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عديد الإشكالات تشوب الجلسة الإفتتاحية لمجلس النواب

عقد اليوم مجلس نواب الشعب المنتخب جلسته الإفتتاحية برئاسة النائب عن نداء تونس علي بن سالم أكبر النواب سنّا وبمساعدة نائبة حركة النهضة أمل سويد والنائب عن نداء تونس شكيب باني باعتبارهما أصغر نائبين. وقد شهدت الجلسة الإفتتاحية حضور بعض نواب المجلس التأسيسي السابقين ورؤساء أحزاب ورئيس الحكومة مهدي جمعة ورئيس الجمهورية السابق وعددا من الشخصيات الوطنية والوجوه الإعلامية في حين كان رئيس الجمهورية أبرز المتغيبين.

L’agence K&K en flagrant délit de tromperie de l’opinion publique

L’agence de communication Karoui & Karoui, à l’origine du légendaire spot publicitaire « Ahna Ezzine », s’est de nouveau distingué cette semaine par sa campagne sur le « provisoire ». Alors que la campagne électorale pour le deuxième tour des élections présidentielles n’a pas officiellement commencé, K&K a procédé au collage de plusieurs affiches dans les lieux publics.

نواب التأسيسي المغادرون: المال السّياسي والإعلام أفسدا الإستحقاق الإنتخابي

بإعلان نتائج الإنتخابات التشريعية تنتهي مهمّة المجلس التأسيسي في تونس الذي تمّ انتخاب أعضائه في شهر أكتوبر من سنة 2011. ثلاث سنوات قضاها هذا المجلس في القيام بهمّة صياغة الدستور والرقابة على الحكومة وسنّ أو تعديل بعض القوانين. مهمّة لم تكن سهلة في فترة تخلّلتها عديد الصعوبات الأمنية والإقتصادية وحمّل فيها الشارع التونسي المسؤولية لأعضاء المجلس التأسيسي فيما يتعلّق بما وصف بالتهاون في الرقابة على السلطة التنفيذية والبطئ في إنهاء صياغة الدستور.

كلام شارع : التونسي و حياد الإعلام خلال الحملة الإنتخابية

كلام شارع فقرة تسعى الى تشريك المواطن بكل تلقائية عبر ترك مجال له كي يعبر عن آرائه و تفاعلاته مع القضايا المطروحة على الساحة الوطنية في مختلف الميادين. رصدنا لكم هذه المرّة رأي المواطن التونسي من الآداء الإعلامي خلال الحملة الإنتخابية، هل هو محايد أم مُنحاز.

مدنين: شهادات حول وفاة شاب إثر مطاردات أمنية لفض الإحتجاجات التي تلت تصريحات السبسي

على إثر الإحتجاجات التي شهدتها مدينة مدنين يوم الخميس 27 نوفمبر 2014 المنددة بتصريحات الباجي قايد سبسي، وإثر مطارة أمنية لتفريق بعض الشباب المحتجين، لقي الشاب صفوان الحمودي حتفه بعد أن سقط من سطح أحد المنازل حين كان يحاول الفرار.

Le Front Populaire est-il toujours de gauche ?

Depuis les élections de la constituante, le Front Populaire a fait prévaloir la lutte idéologique entre le courant laïc et le courant islamiste, au détriment d’une lutte primordiale sur les réformes socio-économiques qui vise à atténuer la fracture régionale et sociale, à l’origine de la révolution. La remise en question du modèle de gouvernance hérité de l’ancien régime, qui freine notre développement, est passée au second plan.

Silence, on manifeste dans le sud

Tous les voyants sont au vert pour les contre-révolutions du monde arabe. Le 29 novembre restera un jour noir pour les familles du millier de morts de la révolution égyptienne, avec l’acquittement de l’ancien dictateur Hosni Moubarak, précédé par une tirade révisionniste du juge. En Tunisie, si la restauration se fait plus subtilement, elle n’en est pas moins sur des rails.

Les discours fétides de Marzouki et de Caid Essebsi, ou comment faire tanguer une démocratie fragile

Il s’agit ici, ni de journalistes, ni de politiciens « primaires » et encore moins de sympathisants qui se livrent à une « guerre des mots », mais bel et bien de deux candidats à l’investiture suprême, qui comme le stipule l’article 72 de la Constitution tunisienne, se doit d’être le « symbole de l’unité » de l’Etat. C’est ce caractère fédérateur, que doit représenter le futur président de la République qui doit se placer au-dessus de toute allégeance partisane comme le stipule l’article 76 de la Constitution : « le président de la République ne peut cumuler ses fonctions avec toute responsabilité partisane», et ce afin de justifier son autorité de représentant de tous les citoyens.

A Douar Hicher et Cité Ettadhamen, « à 18 ans, on est déjà mort » !

Leur insurrection singulière a tissé la narration d’une révolution annoncée. Ce fut un moment éphémère de gloire et d’espérance. Entre le 12 et le 13 janvier 2011, les jeunes insurgés de Cité Ettadhamen ont bien cru que l’isolement, où on les maintenait, allait être levé. Mais, il n’en fut rien. Au contraire, après les délits de pauvreté et de délinquance, le salafisme est venue exacerber les discours de stigmatisation qui empoisonnent la vie des habitants.

Cette encre d’infériorisation qu’on défend mal !

Dans cette nouvelle tentative, basée sur une expérience longue et répétée sur le terrain, M. Jemal cherche à démontrer, à l’aide d’exemples étrangers du Sud, « le bénéfice apporté par l’utilisation de l’encre dans le déroulement de l’opération de vote, en particulier la possibilité qu’elle offre pour éviter la confusion dans les Centres de vote et empêcher certains électeurs malintentionnés de profiter du désordre pour circuler entre les rangs et diffuser leurs messages. » Voilà la meilleure illustration de ce qu’il ne faut pas faire en Tunisie ; se réclamer de l’exemple des autres, qu’il soit juste ou faux, pour justifier nos insuffisances. Car, l’auteur de l’article rapporte l’exemple d’autrui comme preuve du caractère incontournable de l’encre ; or, que je sache, chaque peuple a une spécificité sociale et psychologique et, dans notre pays, on a la prétention de se réclamer d’un modèle sui generis !

Est-ce bien raisonnable de voter pour Marzouki ?

Malgré qu’il y ait quelques bonnes intentions au niveau économique et régional, les effets sont restés dans l’attente, et c’est bien sur ce point, concernant le niveau de vie quotidien, que les Tunisiens n’ont pas pardonné ni à lui ni aux partis de la troïka, et c’est à ce niveau que les rcdistes ont pu jouer sur la souffrance et le malheur des Tunisiens. Au point que des citoyens lambda ont préféré l’ère du dictateur.