité de la révolution. Or nos élus passent leur temps à répéter qu’ils sont désormais les seuls légitimes car ils ont été élus, car ils sont le résultat des premières élections libres de l’histoire de la Tunisie.
La semaine du 20 au 27 janvier promettait beaucoup en termes de reconfiguration des diverses forces politiques en Tunisie. Au final, des bémols sont systématiquement venus décevoir les attentes des observateurs : le front politico-électoral al Joumhouri – Nidaa Tounes – al Massar est quasiment un non évènement en l’absence d’al Jabha, toujours réticente.
Chaque semaine, nous essayerons, dans cette chronique, de résumer l’actualité économique nationale, afin d’avoir une vue d’ensemble et ne pas se noyer dans la masse gigantesque d’informations disponibles et de pouvoir, assurer ainsi, le suivi des projets annoncés.
« Nous ne sommes pas parvenus à avoir un consensus sur le remaniement ministériel pendant la dernière réunion qui a eu lieu hier entre des membres de la Troïka » a déclaré aujourd’hui dans une conférence de presse le Chef du gouvernement Hamadi Jebali.
Les fausses rétractations du Ministre de l’Industrie, les réserves émises par le Ministère de l’Environnement, les pétitions facebookiennes ou les sit-in pacifiques devant le Ministère de l’Industrie ne feront pas fléchir ces mamelouks, ces Mustapha Khaznadar au service d’un émirat tremplin par lequel la Royal Dutch Shell s’apprête à transformer en paysage lunaire le Centre de la Tunisie.
Je pense que la polémique est le sel du débat culturel et politique. Mais je doute de l’utilité d’une querelle oiseuse, non documentée et ignorant délibérément la biographie intellectuelle et politique de celui ou celle que l’on critique. C’est le cas de la lettre “Révolutions arabes et clichés”, signée par Mario Sei, Santiago Alba Rico, Sondes Bou Said, Patrizia Mancini et Hamadi Zribi
Deux ans après la révolution du 14 janvier, accompagnée pas-à-pas, le pays sillonné « zanga zanga», le paysage tunisien, tant social que politique me fait mal. J’en ai les tripes nouées. Des années de militantisme contre la dictature de Ben Ali pour une semaine d’euphorie, guère plus !